Puis-je Apporter des Cigarettes Électroniques à Cuba ? Il est important de noter que Cuba interdit l'importation de cigarettes électroniques et de vaporisateurs personnels, que ce soit dans les bagages de cabine ou les bagages enregistrés. Cette réglementation stricte vise à protéger la santé publique et à prévenir l'utilisation de ces dispositifs. À votre arrivée, si vous avez des cigarettes électroniques ou des vaporisateurs en votre possession, ces articles seront confisqués aux douanes. Cela peut entraîner des désagréments inutiles et un début de voyage stressant. Pour les voyageurs souhaitant fumer ou vapoter, il est conseillé de se renseigner sur les alternatives disponibles sur place. Certaines régions de Cuba offrent des produits du tabac traditionnels, tels que des cigares et des cigarettes, qui peuvent être achetés légalement. En résumé, pour éviter des complications lors de votre voyage à Cuba, il est fortement recommandé de ne pas emporter de cigarettes électroniques ou de vaporisateurs. Assurez-vous de respecter les réglementations locales afin de profiter pleinement de votre séjour dans ce magnifique pays. Cette réglementation s'applique également en République dominicaine, donc assurez-vous de vérifier les règles avant de voyager. Pour éviter des désagréments lors de votre passage à la douane, il est recommandé de ne pas emporter ces appareils avec vous.

Arrivée Anticipée et Départ Tardif : Maximisez Votre Séjour à l'Hôtel Arrivée Avant 16 h Dans la plupart des hôtels, l'enregistrement des chambres se fait officiellement à 16 h. Cependant, si l'établissement n'est pas complet et dispose de chambres libres, il se peut que vous puissiez y accéder dès votre arrivée, même si ce n'est pas toujours garanti. Pour profiter pleinement de votre première journée, il est judicieux de placer dans votre bagage à main tout le nécessaire pour profiter de la piscine ou de la plage : maillot de bain, short, t-shirt, chapeau ou casquette, gougounes (sandales de plage), serviette de plage légère (les serviettes de type yoga sont idéales car elles prennent peu d’espace et peuvent être réutilisées), crème solaire, lunettes de soleil et verre thermique. À votre arrivée, vous effectuerez l'enregistrement et recevrez le bracelet "tout-inclus", vous permettant de profiter des installations même si votre chambre n'est pas encore prête. Changez-vous, déposez vos valises dans l'espace prévu à cet effet dans le lobby (sécurisé et surveillé), et commencez à profiter de vos vacances ! Départ Tardif L'heure de départ de votre chambre est généralement fixée à midi. Toutefois, si votre vol est prévu à 14 h, l’autobus qui viendra vous chercher passera vers 10 h. Il est essentiel de ne pas confondre l'heure maximale de départ de votre chambre avec l'heure à laquelle vous devez être prêt(e) pour le départ. Cette dernière est indiquée dans le livret fourni par votre voyagiste, que vous trouverez dans le lobby de l'hôtel. Prolongation de Séjour : Gardez Votre Chambre Après Midi Si vous souhaitez conserver votre chambre après midi, il est généralement nécessaire de payer un supplément. Cependant, cela n'est pas toujours garanti, car cela dépend des arrivées et des départs du jour. Si vous êtes un client régulier de l'hôtel, n'hésitez pas à demander ce privilège en tant que voyageur répétitif. Il est préférable de poser la question peu après votre arrivée plutôt qu'au dernier moment avant votre départ. Si vous devez quitter votre chambre à midi et que votre vol est prévu plus tard dans la journée, vous pourrez déposer vos valises dans un local sécurisé, généralement situé dans le lobby. Prenez soin de garder avec vous uniquement ce qui est nécessaire pour profiter de la plage ou de la piscine pendant la journée. La plupart des hôtels proposent également une "chambre de courtoisie" pour vous doucher et vous changer avant votre départ. Dans certains cas, il peut être nécessaire de réserver une heure précise pour cette chambre, tandis que d'autres établissements n'ont pas cette exigence. Si vous voyagez en groupe, envisagez de payer les frais pour un départ tardif pour une chambre et de partager cette option avec d'autres membres de votre groupe. N'oubliez pas d'emporter un sac plastique pour ranger vos affaires humides que vous souhaiterez mettre dans votre valise ou votre bagage à main.

Excursion en Catamaran à Cayo Blanco : Précautions à Prendre L'excursion en catamaran à Cayo Blanco, au départ de Varadero, est très prisée des voyageurs, et pour de bonnes raisons ! Cependant, comme dans tout environnement naturel, il est essentiel de faire preuve de prudence vis-à-vis de la faune sauvage. Partagé par Linda Arsenault le 31 janvier 2019 : "Si vous partez à Cayo Blanco en catamaran, vous rencontrerez des rongeurs imposants, de la taille d'un chat, errant sur l'île. Ils sont si apprivoisés que les gens se prennent en photo avec eux, les caressent et les nourrissent. Un incident a eu lieu où un rongeur a sauté sur le pied d’un touriste, le blessant gravement. Loin des hôpitaux, un traitement contre la rage pourrait être difficile à obtenir. Soyez prudents !" Des membres cubains nous ont confirmé que cet animal est un jutia, un rongeur herbivore : Gabriella B-m : "À Cuba, on appelle cela JUTÍA, prononcé HUTIYA. Presque en voie d'extinction. Son nom latin est CAPROMYS PILORIDES." Soyons respectueux envers la faune locale et évitons de les déranger. Admirez-les de loin, mais il est préférable de ne pas les approcher.

Varadero, avec ses plages de sable blanc et ses eaux turquoise, offre un spectacle époustouflant vu du ciel. Les photos aériennes révèlent la splendeur naturelle de cette destination emblématique de Cuba. En survolant cette station balnéaire, on peut admirer les palmiers ondulants et les complexes hôteliers harmonieusement intégrés dans le paysage. Les nuances de bleu de la mer des Caraïbes se mélangent aux verts éclatants de la végétation, créant un tableau vivant. La vue aérienne de Varadero promet une expérience visuelle inoubliable qui met en valeur la beauté unique de cette région. Laissez-vous séduire par ces images captivantes et plongez dans la magie de Varadero vue du ciel ! Photo : B the Travel Brand Juste pour le plaisir de nos yeux ! Varadero vue du ciel en photo Voici des photos partagées par nos membres au cours de mois. J'ai choisi celles où on voit bien la péninsule, la mer et... les plages ! Photo : Chantal Thériault Photo : Michel Lafontaine Photo : Michel Lafontaine Photo : Butch Bouchard Photo : Chantal Verret Photo : Sonya Bouchard Photo : Sarah Bouchard Thériault Photo : Ernesto Perez Perez (Twitter) Photos partagées par Michel Lafontaine mais dont nous ne sommes pas certains de qui en sont les auteurs. Super belle vidéo d'un peu plus de 11 minutes, mais à voir absolument ! https://youtu.be/Ob2ZxBMEM7s?t=6

La réponse est... oui ! Du moins, il le semble. Et ce n'est pas impossible puisqu'il neige parfois en Floride qui n'est vraiment pas loin de Varadero. Mais il a fallu fouiller beaucoup pour trouver de l'information ce qui confirme bien que c'est un phénomène très rare. Un grand merci à Line Houle qui a mis la main sur les images ! Réponse d'un membre cubain de notre groupe : San Cabrera "Oui. Selon le vieux. A Cuba Dans les années 50. le Montagnes de Pinar de Rio. Ils ont de la neige."

"L'HÔTELLERIE par JESSICA DOMINGUEZ DELGADO | 6 novembre 2019 | Société | quinze Le nombre exact d'hôtels à Cuba n'est pas connu. Selon l'institution demandée, le nombre varie: 393 selon  Manuel Marrero , ministre du Tourisme, à l'Assemblée nationale et 405 selon les responsables du ministère lui-même. Il n'y a pas d'informations précises, les hôtels changent de nom, fusionnent en complexes, de nouvelles installations sont ouvertes, elles sont fermées pour réparations ou elles changent d'opérateurs. Mais, jusqu'au mois d'octobre 2019 au moins, l'équipe d'El Toque a créé une base de données qui comptait 381 installations d'hébergement parmi des aparthotels, des motels, des villas et des hôtels pour cette enquête; avec un certain nombre de chambres qui quadruplent presque celles de Cuba il y a 30 ans, lorsque Cuba pariait sur le tourisme comme bouée de sauvetage pour l'économie nationale. Cette décision, non sans conséquences, a transformé un service accessible aux Cubains en un produit exclusif accessible principalement aux étrangers. Avant 1990, une chambre à l'hôtel Habana Libre coûtait 21 pesos par nuit; aujourd'hui, il varie de 65 $ à 165 $. Même jusqu'en 2012, il n'était pas possible pour les Cubains de réserver un logement dans ces installations. Les hôtels, construits avant 1959 et dont beaucoup étaient des maisons ou étaient en ruine, sont devenus une entreprise importante pour l'État cubain, qui a commencé à explorer un secteur auparavant ignoré et a ainsi commencé une course ambitieuse pour augmenter les revenus et, avec lui, la nombre de propriétés. Aujourd'hui, le tourisme à Cuba fournit environ 2,5% du PIB en tant que contribution directe au revenu national et environ trois fois ce montant si l'on tient compte des effets indirects et induits, selon le  rapport  d'Oxford Economics pour le World Travel and Tourism Council. . Ce n'est qu'en 2018 que le tourisme est  entré à 1 840 millions 331 milliers de dollars , ce qui le place dans la deuxième activité économique importante du pays. L'aspiration des autorités cubaines est d'augmenter le nombre de visiteurs chaque année. Et cela a réussi en une décennie. D'un chiffre de 2,3 millions en 2008, Cuba est passé à 4,7 millions en 2018. À l'heure actuelle, il y a plus de 72 000 chambres dans les locaux de l'État et 26 000 224 dans des logements privés, ces derniers dans des maisons ou des foyers. Par rapport à d'autres régions de la région comme la République dominicaine, dont le nombre de chambres d'hôtel à la fin de 2018 était de 78 mille, et Porto Rico avec 15 mille chambres à la fin de 2017, les chiffres cubains ne sont pas négligeables. Avec la capacité de logement actuelle (y compris les chambres des propriétaires privés), si tous les touristes arrivaient consécutivement et restaient une nuit, en deux mois les cinq millions de visiteurs auxquels aspire le pays arriveraient; mais pour les aspirations de croissance du pays, il est encore insuffisant. Pour 2019, le ministère du Tourisme (Mintur) avait prévu une croissance de 4000 nouvelles chambres - certaines déjà opérationnelles. Cependant, jusqu'en mai, il y avait 7 000 chambres dans le pays «hors service», selon José Daniel Alonso, directeur général du développement, des affaires et des investissements de Mintur. En d'autres termes, près de deux fois plus que ceux à construire n'ont pas été commercialisés. Un pays avec plus d'hôtels peut être un pays avec plus de valeur, plus de développement, plus de potentiel. Pour cette raison, le gouvernement parie sur le tourisme comme son atout. QUI CONTRÔLE LE MARCHÉ? Les exploitants des hôtels sont dirigés par quatre sociétés commerciales cubaines dont les actionnaires peuvent être des personnes morales ou physiques, mais en aucun cas publiques: Grupo Gaviota SA, Grupo Cubanacán SA, Grupo Gran Caribe SA et Islazul SA En outre, il existe deux hôtels en charge de Grupo Palco y Servicios Médicos SA et il existe d'autres établissements d'hébergement de catégorie inférieure appartenant aux sociétés de Campismo Popular et Palmares SA, subordonnés au ministère du Tourisme. Mais tous ne sont pas sur un pied d'égalité. C'est le groupe Gaviota qui appartient aux forces armées et qui est en dehors de la juridiction administrative et économique de Mintur celui qui a la plus forte croissance, atteignant 31000 chambres en 2018, avec des aspirations à tripler ce chiffre dans la prochaine décennie. Cependant, la propriété des hôtels n'est pas (à quelques exceptions près) détenue par ces sociétés, mais par deux autres sociétés immobilières Inmotur SA et Almest SA, appartenant respectivement au ministère du Tourisme et au groupe des forces armées. Cette séparation libère le bien des responsabilités économiques que la société exploitante peut encourir, préservant ainsi sa propriété. La puissance de Gaviota est évidente si l'on considère que ses hôtels sont de la plus haute qualité, représentant 44% de la capacité totale du pays. Cubanacán, la deuxième chaîne avec plus d'hôtels, gère moins de la moitié des chambres que Gaviota. Alors qu'Islazul est le plus petit et avec les hôtels de catégorie la plus basse, présent sur tout le territoire national. De plus, à l'exception de La Havane, Varadero, Cayo Coco et Cayo Guillermo, qui sont des pôles touristiques de plus grande exploitation et antiquité, les chaînes cubaines ont divisé le pays et il y a une prédominance géographique de chacune d'entre elles. La Grande Caraïbe domine la partie sud de Cuba, en particulier l'Isla de la Juventud et Cienfuegos; et Cubanacán est à Pinar del Río, Trinidad, Villa Clara, Camagüey, Granma, Santiago de Cuba et Holguín. Dans le cas de Gaviota, il contrôle les Topes de Collantes, Baracoa et les cayes du nord de Cuba. À La Havane, il est responsable de plus de 20 hôtels dans le centre historique qui appartenaient au défunt Habaguanex SA, du bureau de l'historien de la ville. Lieux géographiquement stratégiques, montagnes et nouveaux pôles touristiques. Ceci est directement lié au montant des revenus, car Gaviota a des tarifs plus élevés pour ses hôtels. Sur les 33 214 chambres 5 étoiles du pays, Gaviota en gère 27 115. "Gaviota déclare que ce n'est que de ses activités hôtelières qu'il réalise un chiffre d'affaires annuel de plus de 700 millions de CUC, bien qu'il n'offre pas de détails", déclare  le rapport  2016 Tourism in Cuba, sur la vague de prospérité durable des auteurs Richard E. Feinberg et Richard S. Newfarmer. De loin, quand on parle d'hôtels à Cuba, il faut nommer Gaviota; sa capacité d'expansion et son niveau de revenus lui confèrent une plus grande indépendance et autonomie en la matière. Dans ce métier, ils décident et recherchent les meilleures alliances. PARTENAIRES ÉTRANGERS Trente ans dans le tourisme international n'ont pas atteint les opérateurs cubains pour se positionner sur le marché mondial en tant qu'acteurs de poids, ce qui va au-delà des avantages du paysage: un nom établi dépend aussi des consommateurs et surtout des qualité de l'offre et du service fourni dans les installations; ce dernier, le talon d'Achille pour le produit cubain. Le Dr José Luis Perelló, spécialiste du sujet et conseiller du Mintur, explique que "la commercialisation touristique est entre les mains de monstres (les grands voyagistes) qui opèrent à l'étranger, et disons que Cubanacán ou la Grande Caraïbe, par exemple, sont sans stature d'aller discuter à ce niveau. " Le 10 mai 1990, ils ont signé le premier contrat de gestion hôtelière - et une coentreprise - pour l'hôtel Sol Palmeras à Varadero. Lors de l'ouverture de l'établissement, Fidel Castro a déclaré: «J'espère qu'un jour nous ne dirons pas à la chaîne espagnole qu'elle gère: Hé, voulez-vous gérer également notre hôtel? J'espère que nous n'arriverons pas […]; mais cela peut être une perspective si nous n'apprenons pas à la gérer avec l'efficacité nécessaire ». Depuis lors, le nombre d'hôtels gérés par des gestionnaires étrangers n'a cessé d'augmenter. En avril 2019, 97 contrats d'administration et de commercialisation avaient été signés, 87 d'entre eux étaient déjà en cours. Au total, 119 hôtels sont exploités par 21 chaînes étrangères de 12 pays; d'entre eux seulement 9 avec une catégorie trois étoiles, le reste entre quatre et cinq étoiles, y compris les six avec une catégorie plus cinq étoiles qui existent dans le pays. 46% de ces propriétés gérées par des étrangers appartiennent à Gaviota. Et l'intention est de continuer à augmenter. Le portefeuille d'opportunités 2019 offert aux investisseurs étrangers comprend 54 hôtels disponibles pour de futurs contrats. L'Espagne est le pays avec la plus grande présence dans l'industrie hôtelière cubaine. Il gère un total de 92 hôtels gérés par 9 chaînes: Iberostar, Meliá Internacional, BLAU Hotel, Be Live, NH Hotel, Roc Hotels, Barceló, Valentin Hotel & Resorts et H10 Hotels. Plus récemment, des sociétés asiatiques telles que Banyan Tree Hotels & Resorts, MGM Muthu Hotels et Archipelago International se sont jointes, la dernière arrivée à Cuba. Pour travailler dans le pays, une entreprise étrangère a deux façons: d'une part, elle constitue une entreprise mixte avec la partie cubaine ou, d'autre part, elle signe un contrat d'administration et de commercialisation hôtelière (CACH), qui peut ou non inclure un financement pour le remodelage de la propriété . Le premier d'entre eux répond aux besoins des groupes Mintur (Grande Caraïbe, Cubanacán et Islazul) qui ne disposent pas de fonds d'investissement pour rénover leurs installations. Le second est celui utilisé par le groupe Gaviota, qui dispose de son propre budget et qui ne propose ses hôtels (déjà finis et en parfait état) qu'à des sociétés hôtelières de renom pour leur administration; à l'exception de l'hôtel Saratoga, seule coentreprise du groupe, entreprise héritée de l'habaguanex inexistant. Comme l'explique le directeur du développement de la Mintur, José Daniel Alonso, lors d'une conférence de presse en juin 2019: "Dans les coentreprises, vous avez une participation, investissez du capital pour la même proportion et recevez des dividendes pour la même proportion." Il existe actuellement 27 coentreprises constituées, mais seulement 14 (liées à cinq chaînes) ont réalisé des investissements: BLAU Hotels & Resorts, Blue Diamond Resort, Iberostar, Meliá Hotel International et Roc Hotels. En outre, explique José Daniel Alonso, «dans le contrat d'administration, vous avez une échelle d'incitations, plus vous produisez, plus vous gagnez. C'est un pourcentage des bénéfices, mais plus ils obtiennent, plus nous gagnons. Le CACH est pour une nouvelle installation où vous les mettez en administration, par exemple, l'International est nouveau et Meliá commence à l'exploiter. Quand c'est avec du financement ce sont des hôtels avec détérioration et nous leur donnons l'administration et ils contribuent, par exemple, pour la Riviera Iberostar ça donne 25 millions d'euros; le financement des investissements fait partie de l'entreprise. » Aucun contrat n'est le même qu'un autre - mais tous sont signés par le ministre du Tourisme - et chacun d'eux est négocié séparément en fonction des caractéristiques du bien (nombre d'étoiles, emplacement, propriétaire, occupation estimée, etc.) et de la chaîne qui demande son fonctionnement. Ceux qui sont négociés dans le Mintur sont convenus pour 10 ans et sont renouvelables, mais dans le cas de Gaviota, ils ne sont que de 5 ans. Selon le  rapport financier  annuel du Groupe Meliá, ses revenus hôteliers à Cuba en 2018 s'élèvent à 14,4 millions d'euros et, bien que le revenu total des opérateurs étrangers ne puisse être calculé avec précision, les données publiées par Richard E. Feinberg et Richard S Newfarmer estime que 30% des bénéfices restent entre des mains étrangères. Cela représente une somme d'argent équivalente à toutes les dépenses d'importation des intrants dont dispose le secteur. L'économiste Ricardo Torres, chercheur au Centre pour l'étude de l'économie cubaine, considère que la participation d'entreprises étrangères est la meilleure formule pour gagner plus car elles amènent des clients et, de plus, si elles investissent, elles partagent le risque; même si vous devez partager les bénéfices. Parce que si la commercialisation de ces installations n'était pas entre les mains d'opérateurs reconnus, nous gagnerions beaucoup moins. Parmi les maux, évidemment le moins. Cependant, pour  Gustavo D´Meza Pérez, Martha Zaldívar PuigI et Ramón Martín Fernández : «Les contrats d'administration hôtelière (…) représentent un coût important et compromettent le développement et la souveraineté technologique du pays, car ils ne transfèrent que les connaissances opérationnelles essentielles pour garantir les standards de service de la chaîne étrangère, tandis que les connaissances stratégiques restent protégées. , sans transfert. En ce sens, les groupes hôteliers nationaux doivent envisager la mission d'accroître leur participation à leur propre gestion dans les catégories 4 et 5 étoiles, en augmentant la qualité du service et en créant des synergies et des avantages compétitifs au niveau du groupe hôtelier, qui sont les principaux Des avantages immobiliers qui permettent l'expansion des chaînes hôtelières internationales ». Bien qu'il s'agisse d'une méthode économique plus viable à court terme, 30 ans plus tard, la gestion hôtelière n'est pas parvenue à devenir indépendante et ne semble pas y penser. Le tourisme, en tant que secteur, fournit la liquidité monétaire nécessaire et immédiate pour soutenir les paiements du pays et, selon des sources officielles, génère 111 698 emplois. Au nom de cette évolution, dans certains quartiers comme la Vieille Havane, elle a entraîné la suppression des espaces sociaux et sportifs. Les investissements ont pris pour eux-mêmes des sites qui étaient auparavant le siège du ministère des Finances et des Prix, la  salle polyvalente Kid Chocolate  (quand il était encore en activité), et ont même suscité des  scandales  lors de la tentative de convertir le cinéma Payret historique en hôtel. De plus, il surcharge l'infrastructure pour les services de base du lieu. Pour construire des hôtels, des espaces qui occupent aujourd'hui des parcs et autres bâtiments à usage public seront pris. Les avantages économiques de l'hôtellerie sont importants, surtout en monnaie directe; par conséquent, peu importe qui les exploite, mais leur rentabilité. En temps de crise, tout le reste semble secondaire." Source : https://eltoque.com/el-negocio-hotelero-en-cuba/

Photo : site de l'hôtel Grand Memories Séjours de longue durée Certaines personnes souhaitent séjourner à Varadero pour des périodes plus longues que les 7, 10, 12 ou 14 jours habituellement offerts par les voyagistes. Bien sûr, il est possible d'opter pour un séjour en casa (l'équivalent de nos Beds and Breakfast ou chambres d'hôte), mais certains voyageurs préfèrent opter pour un tout-inclus. Voici une liste fournie par Nathasha Maves, conseillère en voyages. "Plusieurs hôtel a Varadero offre des forfait de 28 JOURS Tout Inclus ou parfois déjeuner seulement :, Comme par exemple: - Varadero, Cuba -Club Karey Varadero, Cuba -Club Tropical Varadero, Cuba, -Club Kawama Varadero, Cuba -Mar Del Sur Varadero, Cuba Los Delfines Varadero, Cuba -Muthu Playa Varadero Varadero, Cuba -Villas Jibacoa Varadero, Cuba -Be Live Experience Varadero Varadero, Cuba - Memories Varadero Beach Resort Varadero, Cuba -Brisas Del Caribe Varadero, Cuba -Starfish Las Palmas Varadero, Cuba -Roc Arenas Doradas Varadero, Cuba -Iberostar Tainos Varadero, Cuba -Starfish Cuatro Palmas Varadero, Cuba - Hotel Tuxpan Varadero, Cuba -Grand Memories Varadero Varadero, Cuba -Occidental Arenas Blancas Varadero, Cuba -Valentin El Patriarca Varadero Varadero, Cuba -Memories Jibacoa Varadero, Cuba -Sunbeach Varadero, Cuba - Melia Peninsula Et il, y en a d'autres. Mais plus long que 28 JOURS je crois qu'il faudrait soit contacter directement l'hôtel ou faire un vol et l'hébergement à la carte." Il y a aussi le Mar del Sur et le Sunbeach comme nous l'ont confirmé plusieurs membres.

Les Langoustes de Varadero : Un Trésor Culinaire des Caraïbes Dans les eaux cristallines de Varadero, sous les vagues douces qui caressent le rivage, se cache un véritable joyau des délices marins : la langouste. Ce crustacé délicat et savoureux, fraîchement pêché dans la mer des Caraïbes, promet une expérience culinaire inoubliable aux amateurs de gastronomie. Imaginez-vous dans un restaurant en bord de mer, avec le soleil couchant teintant le ciel de teintes dorées et la brise marine qui vient rafraîchir votre visage. Devant vous, une langouste tout juste préparée trône sur votre assiette, sa chair tendre et juteuse éveillant vos papilles dès la première bouchée. Que vous la dégustiez grillée à la perfection, accompagnée de beurre fondant ou d'une sauce exotique aux fruits de la passion, la langouste de Varadero saura combler les envies des plus fins gourmets. Chaque plat célèbre la richesse culinaire de la région, où les traditions cubaines s’allient harmonieusement aux saveurs exotiques des Caraïbes. Langouste ou homard ? Clarifions le débat À Varadero, vous dégusterez bien de la langouste , et non du homard, même si la confusion persiste dans les menus. En effet, les Cubains utilisent souvent le terme anglais "lobster" pour désigner la langouste, bien qu'il s'agisse de deux crustacés différents. Comme vous le découvrirez dans nos articles dédiés, la langouste et le homard ne partagent pas les mêmes caractéristiques, bien que tous deux soient des mets prisés. Une expérience gustative unique à Varadero Laissez-vous tenter par la langouste de Varadero et plongez dans une aventure gustative qui restera gravée dans votre mémoire bien après que le soleil se soit couché. Que vous soyez amateur de cuisine traditionnelle ou d'expériences culinaires raffinées, ce trésor de la mer des Caraïbes saura ravir vos sens. https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/animaux-difference-homard-langouste-7438/ http://www.lemanger.fr/index.php/langouste-et-homard-anatomie-comparee/ Homard à gauche et langouste à droite Des chaires aux saveurs différentes Cet article est en provenance d’un site de France, mais je le trouve intéressant. Homard vs Langouste, le comparatif qualité / prix Le plus important ? C’est toujours un réel plaisir et un délice de manger des langoustes à Varadero ! Dans un hôtel, dans un resto ou dans une famille cubaine qui nous invite à sa table, les amateurs de fruits de mer seront toujours comblés !

LA HUITIÈME TEMPÊTE TROPICALE (HELENE) A ÉTÉ FORMÉE DANS LES CARAÏBES DU NOR-OUCIDENTAL. RÉSUMÉ DE 1100 AM... INFORMATIONS ----------------------------------------------- LOCALISATION... 19.5N 84.3W. VERS 180 MI... 295 KM DE COZUMEL MEXIQUE VERS 170 MI... 275 KM SSE DE L'EXTRÊME OUEST DE CUBA VENTS MAXIMUM SOUTENUS... 45 M/H... 75 km/h. MOUVEMENT ACTUEL... NON OU 310 DEGRÉS À 12 M/H... 19 km/h. PRESSION CENTRALE MINIMALE... 1000 Mo... 29,53 POUCES Au cours des prochaines heures, la tempête continuera à se diriger vers le nord-ouest, prenant progressivement en intensité, pouvant devenir un ouragan avant 8 heures demain mercredi, quand elle sera proche ou au-dessus de la péninsule du Yucatan. Les vents de Tempête Tropicale s'étendent à 220 kilomètres du centre-ville, donc ceux-ci arriveront à Pinar del Rio et à l'île de la jeunesse un peu avant 8 heures ce mardi soir et peuvent être augmentés jusqu'à 70 km/h au petit matin. Ce matin, le vent se propagera à la province d'Artemis. La marée cyclonique peut élever les niveaux d'eau de 1 m à 2,5 mètres au-dessus des niveaux normaux de marée le long de la côte sud de Pinar del Rio et de l'île de la jeunesse. Avec l'approche du système, les conditions météorologiques vont commencer à se détériorer, devenant forte et intense à l'ouest (principalement sur sa côte sud) ainsi que dans la province de Cienfuegos selon la suggestion du modèle européen. Tenez-vous informé, la prochaine mise à jour aura lieu à 15 heures. National Hurricane Center. Une fois dans le golfe du Mexique, elle prendra de la force pour devenir un ouragan majeur de CATÉGORIE 3 (vents soutenus de 178-208 km/h). La tempête tropicale #helene deviendra un GROS #ouragan en dimension, selon les experts de la NOAA NWS On prévoit qu'il touchera terre sur l'ouest de la Floride dans la nuit de jeudi à vendredi selon la carte ci-bas. D'autres cartes démontrent la quantité de pluie prévue ainsi que et les ondes de tempête (jusqu'à 10 à 15 pieds i.e. 3 à 4,5 m!) selon les régions. Pour suivre l'évolution de #helene : https://www.nhc.noaa.gov/graphics_at4.shtml?start#contents

Une population vieillissante L'un des traits les plus marquants de la démographie cubaine est le vieillissement de sa population. Répartition géographique : où vivent les Cubains ? Les grandes villes :  La Havane (capitale), Santiago de Cuba, Camagüey, Cienfuegos, Holguín. Les archipels :  Archipel des Jardines de la Reine, Archipel des Canarreos. Les principales provinces :  La Havane, Pinar del Río, Artemisa, Mayabeque, Matanzas, Cienfuegos, Villa Clara, Sancti Spíritus, Ciego de Ávila, Camagüey, Las Tunas, Holguín, Granma, 1  Santiago de Cuba, Guantánamo. L'origine du peuple cubain est un riche mélange de cultures et d'ethnies, forgé par des siècles d'histoire. Les Cubains descendent principalement de trois groupes ethniques : Les Amérindiens:  Avant l'arrivée des Européens, l'île de Cuba était habitée par plusieurs peuples amérindiens, notamment les Taïnos et les Ciboneys. Leurs descendants sont aujourd'hui très minoritaires dans la population cubaine, mais leur héritage culturel est encore perceptible dans certaines traditions et dans le nom de lieux. Les Espagnols:  La colonisation espagnole, qui a débuté au XVIe siècle, a profondément marqué l'île. La langue espagnole, la religion catholique et de nombreux aspects de la culture cubaine sont d'origine espagnole. Les Africains:  L'esclavage a joué un rôle majeur dans l'histoire de Cuba. Des millions d'Africains ont été déportés sur l'île pour travailler dans les plantations. Leur héritage est omniprésent dans la musique, la danse, la cuisine et la religion cubaines. Le métissage  est donc une caractéristique fondamentale de la population cubaine. Au fil des siècles, les différents groupes ethniques se sont mélangés, donnant naissance à une population très diversifiée sur le plan physique et culturel. D'autres influences  ont également contribué à façonner l'identité cubaine, comme l'arrivée d'immigrants asiatiques (principalement chinois) et européens (Italiens, Français). En résumé, l'identité cubaine est un mélange unique de cultures amérindiennes, espagnoles et africaines, enrichi par d'autres apports.   Cette diversité est l'une des grandes richesses de Cuba et se reflète dans son patrimoine culturel, sa musique, sa cuisine et sa population. Pour en savoir plus, je vous invite à consulter ces ressources : Marco Vasco : https://www.marcovasco.fr/amerique-latine/cuba/guide-cuba/la-population-de-cuba.html Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_Cuba Conclusion La population cubaine est en constante évolution, reflétant les transformations sociales, économiques et politiques de l'île. Comprendre sa démographie permet d'appréhender les défis et les opportunités auxquels Cuba est confrontée. La population cubaine : un portrait en chiffres

Article qui parle de Passion Varadero sur un site de Radio Cubaine Lien de l'article original : Cardenas : Un pont d’amour entre le Canada et Cardenas – Radio Ciudad Bandera (wordpress.com) (Avec des informations de Roberto Antonio González) Les dons pour les patients Cardenas atteints de COVID 19 proviennent de partout. Dans la démarcation de Cantel Camarioca soudain, des inconnus frappent à la porte pour livrer des médicaments. Ce sont les membres du groupe Passion Varadero, représenté à Cuba par Pedro Cabrera Martínez. En coordination avec des amis canadiens, ils ont fait plusieurs dons et la semaine prochaine, après l’arrivée d’une autre cargaison, ils poursuivront les livraisons. Le Délégué de la Circonscription a été une pièce maîtresse dans la matérialisation de ce beau geste qui a eu le soutien des CDR. Aujourd’hui, leur destination sera la ville de Cardenas où ils arriveront avec des médicaments, mais avant cela, ils ont fait un arrêt à Varadero.

Les Vapoteuses à Cuba : Un Sujet Récurent Les vapoteuses, ou e-cigarettes, sont un sujet de discussion fréquent parmi les voyageurs et les résidents à Cuba. Une question revient souvent : Quelles sont les restrictions concernant les vapoteuses à Cuba ? Réponse :   Ce ne sont pas seulement des restrictions, mais une interdiction stricte ! Les Règles à Connaître Cuba, avec ses réglementations uniques, présente des défis pour les utilisateurs de vapoteuses. Voici ce que vous devez savoir : Air Transat  indique que les cigarettes électroniques sont permises dans les bagages à main, à condition qu'elles ne soient pas utilisées. En revanche, elles sont interdites dans les bagages enregistrés. Important : Les passagers ne peuvent pas apporter de cigarettes électroniques à Cuba ou au Mexique . Pour plus d'informations, consultez leur site : Air Transat - Articles interdits . Sunwing Airlines  précise que les vapoteuses doivent être rangées dans vos bagages de cabine et ne peuvent pas être utilisées à bord. De plus, tant Cuba que la République dominicaine interdisent les cigarettes électroniques et les vapoteuses, qu'elles soient dans les bagages à main ou enregistrés. Ces articles seront confisqués à l’arrivée. Pour en savoir plus, visitez leur site : Sunwing - Bagages de cabine . Selon le gouvernement du Canada , il est explicitement indiqué que les voyageurs ne peuvent pas apporter de cigarettes électroniques ni de vaporisateurs personnels à Cuba, car ces articles seront saisis par les douanes à l’arrivée. Consultez leur site pour plus de détails : Gouvernement du Canada - Voyage à Cuba . Conclusion Il est essentiel de rester informé sur les règles en matière de vapoteuses à Cuba. Avec des interdictions claires et des règles de sécurité strictes, il est crucial de se préparer à l’avance pour éviter toute confiscation à l’aéroport. Gardez à l’esprit que, malgré les versions que vous pourrez entendre, ces informations constituent actuellement les seules références fiables.

Une "petite grande ville" à découvrir ! Cárdenas : Le Village des Hôteliers de Varadero Cárdenas, officiellement connue sous le nom de San Juan de Díos de Cárdenas, est un charmant village situé à proximité de la célèbre station balnéaire de Varadero. En 2024, sa population est estimée à environ 90 000 habitants, témoignant d'une légère croissance au fil des ans. Ce village est particulièrement reconnu pour être le lieu de résidence de nombreux employés des hôtels de Varadero. Sa proximité avec la plage et ses infrastructures en font un choix idéal pour ceux qui travaillent dans l'industrie touristique. Cárdenas allie une atmosphère tranquille avec un accès facile aux attraits touristiques de Varadero, offrant à ses habitants et visiteurs un mélange parfait de vie locale et de loisirs balnéaires. De plus, la ville est connue pour son riche patrimoine culturel, ses rues colorées et son ambiance conviviale, ce qui en fait une destination incontournable pour ceux qui souhaitent découvrir une facette authentique de Cuba. Un peu d'histoire et de patrimoine Tiré de Wikipédia : "Cárdenas est fondée le 8 mars 1828 et compte déjà 12 910 habitants en 1861 . En 1850 , l'ex-général Narciso López débarque à Cárdenas à la tête de 600 hommes, venant des États-Unis , dans une tentative pour libérer Cuba de la domination espagnole. Faute du soutien de la population lorsque les combats commencent, López doit rembarquer après avoir tenu la ville pendant quelques heures. C'est à cette occasion qu'est hissé pour la première fois, le 19 mai 1850 , le futur drapeau national de Cuba , inventé l'année précédente par López. La mise en service d'une voie ferrée (Ferrocaril de Cárdenas y Jucaro) en 1871 , pour transporter le sucre, accélère son développement. La ville est la première à Cuba à mettre en place un système d'éclairage électrique public, en 1889 . Le 11 mai 1898 , pendant la guerre hispano-américaine , a lieu le combat de la baie de Cardenas , à l'issue duquel une petite escadre américaine doit se retirer sans parvenir à détruire des canonnières espagnoles. C'est l'un des rares revers américains de la guerre. Au début du xxe siècle , Cárdenas est l'un des principaux ports d'exportation du sucre de Cuba. En 1907 , la population de la ville atteint 24 280 habitants. Mais la faible profondeur du port complique les opérations de chargement et déchargement des navires. Cárdenas se trouve à seulement 20 km de la grande station balnéaire cubaine de Varadero et une partie de la population y travaille." Cathédrale de l'Immaculée Conception. Musée et maison natale de Jose Antonio Echeverria : leader étudiant assassiné le 13 mars 1957 par le régime de Batista . La maison présente un intérêt architectural. Musée de Oscar de Maria Rojas : intéressantes collections dans les domaines de l'histoire, de l'art, des scienes naturelles, de l'archéologie, de la numismatique et des armes de l'époque coloniale." Carte de la ville

Jumeler une belle expérience de plongée sous-marine et un peu d'histoire ! Mais c'est quoi le fameux débarquement de la baie des Cochons ? Wikipédia introduit l'article sur ce sujet de cette façon : "Le débarquement de la baie des Cochons est une tentative d'invasion militaire de Cuba par des exilés cubains soutenus par les États-Unis en avril 1961 . Planifiée sous l'administration de Dwight Eisenhower , et organisée par la CIA, l'opération était lancée au début du mandat de John F. Kennedy . Elle visait à faire débarquer à Cuba, le 17 avril 1961 , environ mille quatre cents exilés cubains recrutés et entraînés aux États-Unis par la CIA . Leur objectif était de renverser le nouveau gouvernement cubain établi par Fidel Castro , qui menait une politique économique défavorable aux intérêts américains et se rapprochait de l' URSS . L'opération fut un échec complet et les prémices d'une grave et profonde dissension entre la présidence et les services secrets américains." Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9barquement_de_la_baie_des_Cochons L'information présentée sur la page de Wikipedia est très complète et très intéressante. La baie des Cochons est un site renommé pour la qualité de l'expérience de plongée, en apnée ou avec bouteilles, et accessible à partir de Varadero (environ 2 heures de route). Pour les amateurs d'histoire, vous voudrez peut-être faire un petit arrêt à ce musée. D'ailleurs, le terme ne se réfère pas à des cochons, mais à une espèce de poissons appelés "cochinos" en espagnol cubain. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Baie_des_Cochons Commentaires tirés de TripAdvisor "Un musée somme toute logique, plutôt bien entretenu, qui va expliquer en détails toute l'histoire de cette invasion de la baie des cochons en 1961, assez petit, 3 salles. A l’extérieur chars et avion de l'époque. A faire." "Ce musée relate le débarquement de la Baie des Cochons et le fiasco de l'armée U.S. Pour ceux qui aime l'histoire c'est assez bien résumé et vous prendra une bonne demie heure."

Parce que nous aimons les Cubaines et les Cubains Beaucoup d'entre nous ressentent une affection particulière pour les Cubaines et les Cubains. Nous admirons leur courage, leur résilience et leur joie de vivre, même face aux défis quotidiens. En raison de l'embargo américain, de nombreux produits de première nécessité ne sont pas facilement accessibles à Cuba. C'est pourquoi nous aimons leur offrir des cadeaux qui peuvent leur être utiles. Bien sûr, ils apprécient les pourboires en monnaie locale, mais souvent, certains articles ne sont tout simplement pas disponibles ou sont vendus à des prix exorbitants. Si ce que nous offrons ne leur est pas directement utile, ils partagent généreusement avec leur famille ou l'échangent. Rien n’est perdu ! Le personnel des hôtels reçoit beaucoup de cadeaux, surtout les femmes de chambre et les barmans. Cependant, il ne faut pas oublier les jardiniers, le personnel d'entretien des espaces communs, les employés de cuisine et tant d'autres qui œuvrent en coulisses pour rendre notre séjour agréable. Des pénuries qui persistent en 2024 Depuis la fin de 2018, les sanctions économiques renforcées par l'administration Trump ont aggravé les pénuries à Cuba. Bien que l'essence et d'autres produits de base soient parfois difficiles à obtenir, le gouvernement cubain continue de tout mettre en œuvre pour préserver l'industrie touristique, en veillant à ce que les hôtels soient moins touchés par ces restrictions. Cependant, pour les habitants des villes environnantes, la situation est bien différente. Plusieurs membres de notre communauté expriment le désir de faire des dons directement aux familles locales qui en ont besoin. À la fin de cet article, vous trouverez des liens vers d'autres textes pour ceux qui souhaitent en savoir plus. Voici une carte des petites villes et villages à proximité de Varadero (environ 20 à 30 minutes en voiture). Joindre l'utile à l'agréable Faire un détour pour offrir des dons en dehors de Varadero est également une belle opportunité pour découvrir la région. Santa Marta : Le marché public du dimanche matin (9 h à midi) est une activité incontournable ! Vous y trouverez des stands offrant des produits locaux et des restaurants à prix très abordables. J'ai dégusté un délicieux jus de fraise pour quelques centimes. Il y a aussi des restaurants moins chers qu’à Varadero. Boca de Camarioca : Ce petit village de pêcheurs est un arrêt parfait en direction de la grotte de Saturno. Vous y trouverez une plage charmante et des restaurants à prix modiques. Cardenas : De nombreux employés des hôtels de Varadero résident à Cardenas. Cette ville historique est le lieu où le drapeau cubain a été hissé pour la première fois en 1850. Cardenas abrite plusieurs attraits historiques, dont une statue de Christophe Colomb, une cathédrale célèbre pour ses vitraux, et bien plus encore ! Autres articles qui pourraient vous intéresser : Comment donner aux plus démunis à Varadero et dans ses environs (y compris l'hôpital pédiatrique de Cardenas) : Lien vers l'article Marché public de Santa Marta : Lien vers l'article Boca de Camarioca : Lien vers l'article Carte de Cardenas

Le Varadero que vous ne connaissez pas Voici une traduction en français d'un article de Ciro Bianhi Ross "C'était Sebastián de Ocampo, dans son bojeo de la Isla, le premier Européen à avoir visité Varadero en 1508, , célèbre d'abord pour ses salines et ensuite pour ses carrières avant de devenir l'un des pôles fondamentaux du tourisme Cubain Savez-vous comment il a grandi? Je vais dédier l'espace d'aujourd'hui pour parler d'un Varadero que vous ne connaissez pas. Le mouvement des temporadistes commence à Varadero vers 1840 et en 1883 et une industrie touristique naissante se crée lorsque Mamerto Villar crée une auberge et un service d’auberge. entreprise que la ville de Cárdenas considérait si rare qu'il finit par l'exempter de payer ses impôts. La même année, Antonio Torres crée le kiosque Torres pour la vente de boissons non alcoolisées et de poisson frit. Cet établissement a prospéré et est aujourd'hui considéré comme l'embryon des grands hôtels ouverts à Varadero pendant la République. C'est en 1883 que le complexe acquit un statut légal lorsque dix investisseurs se partagent à parts égales les deux cavaleries [?] terrestres du domaine de Varadero. En 1888, Torres ajouta plusieurs salles et deux maisons en bois et en tuiles à son kiosque. L'établissement ne tarda pas à devenir un centre culturel et quelques années plus tard, Villar transforma son auberge en motel. Une nouvelle ville est promue dans la station thermale et le club de sport Varadero émerge. Avec l'avènement de la République, en 1902, Torres a commencé à fournir un service de restauration tout au long de l'année. En 1910, le premier hôtel de plage ouvre ses portes et, après la fin de la Première Guerre mondiale, un restaurant est installé dans un ranchón de la région de Kawama. Les régates, convoquées à l'origine en 1900, sont systématisées à partir de 1910. En 1913, le téléphone arrive et en 1915, l'éclairage public avec des lanternes au carbure s'allume jusqu'à neuf heures du soir. L'électricité est arrivée en 1917. Cependant, en 1919, seulement 193 personnes résidaient régulièrement à Varadero . Il ne pouvait en être autrement dans un endroit où l'hygiène publique était désastreuse et où il n'y avait pas d'eau potable. Dans les années 20, malgré la crise économique, Torres fait de son établissement un hôtel qui mérite d'être pris en compte, et le bar Kukito, avec sa salle de bal, est l'embryon des années 1930 des futurs centres touristiques de la région. . Le millionnaire américain, Irene Dupont de Nemours, acquiert un terrain sur la péninsule, construit son hôtel particulier à Xanadú dans le meilleur quartier de la plage et crée une société de vente de terrains . L'aqueduc existe depuis 1928. Les artisans de coquillages et d'escargots, qui rencontre un vif succès auprès des visiteurs du spa, commence à être commercialisé à La Havane, grâce au magasin La Sortija, et arrive aux États-Unis. En 1931, l’hôtel Kawama commença à fournir des services. De là, on constate une croissance vertigineuse des centres récréatifs et nocturnes et en 1933, il y a cinq hôtels de plage , sans compter les pensions . En 1938, la boulangerie Varadero fonctionne. Vers la même époque, le premier centre de services est établi à Kawama et le cinéma arrive dans cette station balnéaire. Deux ans plus tard, un magasin de produits industriels ouvre ses portes et mettra l'accent sur les articles de plage et les vêtements en textile en vogue. Une blanchisserie avec collecte et livraison à domicile est également inaugurée. Avec la mise en place de ces derniers services, Varadero était déjà en mesure de commencer à recevoir du tourisme. Les voies de communication se sont considérablement améliorées depuis la construction de l'autoroute en 1911 à partir de la ville de Cárdenas. En 1933, les chemins de fer ouvrent leur tronçon Havane-Cárdenas et, en 1935, une liaison aérienne assure la liaison avec la capitale de l'île. En 1949, les vols Miami-Varadero-Miami ont commencé. Le réseau de services à la population et aux touristes devient vaste et varié à ce stade avec l’ouverture d’une fabrique de glace, d’une station de radio et de nouveaux établissements commerciaux. Deux événements vont clore la décennie: l’inauguration, le 21 décembre 1950, de l’ hôtel International , coûtant trois millions de pesos, et le forage, à Cayo Diana, d’un puits de pétrole, dont l’exploitation n’est pas exploitée. continué. En 1952, la population fixe dépassait 7 000 habitants. En 1935, le premier guide touristique de la station thermale avait été publié en anglais. Dans les années 40 du siècle dernier, le tourisme avait déjà remplacé tout autre élément économique à Varadero. Au début des années 50, le territoire comptait seize hôtels, auxquels s'ajouteront six autres jusqu'en 1959 pour un total de vingt-trois établissements hôteliers. À cette date, 18 maisons d'hôtes, 30 discothèques reconnues et dûment enregistrées et 17 unités gastronomiques étaient en activité à Varadero, chiffre qui n'incluait ni les cafés ni les bars." L'original en espagnol de cet article est disponible à partir du lien suivant : http://www.cubadebate.cu/especiales/2019/09/27/el-varadero-que-usted-no-conoce/#.XY4wqIqQy60

Les CDR sont une organisation de masse dont les objectifs sont de mobiliser le peuple dans les tâches de défense de la Révolution et des conquêtes du socialisme cubain, à travers un travail direct avec les familles de la communauté. Près d'un million de personnes, rassemblées devant l'ancien palais présidentiel (aujourd'hui musée de la Révolution), écoutait le Premier ministre de l'époque Fidel Castro Ruz dans la nuit du 28 septembre 1960 lorsque plusieurs explosions inquiétantes ont été entendues. Ensuite, ceux qui y étaient rassemblés ont répondu par des acclamations à la Révolution, à son chef et ils ont entonné les notes de l'hymne national. «Nous allons mettre en place un système de surveillance révolutionnaire collective - avait souligné Fidel Castro à cette occasion - Ils jouent avec le peuple et ils ne savent pas encore qui est le peuple; ils jouent avec le peuple et ils ne connaissent pas la formidable force révolutionnaire qui existe dans le peuple». Ce même soir, à l'issue du discours, les premiers Comités de Défense de la Révolution (CDR) sont nés. Cet organisme rassemble la grande majorité de la population de plus de 14 ans qui souhaite travailler au profit de la communauté, et est structuré dans tout le pays, tant en milieu rural qu'urbain. Les CDR sont constitués à partir du lieu de résidence, dans les villes par des blocs ou immeubles multifamiliaux et à la campagne à partir de maisons voisines, hameaux et communes. Les chefs de bloc et de zone mènent cette activité de manière totalement volontaire. C'est une organisation non gouvernementale qui se finance grâce aux contributions de ses membres. Tous les responsables des CDR sont proposés et élus démocratiquement par les riverains. L'organisation travaille avec toutes les personnes du quartier, pour maintenir la tranquillité des citoyens et la protection des biens de la communauté, ainsi que pour promouvoir la participation à des tâches d'intérêt économique, politique, idéologique et communautaire. Le CDR est organisé par blocs, zones, municipalités, provinces et nation. Il rassemble dans ses 133 000 noyaux près de huit millions de citoyens cubains, sans distinction de sexe, de race ou de religion. "Le système révolutionnaire de surveillance collective mis en place contre les terroristes et les criminels a démontré, comme Fidel l'avait souligné, que lorsque le peuple s'organise, il n'y a ni impérialistes ni laquais des impérialistes, ni vendus aux impérialistes, ni instruments des impérialistes qui peuvent bouger." Les détracteurs du système socialiste estiment cependant que l'organisation du CDR aurait produit une structure contrôlée par l'État qui, en plus de son travail social, exerce la mission principale de surveiller et de contrôler la vie publique et privée des individus, des familles et des voisins, d'un niveau très proche de ceux-ci. Certains analystes internationaux considèrent que les comités agissent comme une police secrète où des espions du gouvernement, cherchent à garantir la continuité du système politique actuel. La vérité est que les CDR ont toujours eu une certaine réputation parmi les Cubains, pour être apparemment des foyers de colporteurs et dénonciateurs basés sur une politique de jalousie et d'envie un peu destructrices. Personne n'en sait ni en dirait jamais rien cependant. C'est ainsi que les familles cubaines, qui avaient réussi à surmonter le bas niveau économique, devenu culture au fil des ans, ont dû se montrer discrètes et cacher leur succès particulier des commérages et des regards curieux du quartier, au cas où. Pour être heureux, vivons cachés. Même pas besoin de caméras de surveillance, inexistantes d'ailleurs à l'époque, les vieilles commères au balcon étaient largement efficaces. Je me rappelle que, il y a longtemps lorsque je n'imaginais même pas faire ce métier, et que les chambres d'hôtes ne rêvaient pas encore d'exister, si une famille cubaine osait accueillir un touriste étranger en visiteur à la maison, il était obligatoire de déclarer sa présence au CDR et, dès lors l'intégrité idéologique de la famille serait effectivement mise en question. La peur absurde d'être influencé par la subversion d'une mentalité étrangère à notre réalité, emmenait souvent à des situations surréalistes. Les temps ont beaucoup changé depuis. En effet plus d'un demi-siècle s'est écoulé depuis la création de cette organisation populaire et ces vieilles craintes de sabotage contre-révolutionnaire, d'autres actes criminels de droit commun et la nécessité de protéger le bien collectif ont cédé la place à d'autres préoccupations vitales d'actualité comme la subsistance quotidienne, la lutte pour la vie. Aujourd'hui, l'assurance économique est une priorité pour la famille et personne ne se soucie plus de ce qui pourrait arriver dans le quartier. A part ça, il faut dire que rien ne se passe jamais. Les nuits cubaines sont pour règle générale très calmes et sûres. Les CDR ont visiblement perdu leur force et enthousiasme d'origine. L'ancien pouvoir légitime de convocation, qui lui était inhérent, n'est plus le même. Très peu de cubains organisent encore ces veilles nocturnes qui touchaient chaque famille une fois par mois. Pour beaucoup de monde, cette institution de quartier ne survit que symboliquement, et grand nombre d'entre eux affirment aujourd'hui qu'elle ne sert qu'à apporter la contribution annuelle de ses membres, sans savoir avec certitude pourquoi. Les CDR, pourrait-on dire, vivent de nos jours dans la gloire du passé. Pour la plupart de ses affiliés actuels, davantage par tradition et coutume que par vraie conviction, les CDR ne sont presque plus utiles, ne serait-ce que pour l'occasion de préparer, pour son anniversaire de fondation, une soupe collective, la caldosa, faite dans les rues mêmes, qui invite les voisins cederistas à se retrouver autour d'une bouteille de bon rhum cubain la veille soir au 28 septembre, et à se souvenir ensemble, non sans nostalgie, des bons moments passés et qui se sont dissous dans un verre de Ron. Ce soir... même pas de caldosas dans les rues. L'ambiance typique s'est éteinte pour cause des restrictions de rassemblement en vigueur. Toutefois, si jamais vous faites séjour à Cuba vers la fin septembre l'année prochaine, ne manquez pas de participer à cette commémoration particulière, d'ambiance festive, conviviale et solidaire entre voisins. N'oubliez surtout pas d'y apporter quelque chose, à boire ou pour l'élaboration de la caldosa, comme tous les cubains.

Le café cubain est bien plus qu'une simple boisson ; c'est un élément fondamental de la culture et de l'identité de Cuba. Avec ses arômes riches et son goût distinctif, le café joue un rôle central dans la vie quotidienne des Cubains. Histoire et production Le café a été introduit à Cuba au XVIIIe siècle et a rapidement évolué pour devenir l'une des principales cultures agricoles de l'île. Les régions de Pinar del Río , Santiago de Cuba  et Las Tunas  sont reconnues pour produire certains des meilleurs cafés du pays. Le climat tropical, avec ses précipitations et ses sols riches, crée des conditions idéales pour la culture du café. Variétés et préparation Le café cubain est généralement préparé sous forme d'un espresso fort, souvent sucré, appelé "café con leche"  lorsqu'il est mélangé avec du lait. Les Cubains apprécient également le "café cortado,"  qui est un espresso avec une petite quantité de lait. La méthode de préparation joue un rôle essentiel dans la saveur du café, où le temps d'extraction et la finesse de la mouture sont cruciaux pour obtenir un goût optimal. Un symbole de convivialité Au-delà de la simple consommation, le café est un symbole de convivialité à Cuba. Les rencontres autour d'une tasse de café sont courantes, et c'est souvent un prétexte pour socialiser et partager des moments de la vie quotidienne. Les Cubains prennent le temps de savourer leur café, et cette pratique est considérée comme un art de vivre. Café cubain sur la scène internationale La réputation du café cubain s'est étendue au-delà des frontières de l'île, attirant l'attention des amateurs de café du monde entier. Des marques comme "Café Turquino"  et "Café La Abuela"  sont devenues emblématiques, représentant la qualité et l'authenticité du café cubain. Conclusion Le café cubain est un véritable trésor qui reflète l'histoire, la culture et l'hospitalité de l'île. Que ce soit pour son goût inoubliable ou pour les moments de partage qu'il engendre, le café reste un pilier de la vie à Cuba. Pour en savoir plus sur le café cubain, visitez des ressources comme Café de Cuba  ou Cuban Coffee .

Dans la nuit du vendredi 25 novembre 2016, Fidel Castro est décédé. Cet événement marquera l'une des dernières étapes de sa vie, après 90 ans d'histoire, particulièrement marquée par la Révolution. Sa fin est survenue loin du pouvoir, avec une approche historique des relations entre Cuba et les États-Unis gérée par Raúl Castro, qui avait pris les rênes du pays en 2008. Fidel Alejandro Castro Ruz, mieux connu sous le nom de Fidel Castro, est né à Birán, dans la province de Holguín, le 13 août 1926. Il était militaire cubain, révolutionnaire, homme d'État et homme politique. Il a occupé les fonctions de Premier ministre (1959-1976) et de président (1976-2008) de son pays. Il a également été commandant en chef des Forces armées révolutionnaires (1956-2008) et a été le premier secrétaire du Parti communiste cubain (PCC) de 1965 jusqu'à 2011, date à laquelle il a définitivement quitté ses fonctions et transféré tous les pouvoirs à son frère, Raúl Castro. Sur le plan professionnel, il était avocat, docteur en droit civil et diplômé en droit diplomatique. Fidel Castro a fait ses débuts dans la vie publique en tant que politicien d'opposition et s'est particulièrement distingué après l'assaut de la caserne de Moncada en 1953, ce qui lui a valu une condamnation à la prison. Libéré grâce à la pression de l'opinion publique, il s'exila au Mexique, où il planifia l'invasion de la guérilla de 1956. Il accéda au pouvoir après avoir dirigé la Révolution cubaine, qui triompha le 1er janvier 1959, renversant la dictature de Fulgencio Batista. Il fut nommé Premier ministre le 27 février de la même année par le président Manuel Urrutia. En 1961, il dirigea l'adoption du marxisme par le gouvernement révolutionnaire, établissant ainsi le premier État socialiste en Amérique. Après la réforme constitutionnelle de 1976, il fut élu président du Conseil d'État et du Conseil des ministres. En 1965, il fonda le Parti communiste et en fut le premier secrétaire jusqu'en 2011. Le 19 février 2008, dans une lettre publiée dans le journal Granma, il annonça qu'il ne se présenterait ni n'accepterait de nouveau mandat lors de la réunion de l'Assemblée nationale du pouvoir populaire le 24 février de la même année. Sur la scène internationale, il tenta d'abord d'établir de bonnes relations avec les États-Unis, puis développa des liens étroits avec l'URSS. Après une série d'expropriations de capitaux américains, les désaccords avec les États-Unis conduisirent à un embargo économique contre Cuba. Depuis lors, ses relations avec la superpuissance sont devenues ouvertement antagonistes, surtout après l'échec de l'invasion de la baie des Cochons en 1961. Fidel Castro a reçu de nombreuses décorations nationales et internationales. Le 25 novembre 2016, Raúl Castro annonça à la télévision le décès de son frère. Ses restes furent incinérés et ses cendres parcoururent Cuba lors d'une caravane de quatre jours, avant d'être enterrées définitivement à Santiago de Cuba. En raison de sa longue gestion et des caractéristiques uniques de ses politiques, il a suscité un débat intense entre les opposants et les partisans de son gouvernement, oscillant entre la qualification de dictature et l'expression de la volonté du peuple cubain. Hasta siempre, comandante !

Alcool et tabac à Varadero : Ce que vous pouvez ramener (ou pas) On m’a souvent dit : “Ma sœur n’a eu aucun problème en passant les douanes canadiennes à son retour”. Peut-être, mais est-ce une garantie ? Pas vraiment ! ;-) Concernant l'alcool et le tabac à Varadero La réponse est : peut-être oui, peut-être non. En réalité, plusieurs facteurs déterminent ce que vous pouvez rapporter et surtout, en quelles quantités. Par exemple, vous serez sans doute intéressé de savoir que, pour l’Agence des services frontaliers du Canada, certaines exemptions ne s’appliquent qu’à certaines conditions : Durée minimale d’absence  : Pour bénéficier d’une exemption, vous devez être absent du Canada pendant au moins sept jours. Le calcul de la durée d'absence exclut la journée où vous avez quitté le Canada, mais inclut celle de votre retour. Par exemple, si vous partez le vendredi 7 et revenez le vendredi 14, vous remplissez les conditions pour l'exemption. Et si je veux rapporter plus ? C’est possible ! Mais attention, il y a des règles à respecter : À l’exception des articles restreints, vous pouvez ramener autant de biens que vous le souhaitez. Cependant, si vous dépassez votre exemption personnelle, vous devrez payer les droits, taxes et prélèvements provinciaux ou territoriaux applicables sur l'excédent. Comment naviguer parmi toutes ces règles ? Les voyageurs les plus prudents veilleront à respecter strictement les limites imposées. Ceux qui aiment prendre un peu plus de risques se diront qu’au pire, ils paieront les droits à leur retour. Mais attention, dans certains cas, une amende peut s’ajouter aux droits de douane. Il est donc préférable de bien calculer ce que vous souhaitez ramener pour évaluer si cela en vaut la peine. Ne vous fiez pas uniquement aux expériences partagées sur les forums, y compris sur notre page. Comme la plupart d’entre nous préparons nos voyages plusieurs mois à l’avance, il est sage de consulter les sources officielles pour faire des choix éclairés. Boissons alcoolisées Les boissons alcoolisées sont des produits dont la teneur en alcool dépasse 0,5 %. Certains produits contenant de l'alcool ou du vin et n'excédant pas 0,5 % d'alcool ne sont pas considérés comme étant des boissons alcoolisées. Si vous avez passé 48 heures ou plus à l'extérieur du Canada, vous pouvez importer l' une des quantités suivantes d'alcool sans payer de droits ni de taxes : Produit Système métrique Système impérial Nombre estimatif Vin Un maximum de 1,5 litre Un maximum de 53 onces liquides Deux bouteilles de vin de 750 ml Boissons alcoolisées Un total de 1,14 litre Un total de 40 onces liquides Une grande bouteille standard de spiritueux Bière ou ale Un total de 8,5 litres Un total de 287 onces liquides 24 canettes ou bouteilles de 355 ml chacune de bière ou d'ale Pour pouvoir importer de l'alcool, vous devez satisfaire au critère d'âge établi dans la province ou le territoire d'entrée au Canada. L'âge minimal requis pour importer des boissons alcoolisées, fixé par les autorités provinciales ou territoriales, est de 18 ans dans les provinces de l'Alberta, du Manitoba et du Québec et de 19 ans dans les autres provinces et territoires. L'ASFC classe les « panachés » ( coolers ) selon le type d'alcool qu'ils contiennent. Par exemple, les panachés de bière sont considérés comme de la bière, et les panachés de vin, comme du vin. Les quantités de boisson alcoolisée que vous pouvez importer doivent respecter les limites établies par les autorités provinciales et territoriales de réglementation des alcools compétentes à l'endroit où vous entrez au Canada. Si la quantité d'alcool que vous désirez importer excède votre exemption personnelle, vous devrez payer les droits et les taxes ainsi que tout prélèvement provincial ou territorial qui s'appliquent. Communiquez avec l'autorité de réglementation des alcools provinciale ou territoriale appropriée pour obtenir davantage de renseignements avant de revenir au Canada. Produits du tabac Si vous désirez accélérer votre passage à la douane, assurez-vous que les produits du tabac que vous avez achetés sont prêts à être inspectés au moment de votre arrivée. Qu'ils soient estampillés ou non, si vous ramenez des produits du tabac qui excèdent votre exemption personnelle, vous devrez débourser les droits et les taxes courants ainsi que tout prélèvement provincial ou territorial qui s'appliquent sur le montant au-delà de la limite d'exemption. Remarque : Vous devez avoir  18 ans pour ramener des produits du tabac au Canada en vertu de votre exemption personnelle. Produits du tabac estampillés – montants d'exemption personnelle Si vous voulez importer des cigarettes, du tabac fabriqué et des bâtonnets de tabac hors taxes dans le cadre de votre exemption personnelle, les paquets doivent porter l'estampille «  duty paid Canada droit acquitté  ». Vous trouverez des produits du tabac vendus à des boutiques hors taxes portant cette estampille. Si vous avez passé 48 heures ou plus à l'extérieur du Canada, vous pouvez importer toutes les quantités suivantes de cigares et de tabac estampillés au Canada sans avoir à débourser de droits et de taxes. Product Montant Cigarettes 200 cigarettes Cigares 50 cigares Tabac fabriqué 200 grammes (7 onces) de tabac fabriqué Bâtonnets de tabac 200 bâtonnets de tabac Produits du tabac non estampillés – taux de droit spécial Un taux de droit spécial s'applique aux cigarettes, au tabac fabriqué et aux bâtonnets de tabac qui ne portent pas l'estampille «  duty paid Canada droit acquitté  ». Par exemple, si vous rapportez une cartouche de 200 cigarettes dans le cadre de votre exemption personnelle et qu'elle ne porte pas l'estampille «  duty paid Canada droit acquitté  », on appliquera un taux de droit spécial. Produits du tabac non estampillés – limites d'importation En plus de vos montants d'exemption personnelle, il existe des limites sur la quantité de produits du tabac qui peuvent être importés s'ils ne sont pas emballés et s'ils ne portent pas l'estampille «  duty paid Canada droit acquitté  ». La limite est présentement de cinq unités de produits du tabac. Une unité de produits du tabac correspond à l'une des possibilités suivantes : Product Montant Cigarettes 200 cigarettes Cigares 50 cigares Tabac fabriqué 200 grammes (7 onces) de tabac fabriqué Bâtonnets de tabac 200 bâtonnets de tabac Voici le site officiel  à consulter pour connaître les règles en vigueur auprès de l’Agence des services frontaliers du Canada : https://www.cbsa-asfc.gc.ca/travel-voyage/declare-fra.html Pour nos membres originaires d'autres pays, comme l’Europe ou l’Amérique du Sud, n’hésitez pas à partager les liens officiels équivalents pour aider vos compatriotes à bien se préparer.

Bagages autorisés en cabine si vous voyagez avec un bébé Je voyage avec un bébé, que puis-je apporter avec moi en cabine? Selon le site de l’ACSTA – les exceptions pour les bagages si vous voyagez avec un bébé sont : Certains articles ne sont pas soumis à la limite de 100 ml ou 100 g (3,4 oz) et il n’est pas nécessaire de les ranger dans un sac de plastique. Toutefois, vous devez déclarer ces articles à l’agent de contrôle aux fins d’inspection. Les exceptions sont les suivantes : · Aliments et boissons pour bébés : Si vous voyagez avec un enfant de moins de deux ans (0 à 24 mois), il est permis d’apporter des aliments pour bébés, du lait, de la préparation pour nourrissons, de l’eau et du jus. · Lait maternel : Les passagers voyageant avec ou sans enfants peuvent transporter des quantités de lait maternel dépassant 100 ml. Que disent les compagnies aériennes ? Encore une fois, une bonne conseillère en voyages ou un bon conseiller en voyages sera votre meilleure ressource pour vous aider à préparer un voyage “tout doux” si vous devez prendre l’avion avec un bébé ou un jeune enfant. N’hésitez pas à utiliser leurs compétences ! Air Transat : https://www.airtransat.com/fr-CA/Info-voyage/Familles-et-enfants/Voyager-avec-des-enfants Sunwing : https://www.sunwing.ca/pages/fr/sunwing-airlines/special-assistance Air Canada : https://www.aircanada.com/ca/fr/aco/home/plan/special-assistance/travelling-with-children.html Recommandations Il est parfois difficile de trouver des couches pour les bébés à Varadero. Mieux vaut en apporter plus que moins ! Il est aussi recommandé d’apporter tous les médicaments qui peuvent être nécessaires pour un bébé ou un jeune enfant (Zincofax, Tylenol, etc.) parce qu’ils peuvent être parfois très difficiles à trouver à Varadero.

Note : En raison des changements rapides actuellement, tant au Canada qu'à Cuba, veuillez vérifier les informations avant votre départ. Dans les vols réguliers, le poids maximal autorisé pour une valise est de 23 kg. Le poids des bagages à main n'est pas vérifié, mais vous devez être capable de les placer vous-même dans le compartiment au-dessus de votre siège ou sous le siège devant vous. Optimiser vos bagages si vous souhaitez apporter des mé Un sac de voyage, comme un sac à main, est également autorisé. Alors, comment voyager léger tout en apportant le maximum pour les Cubains ? À la fin de cet article, vous trouverez un lien vers un site fantastique où une hôtesse de l'air partage ses meilleures astuces. Même en situation régulière, vous y découvrirez des conseils utiles à mettre en pratique. De nombreux voyageurs répartissent leurs affaires entre deux valises : si l'une est perdue ou arrive en retard, l'autre peut au moins servir pendant quelques jours. Une autre astuce à garder à l'esprit ! Voici ce que je ferais personnellement : 1) Je limiterais ma garde-robe au strict minimum en choisissant des vêtements qui peuvent facilement être coordonnés : une robe de jour pouvant être portée en soirée avec une simple veste légère pour un look plus élégant si nécessaire, deux shorts et deux t-shirts assortis, etc. 2) Je privilégierais les vêtements les plus légers et faciles à laver à la main (je n'aime pas faire de lessive en voyage, mais bon... on peut trouver des mini-bouteilles de détergent dans les pharmacies, et au besoin, je ferais sécher les vêtements avec un sèche-cheveux), une seule paire de chaussures aussi légère que possible et une paire de sandales, etc. 3) Je laisserais les livres et autres objets lourds à la maison : pour une fois, je peux m'en passer pendant un voyage ! 4) Je n'emporterais qu'un sac de plage, qui servirait également de sac à main. 5) J'opterais pour la technique des "couches multiples", similaire à celle utilisée en hiver mais adaptée à l'été. Comme nous ne sommes pas pesés, il est possible de porter plusieurs vêtements au départ de l'aéroport : un débardeur léger sous un ou deux t-shirts, une couche supplémentaire avec des manches longues, une veste très légère pouvant également servir d'imperméable. On peut également glisser plusieurs petits objets non métalliques dans nos poches, comme des bijoux pour ajouter une touche d'élégance à une tenue de soirée, des écouteurs, un mini-pain de savon de voyage, des élastiques à cheveux, et bien plus encore ! On peut transporter ces vêtements dans un sac en plastique jetable et les enfiler juste avant de passer les contrôles de sécurité à l'aéroport, puis les retirer dans l'avion. En conclusion, nous travaillons dur toute l'année pour des vacances à la hauteur de nos rêves ! Chacun de nous doit faire des choix avec lesquels il est à l'aise. 50 astuces pour optimiser la façon de faire ses bagages https://shorturl.at/bmTU1

Sites qui proposent des "trucs" pour mieux voyager Plein de trucs et astuces utiles ! Un exemple ? Placez certains morceaux de vos vêtements dans la valise de votre partenaire de voyage. Une valise se perd si facilement dans les déplacements en avion. Si vous voyagez à deux, glissez quelques vêtements dans la valise de l’autre et vice versa. Si vous perdez une valise, vous serez beaucoup moins dans l’embarras. Si vous êtes seul, vous pourriez garder un ensemble de rechange avec vous dans votre sac ou dans la cabine. Voici une sélection de sites : Les 100 meilleurs trucs de voyage 100 des meilleures astuces de voyage au monde ( aircanada.com ) 50 trucs pour faire sa valise https://www.selection.ca/voyage/astuces-de-voyage/comment-faire-sa-valise-50-trucs-retenir/ J'ai particulièrement aimé les suggestions 18, 24 et 48. Partir pour 14 jours avec juste un bagage de cabine https://www.youtube.com/watch?v=abh6Mt_JP2g 50 trucs très utiles pour optimiser la façon de faire ses bagages 50 astuces pour optimiser la façon de faire ses bagages ( homehacks.co ) Mes 30 trucs et astuces appris en voyage Sites qui proposent des "trucs" pour mieux voyager

Comment préparer vos bagages de cabine Vos bagages de cabine et les bacs seront introduits dans l’appareil de radioscopie afin qu’un agent de contrôle puisse en examiner le contenu. Il arrive parfois que les bagages de cabine nécessitent une fouille supplémentaire si les agents de contrôle y découvrent des articles qui ne sont pas permis. Si vous êtes incertain des articles qui sont autorisés dans les bagages de cabine, consultez la page Que puis-je emporter? avant de préparer vos bagages. Assurez-vous de pouvoir facilement retirer votre ordinateur portatif, votre caméra vidéo et votre appareil photo à pellicule de vos bagages de cabine. Placez vos articles de toilette personnels dans un sac en plastique transparent. Apportez seulement des liquides, aérosols et gels qui se trouvent dans des contenants de 100 ml/100 g (3,4 oz) ou moins. Tous ces articles doivent être rangés dans un seul sac en plastique transparent fermé et refermable d'une capacité maximale de 1 L (1 pte). La quantité totale de certaines poudres et certains matériaux granulaires (p. ex., la poudre pour bébés, la poudre pour les pieds, certaines poudres pour cuisson et épices , le sable) est limitée à 350 ml dans les bagages de cabine. Liquides exemptés – comme les médicaments, la préparation pour nourrissons ou le lait maternel - devraient être placés de sorte qu'ils puissent être facilement retirés des bagages de cabine afin d'être inspectés. Évitez d'apporter des cadeaux et des souvenirs contenant des liquides, aérosols et gels dans vos bagages de cabine. Cela comprend : l'alcool, le vin, la bière, les boules à neige, les boîtes de soupe condensée, le sirop d'érable, le parfum et les lotions. Mettez-les dans vos bagages enregistrés ou expédiez-les séparément. Les articles fragiles, comme les lunettes de vue et de soleil prescrites, la vaisselle, les figurines et la verrerie, devraient être bien emballés dans vos bagages de cabine pour vous assurer qu'ils ne se cassent pas. Source : Comment préparer vos bagages de cabine - ACSTA (catsa-acsta.gc.ca)

Le 27 septembre 1513 marque l’un des premiers jalons de l’histoire coloniale de Cuba avec l’arrivée du conquistador espagnol Diego Velázquez de Cuéllar , qui allait jouer un rôle crucial dans la conquête et la colonisation de l’île. Chargé par les autorités espagnoles d'étendre leur empire aux Caraïbes, Velázquez fonda les premières villes cubaines, établissant une présence permanente sur l’île qui allait avoir un impact profond et durable sur la culture et l’histoire de Cuba. L'arrivée à Cuba Velázquez, accompagné de troupes et de colons, débarqua à Cuba avec la mission de soumettre les peuples indigènes Taínos et de prendre le contrôle de l’île au nom de l'Espagne. Dès 1511, il avait déjà entamé cette conquête, mais son expédition de 1513 fut déterminante pour établir les premières colonies espagnoles. Il fonda la ville de Baracoa , qui devint la première capitale de Cuba, avant de poursuivre avec la création de villes telles que Santiago de Cuba et La Havane. La conquête des Taínos Les populations indigènes de Cuba, principalement les Taínos, résistèrent à la conquête espagnole. Cependant, face à la supériorité militaire des Espagnols et les maladies européennes contre lesquelles ils n’étaient pas immunisés, les Taínos furent rapidement décimés. Diego Velázquez utilisa des stratégies violentes pour asseoir l'autorité espagnole, ce qui conduisit à la disparition de la grande majorité des populations indigènes cubaines en quelques décennies. L’impact colonial Sous Velázquez, Cuba devint une plaque tournante importante pour l’expansion espagnole dans les Caraïbes et en Amérique centrale. Les ressources naturelles de l’île, en particulier l’or, furent exploitées au profit de la couronne espagnole, tandis que des colons européens commencèrent à s’installer sur l’île. L’histoire coloniale de Cuba, débutée avec l’arrivée de Velázquez, fut caractérisée par l'exploitation des ressources, l’esclavage des peuples autochtones et, plus tard, l’introduction de l'esclavage africain pour maintenir l'économie agricole croissante, notamment dans le sucre et le tabac. Héritage de Velázquez Aujourd’hui, l’héritage de Diego Velázquez est complexe. D’une part, il est reconnu pour avoir joué un rôle fondamental dans l’établissement des premières structures politiques et économiques de l’île, mais d’autre part, il est aussi associé à la violence de la colonisation et à la destruction des cultures indigènes. Son influence sur l’histoire de Cuba est indéniable et sa conquête a façonné les bases de la société cubaine moderne.

Le corossol ou cachiman épineux est le fruit d'un arbre au climat tropical, d'origine inconnue à proximité de Porto Rico, de la République dominicaine, de Cuba et de la région des Caraïbes en général. Le fruit est très délicat, de couleur vert foncé et couvert d'épines douces. C'est un fruit relativement grand dont la peau est très mince. La guanábana doit être récoltée avant la maturité. Si le fruit mûrit sur l'arbre il est souvent dévoré par les oiseaux et les chauves-souris, en plus il se détache facilement par son poids. Les fruits peuvent peser jusqu'à 5 kg par unité. La pulpe est blanche, crémeuse, juteuse et légèrement acide, et son arôme typique est similaire à celui de l'ananas. Comme d'autres fruits de la famille des anonacées, c'est plein de petites graines à retirer patiemment. Sa teneur en vitamine C et en provitamine A en fait un fruit idéal par rapport à son action antioxydante, qui contribue également à réduire le risque des maladies telles que les troubles cardiovasculaires, dégénératifs ou encore le cancer, ainsi qu'à retarder le processus de vieillissement. Depuis 1999, diverses informations sur l'efficacité du thé au corossol dans la guérison du cancer circulent couramment, mais il n'y a toujours pas d'étude clinique chez l'homme. Le corossol est antimicrobien et son faible apport calorique et gras en fait un allié pour les personnes souhaitant perdre du poids. De plus, en ayant des fibres solubles, comparées favorablement à d'autres fruits tropicaux tels que les oranges, ce fruit a des propriétés laxatives et procure une sensation de satiété. Le corossol est généralement consommé frais ou dans des salades de fruits et de légumes et est également utilisé dans la production de jus de fruits, de crèmes glacés et de champola cubain.

Si je place un cadenas sur mes valises, est-ce que je suis à l’abri de toute fouille ? La réponse est simple : non ! Les autorités de sécurité, partout sur la planète ou presque, ont maintenant le droit d’ouvrir une valise pour en vérifier le contenu. Habituellement, ils vont ensuite placer un mot à l’intérieur pour indiquer que cela a été fait. “Renaud C. – Ils l’ouvrent quand même s’ils veulent – Ils ont fouillé la mienne sans que je sois là – J’avais un papier dans ma valise et je l’ai vu rendu à l’hôtel.” Un cadenas permet au moins que rien ne soit volé dans ma valise. Non ? Plusieurs membres de notre groupe ont déjà partagé des vidéos qui nous démontrent que c’est très facile de contourner un cadenas pour avoir accès au contenu d’une valise. En voici un exemple : https://www.dailymotion.com/video/xdf2nn Ce n’est pas très fréquent, mais quelques personnes ont partagé dans des forums que des objets ont été dérobés dans leurs valises et ce, plus souvent au départ de Varadero qu’à l’arrivée. Comme pour tout voyage, il est toujours recommandé de conserver vos objets de valeur avec vous et non dans vos bagages en soute. Certaines personnes utilisent aussi des Ty-Rap® (collier de serrage en plastique ou serre-câble) pour décourager les voleurs potentiels. Et à l’hôtel, coffre de sécurité ou valise barrée ? Les conseillères et conseillers en voyages vous recommanderont de placer votre passeport et vos objets de valeur dans le coffre de sécurité qui se trouve dans votre chambre, même si vous devez payer des frais pour ce service. Si vous souhaitez changer les devises dans une banque, vous devez présenter votre passeport. Assurez-vous alors de le transporter en sécurité sur vous. Perdre son passeport à Cuba peut créer énormément de problèmes lorsque vient le temps du retour ! N’hésitez pas à noter les informations présentées dans cet article avant votre départ au cas où… J’ai lu sur quelques forums que des personnes avaient constaté que des objets ou vêtements avaient “disparus” de leurs valises dans leurs chambres. Ce serait des cas très rares et comme j’ai pu constater moi-même que les employé(e)s des hôtels sont fouillé(e)s à leur sortie de leur lieu de travail, je serais tentée de le croire. Ils ont bien plus à perdre qu’à gagner ! Barrer ou non ses valises… un choix personnel finalement Comme pour bien d’autres choix, barrer ses valises ou non est un choix personnel. L’important est de le prendre en connaissance de cause ! Mot de la fin sur les cadenas Barrer ses valises avec un cadenas oui ou non? Encore une fois, référons-nous à une source fiable ! https://www.catsa-acsta.gc.ca/fr/bagages-verrouilles

Calle 2-a Santa Marta-, Varadero, Cuba

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​Prix du jour - Départ de Montréal Occupation Double ​Prix du jour - Départ de Québec Occupation Double ​ ​ Voici pourquoi voyager en groupe avec Passion Varadero Un ou plusieurs accompagnateurs Passion Varadero à destination Sélection des sièges gratuite (bloc remis au groupe) Possibilité de départ dans quelques villes du Québec 3 soirées thématiques par voyage INCLUS (Bal en blanc, BBQ Privé et Le Souper "Wow") Les activités sont privées aux membres Passion Varadero (aucun autre touriste = liberté totale de la gestion du temps) Tous les transports vers les activités vous seront proposés en décapotable Un guide cubain de Passion Varadero disponible durant tout votre séjour pour répondre à vos questions Des places VIP réservées sur la plage et à la piscine (certains hôtels) La liberté de suivre le groupe durant nos activités. Vous préférez rester en solo, no problemo! Vous serez identifié Passion Varadero, donc certains avantages. (hôtel et même au centro) Possibilité d’être jumelé à un autre membre du groupe Passion Varadero pour l’hébergement et plusieurs Activités surprise.... Et encore plus, notre passion commune pour Varadero nous fera vivre des moments inoubliables!

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Il existe plusieurs façons d’aider financièrement nos ami(e)s là-bas. 1) Charger leur cellulaire ce qui leur permet de ne pas avoir à payer pour utiliser ce service très utile pour eux Suggestions de plusieurs de nos membres : Fonoma : https://www.fonoma.com/ Hablacuba : https://hablacuba.com Ding : https://www.ding.com/fr Rebtel : https://www.rebtel.com/fr/ Cuballama : https://www.cuballama.com/ DUC App. : https://ducapp.com/?fbclid=IwAR2BKgVit5xK_KDwcybxz-bHoFvzG3h3EiB2f68TJmU_L-TA0gKu8-0R4yo 2) Cartes bancaires prépayées Le problème actuel est que l’idéal est de l’apporter soi-même là-bas. Voici le partage d’une membre : « Pour la carte prépayée, tu fais la demande ici. Moi je l’ai fait à mon nom et je l’ai apportée à Cuba. Ça me coûte 7$ par année et je transfère dans mon appli Desjardins les $$ que je veux quand je veux . » Une personne nous a dit qu’il était préférable d’aviser l’institution bancaire à l’avance si le montant du transfert est élevé. 3) Virements internationaux de Desjardins Une membre nous dit que « Desjardins Virement internationaux fonctionne. En premier lieu contacter votre Caisse pour activer l'option et créer le dossier de la personne à expédier les sous. » Il peut y avoir des limites de montants. iI faut toujours que la personne cubaine laisse 50 pesos dans son compte sinon la banque ferme leur compte. Aussi partagé par une membre : « Tu peux toujours faire un virement Interac international ... si la personne à Cuba a un compte en banque. Tu entres les infos bancaires de ton amie ... et toi tu communiques avec ton institution bancaire pour qu'elle accepte le virement Interac international. » Les explications sont très claires : https://www.canadapost.ca/web/fr/kb/details.page?article=transfer_money_world&cattype=kb&cat=atthepostoffice&subcat=services Sendvalu (Swiss Money Transfer) : La personne à qui vous envoyez de l’argent doit avoir une carte IAS, une sorte de carte debit émise par une banque cubaine. Vous aurez besoin du nom exacte de la personne, de sa date de naissance, de son adresse et de son numéro de carte d’identité. https://www.sendvalu.com/fr https://duales.com/login 4 ) Faire livrer des aliments et autres produits à Cuba Voir : https://www.passionvaradero.com/post/faire-livrer-des-aliments-et-autres-produits-%C3%A0-cuba - SUPERMARKET23 : Un site pour faire livrer des aliments ( passionvaradero.com )

Des membres au grand cœur: une membre Catherine Vallée m’a écrit parce qu'elle avait sollicité un magasin de jouets pour des peluches. Elle a vu ma publication mentionnant que je voulais apporter 400 peluches en novembre. Eh bien, le magasin RENO JOUETS https://www.reno-jouets.ca/ a généreusement offert 250 peluches, et cette même membre m'a également donné 30 maillots de sport pour enfants, que nous distribuerons en novembre prochain. Merci encore à ceux qui participent à donner un petit sourire aux enfants à Cuba. Merci 🙏 Le mouvement #touspourcuba est maintenant gigantesque, et chaque don est important. Merci de participer en si grand nombre.

À Cuba actuellement il n'y a peut-être rien d'abondant, exceptés je crois les fruits et légumes dans les agro-marchés et cela paraît-il, même pas partout dans le pays. À la Havane nous sommes privilégiés dans ce sens. Évidemment l'aide FINANCIÈRE directe serait toujours appréciée énormément. Quelques dollars vont toujours soulager la pression que l'inflation actuelle exerce sur la famille cubaine, notamment pour les prix des aliments. Mais il arrive des fois que même avec l'argent sous la main, nous ne parvenons pas à subvenir à certains besoins Alors il faut penser aux VÊTEMENTS, même si c'était deuxième main, peu importe, autant pour adultes que petits. Les magasins ont été fermés depuis de longs mois, les nouveaux magasins à MLC ne proposent pas encore grand chose à défaut d'importations, et au marché parallèle les prix sont vraiment abusifs pour de la pacotille de la pire qualité. Le plus grand souci familial c'est avec les habits des adolescents. Les produits HYGIÉNIQUES valent de l'or également, les savons, les détergents, les dentifrices, les shampoings, les rasoirs, la mousse à raser, les parfums, les crèmes hydratantes et autres. À privilégier les quantités plutôt que la meilleure qualité. Des JOUETS pour les plus petits enfants. Il n'y a rien dans le marché cubain actuellement, ou tellement peu, que nous en fabriquons des jouets en bois à la place, mais tout le monde n'est pas capable, d'en fabriquer ou de les acheter. Les BONBONS et autres gâteries pour les enfants. Il y a très longtemps que nos enfants ont du mal à s'en régaler, surtout de chocolats. C'est aujourd'hui disponible des fois que dans les magasins MLC ou entre les mains des revendeurs. Du MATÉRIEL SCOLAIRE de tout genre. Les cours interrompus pour des raisons sanitaires devraient reprendre au mois de septembre, et la nouvelle année scolaire au mois de janvier prochain. Toute sorte de fournitures pour l'école serait alors très utile. Des MÉDICAMENTS d'usage quotidien comme les antibiotiques, les analgésiques, les anti-inflammatoires, les antihistaminiques, les médicaments pour baisser la fièvre des enfants, des vitamines, les pommades pour les piqûres d'insectes, les médicaments pour les maux d'estomac et les aspirines parmi autres. Depuis l'année dernière il manque plus de 200 médicaments d'usage régulier pour les cubains.

26 septembre 1959. Ouverture du pont de Bacunayagua Considéré comme l'une des sept merveilles du génie civil cubain, il a été construit entre 1956 et 1959 sur la Via Blanca, reliant les provinces de Mayabeque et Matanzas. Avec une longueur de 313,5 mètres et une hauteur de 103,5 mètres, c'est le pont le plus haut de Cuba. Sa structure repose sur des tours et des arcs polygonaux, se distinguant par sa construction complexe dans une zone difficile d'accès. Sa conception a été réalisée par la firme Sáenz, Cancio, Martin, avec Luis Sáenz Duplace comme projecteur principal. Le pont de Bacunayagua ne sert pas seulement à relier deux provinces; il surplombe également une vallée impressionnante et offre aux visiteurs une vue panoramique spectaculaire sur les montagnes Escambray, la mer et la végétation tropicale environnante. En raison de son emplacement stratégique, le pont est devenu un arrêt touristique incontournable, avec des miradors à proximité permettant aux visiteurs de capturer la beauté naturelle de la région. Importance historique et touristique : Ce pont est une prouesse technique pour son époque, notamment en raison des défis d'ingénierie posés par la topographie accidentée de la région. Depuis son inauguration, il symbolise le progrès du génie civil à Cuba. Aujourd'hui, Bacunayagua attire non seulement les amateurs d'architecture, mais aussi ceux en quête de vues époustouflantes et d'une expérience unique de la nature cubaine. Il est également un point de passage important pour ceux se rendant vers Varadero, l'une des destinations touristiques les plus populaires de l'île. Ce monument du génie civil continue de fasciner les voyageurs pour sa beauté architecturale et l'ampleur de la nature qui l'entoure, faisant du pont de Bacunayagua une véritable merveille de Cuba à ne pas manquer lors de votre prochain voyage.

D'après les fabriquants le rhum Black Tears est un mélange émotionnel de rhum cubain et d'épices, identité d'un pays qui remplit cette bouteille, inspirée de la chanson cubaine Lagrimas Negras, et du mode de vie cubain, certainement un bon héritage pour célébrer Cuba. Black Tears serait le premier rhum cubain sec épicé sur le marché mondial. Le goût aigre-doux est ce qui distingue Black Tears de tous les autres rhums épicés, ainsi que sa faible teneur en sucre, typique du rhum cubain. Il est parfumé au café et au cacao, et au piment doux, qui est l'une des saveurs les plus distinctives de la cuisine cubaine. Le résultat est un rhum épicé très élégant et bien équilibré, il est vrai, bien que peut-être trop doux à mon goût personnel, sans pour autant être un Legendario Elixir de Cuba tellement caramélisé. Les petits joueurs de bières vont sans doute apprécier ce rhum cubain qui ne leur arrachera sûrement pas de larmes noires.

Ne vous attendez pas à trouver de grands supermarchés ! La plupart des hôtels disposent d'une petite boutique où vous trouverez des articles de première nécessité comme des biscuits, des chips, etc. Le choix est souvent limité et les prix sont généralement plus élevés, mais cela peut être pratique en cas de besoin. Pour ceux séjournant en casa, il est possible de profiter des marchés publics (le samedi à Varadero et le dimanche à Santa Marta – consultez nos articles spécifiques à ce sujet sur notre site Web). Ils peuvent également s'approvisionner dans des dépanneurs ou des épiceries. Cependant, il est important de noter que l'offre peut être limitée à Varadero (particulièrement en septembre 2019), donc mieux vaut être flexible avec les recettes et cuisiner avec ce qu'on trouve ! Voici une liste de dépanneurs et épiceries (de l'entrée du pont à Varadero jusqu'à la Calle 64) : Il y a aussi une épicerie à la pointe de la péninsule, près de l'hôtel Mélia Marina Varadero qui offre aussi dans chambres sans la formule tout-inclus.

L'hygiène des rues de la capitale est pleine de contrastes. La Havane, comme l'ensemble du pays, montre souvent une façade très propre en général, c'est vrai, nous pouvons affirmer que Cuba c'est propre, mais d'autres fois quand on rentre dans les profondeurs de certains quartiers on découvre une ville plus sale et plus désorganisée, où la collecte des déchets ne s'effectue que de temps en temps et les ordures s'accumulent dans les coins, car les camions de nettoyage ne sillonnent souvent que les grandes avenues et ce pas tous les jours. Aujourd'hui, des habitudes qui favorisent la propreté de la ville se sont un peu perdues, comme la collecte des déchets toutes les nuits et la coutume de ne pas sortir les ordures quotidiennes de la maison avant le soir. Malheureusement, dans le même temps, d'autres habitudes ont proliféré, comme celle de disperser indolemment les ordures dans n'importe quel coin. Il est pertinent de souligner que nous ne trouvons pas toujours les dépôts d'ordures nécessaires dans tous les coins de la ville. Parfois, nous marchons des centaines de mètres dans des rues animées et il n'y a pas une seule poubelle disponible. Cependant, dans d'autres endroits, vous en trouverez de nombreux réservoirs à ordures assemblés pour le plaisir. Dans l'effort de maintenir la propreté de la ville, nous rencontrons un personnage fondamental : le balayeur. Les balayeurs sont en effet une profession vitale qui ne reçoit pas cependant toute la reconnaissance qu'elle mérite de la part de notre société. Chaque jour, peu après 5 heures du matin, quand règne encore le silence de la nuit, de la maison on entend d'abord le grincement des roulements non lubrifiés et des roues de métal sur le trottoir, de cette charrette inventée pour organiser son travail ; puis ça s'arrête et là on sent le rythme régulier du balai que mon voisin balayeur utilise pour nettoyer les rues et que le quartier se lève toujours impeccable. Son chariot de nettoyage dispose de deux réservoirs pour vider les déchets collectés, et transporter ses outils de travail, c'est-à-dire un balai et une pelle à poussière, ainsi que de quelques crochets qui servent à accrocher des sacs, où il va placer généralement quelque chose à manger et à boire, ou ranger un objet de valeur trouvé dans son travail quotidien. En fin de compte, c'est incroyable tout ce qu'il trouve qui peut être utile, même commercial, mais que d'autres ont jeté. Fouiller dans les poubelles devient tristement une pratique de plus en plus courante. Mon voisin est une personne âgée, comme presque tous ceux qui se consacrent à ce travail, c'est quelqu'un de sociable, assez bavard, qui aime fumer un cigare en travaillant, mais aussi très dévoué à sa noble tâche qui passe souvent inaperçue de la population, qui malheureusement ne contribue pas toujours à respecter le travail de ces ouvriers, à qui l'on doit beaucoup l'hygiène communale et une partie essentielle de la beauté de la ville aussi. Le métier de balayeur de rue a toujours été méprisé à Cuba. Pour beaucoup, c'est la dernière option à considérer pour le travail. D'autre part, les gens sont souvent indolents et versent les déchets à gauche et à droite, parfois inconsciemment, ou par manque de culture et d'éducation, et compliquent ainsi le travail du balayeur qui a déjà bien du mal sans les bons moyens de travail et de protection, et sans soutien salarial suffisant. Nos balayeurs doivent presque toujours se procurer des écouvillons en feuilles de palmier faits à la main pour balayer. Quand la ville dort encore, les balayeurs travaillent pour que, lorsque nous sortions à nos tâches quotidiennes, nous trouvions la ville propre. Mais on les voit aussi travailler sous le soleil de midi de l'été ou exposés à l'humidité et au froid typiques des premiers matins de l'hiver cubain. C'est un travail incontestablement digne et plein de sacrifices.

"LA" question : quel temps fera-t-il à Varadero ? Peu importe la destination que nous choisissons pour nos vacances dans le Sud, nous voulons toutes et tous du beau temps : soleil, temps chaud avec juste assez de vent, pas trop d’humidité, mer calme et chaude…. Pour Varadero, il existe des statistiques qui peuvent servir de guide comme les graphiques de Partir.com : https://www.partir.com/Cuba/Varadero/3534632/quand-partir.html Cependant les prévisions météorologiques sont un “indice” et non une garantie du temps qu’il fera… ni ici au Québec ni ailleurs dans le monde, ni dans les Caraîbes ! On peut aussi croiser les données de différents sites pour avoir une meilleure idée de ce qu’on peut s’attendre à court terme, mais rien n’est encore garanti… Ce que je réalise à la suite du partage de plusieurs de nos membres est qu’il est plus important de s’attarder au nombre de millimètres de pluie prévus que de porter toute notre attention sur les pictogrammes… qui sont souvent plus “décourageants” que la réalité le sera finalement. Bien sûr, pendant la saison des pluies et des ouragans (1er juin à fin novembre), je n’hésiterais pas à consulter le site du National Hurricane Center pour m’assurer de ne pas avoir mauvaises surprises avant mon départ! https://www.nhc.noaa.gov/ Et je m’assurerais d’avoir une bonne assurance-annulation !!! Mieux vaut prévenir que guérir ! Un site cubain La section « El Tiempo » de CyberCuba https://www.cibercuba.com/tiempo/cuba/matanzas/varadero Autres sites Accuweather et Windy Un outil très intéressant ! Sur le site, Partir.com une option vous permet de vérifier le temps qu’il a fait lors des cinq dernières années pour les dates de voyages qui vous intéressent. Bonnes vacances à Varadero !

Photo partagée par Marie Eve Les douanes cubaines ne rigolent pas ! Cette demande de visa vous est remise dans l'avion qui vous conduit vers Cuba. Elle est incluse, tout comme la taxe de sortie qui a déjà existé, dans le prix de votre forfait. Le personnel de votre avion vous dira qu'il est important de la remplir sans faire de ratures. Si vous en faites, vous devrez payer pour obtenir un autre exemplaire de ce document. Selon nos membres, il faut payer de 15 à 25 $ pour obtenir un nouvel exemplaire de ce document dans l'avion. Et si on se présente avec un formulaire non conforme aux douanes cubaines, le prix à payer peut être aussi élevé que 200 CUC selon le partage d'un de nos membres. Remarquez que le français arrive en troisième. Il faut aussi avoir son passeport en main pour le compléter. À votre passage aux douanes cubaines, vous devez le présenter avec votre passeport. Le douanier l'étampera et vous le rendra (il en remettait une moitié seulement avant, mais il semble qu'ils remettent les deux maintenant). Il est très important de le conserver précieusement car vous devrez le présenter lors de votre départ et on pourrait aller jusqu'à vous refuser de monter dans l'avion. Heureusement, il semble que ce ne soit plus la réalité mais on vous fera une pénalité monétaire salée ! Pour les Européens Selon ce que je comprends, la plupart des résidents des pays européens doivent faire une demande de visa auprès d'un consulat ou d'une ambassade de Cuba située sur leur territoire. Assurez-vous d'obtenir les informations pertinentes à votre situation !

L'e-Visa sera déployé à partir du 6 mai prochain Les touristes internationaux désirant visiter Cuba devront prochainement obtenir un visa électronique (e-Visa) au lieu de la traditionnelle carte touristique. Rédigé par Nicolas Le Page le Vendredi 3 Mai 2024 L'e-Visa remplace la carte touristique pour voyager à Cuba | © ShutterStock Cuba, dont le secteur touristique est prioritaire pour le gouvernement , s'apprête à bouleverser ses formalités de voyage pour les touristes internationaux. Cette évolution, rapportée par VisasNews , a officiellement été annoncée hier : à partir du 6 mai 2024, Cuba mettra en place un système de visa électronique à la place de sa traditionnelle carte touristique "Tarjeta del Turista" . Le ministère cubain des Affaires étrangères (Minrex) a confirmé ce changement du format du visa d'entrée dans l'île via un communiqué . Le Minrex explique qu' "au cours du mois de mai, notre pays commencera à mettre en œuvre un système moderne de gestion des visas touristiques électroniques, appelé Evisa, qui offrira un service plus efficace et plus souple aux utilisateurs qui en font la demande par l’intermédiaire des bureaux consulaires cubains à l’étranger" . Un e-Visa à Cuba pour "renforcer la sécurité et l'efficacité à tous les stades de la procédure" Selon la diplomatie cubaine, les requérants d'e-Visa pourront dorénavant commencer leur procédure de visa en ligne, avec un nouveau système utilisable depuis n’importe quel appareil disposant d'une connexion à Internet. Dans son communiqué, le Minrex précise notamment que "cette plateforme simplifie le processus de demande et de gestion des visas, en éliminant le besoin de documents physiques supplémentaires" . "Outre sa facilité d’utilisation, Evisa se distingue également par sa convivialité et sa contribution à la protection de l’environnement", ajoute la diplomatie cubaine. Le Minrex révèle que "cette initiative vise à renforcer la sécurité et l'efficacité à tous les stades de la procédure de délivrance des visas touristiques, depuis la demande initiale jusqu'au contrôle aux frontières" . Vers un déploiement progressif du visa électronique d'entrée à Cuba pour les principaux marchés émetteurs à compter du 6 mai "Avec Evisa, Cuba s'oriente vers la mise en œuvre d'un système consulaire plus moderne et adapté aux besoins actuels", se réjouit le ministère cubain des Affaires étrangères. Hier, lors de la cérémonie d'ouverture du Salon international du Tourisme FitCuba 2024, le ministre du secteur, Juan Carlos García Granda, a déclaré que l'e-Visa allait progressivement remplacer la carte touristique , et ce, entre le 6 mai prochain et le 30 juin 2024 . Sur X, le ministre annonce que "Cuba mettra en œuvre, à partir du 6 mai prochain, un nouveau système de visa électronique qui remplacera l’actuelle carte de tourisme, mis en œuvre par le ministère des Affaires étrangères et de l’Immigration et des Étrangers; progressivement et en donnant la priorité à nos principaux marchés émetteurs" . L'e-Visa d'entrée à Cuba sera, comme la carte touristique, valable pour un séjour de 90 jours (simple entrée), prolongeable de 90 nouveaux jours sur place. En plus d'un passeport, valable au moins jusqu'à la fin du séjour, d'un billet de sortie/retour et d'un visa, les voyageurs en partance pour Cuba doivent remplir un formulaire électronique sur le portail D'VIAJEROS dans les 72 heures avant le départ.

Cuba introduit un nouveau système de visa électronique pour le tourisme Cuba mettra en place un nouveau système de visa électronique pour le tourisme, qui remplacera l'actuelle carte touristique, a annoncé Juan Carlos Garcia Granda, ministre cubain du secteur, lors de l'inauguration de la 42e édition de la Foire internationale du tourisme (FitCuba 2024). Il a ajouté que ce système sera mis en œuvre par le ministère des Relations extérieures et de l'Immigration et des Étrangers, et qu'il permettra aux voyagistes et aux utilisateurs finaux de gérer leur application de manière simple, à partir de n'importe quel appareil connecté à l'Internet. Le chef du gouvernement a rappelé que le développement du tourisme à Cuba est entravé par l'intensification du blocus imposé par le gouvernement des États-Unis. La preuve en est que Cuba est le seul pays au monde où les citoyens des États-Unis, principal marché du tourisme dans les Caraïbes, n'ont pas le droit de se rendre librement à Cuba en tant que touristes. Cependant, a-t-il ajouté, l'Île dispose d'une infrastructure touristique de qualité, avec tous les services et toutes les destinations en fonctionnement, avec une reprise accélérée et un capital humain hautement qualifié. Toujours en présence du Premier ministre, les chaînes hôtelières Melia Hotels International et MGM Muthu Hotels & Resorts ont signé un accord commercial avec les sociétés cubaines Gran Caribe et Cubanacan S.A., respectivement, pour la gestion et la commercialisation d'infrastructures. Voyager à Cuba sera plus facile ! Le processus de visa a été entièrement numérisé, ce qui signifie que vous n’aurez plus besoin de la carte touristique traditionnelle. Vous pouvez maintenant obtenir votre visa en ligne. Mais ne vous inquiétez pas, si vous avez déjà une carte de touriste, vous pourrez toujours l’utiliser pendant un certain temps. Pour faire votre demande de visa numérique, rendez-vous sur : https://visasonline.cubaminrex.cu/ Faites vos valises et préparez-vous pour l’expérience cubaine. Le processus de visa pour cuba été entièrement numérisé

Bomberos y voluntarios À l'époque les conquistadors ont appelé le fils d'un Européen né dans les provinces d'outre-mer, "créole" et, par conséquent, ils ont commencé à appeler créole tout ce qui appartenait à ce nouveau monde, que ce soit les éléments naturels, de la faune ou de la flore et, bien sûr, l'ingéniosité des autochtones. Le Congrí, ce joyau de la cuisine cubaine et antillaise, est un mot venu d'Haïti; où les haricots rouges sont appelés congó; et le riz, comme en français. Congrí; c'est donc la voix du créole haïtien qui signifie «congos avec du riz». Congrí n'est pas cependant l'équivalent exact de Moros y Cristianos (Maures et Chrétiens), comme à Cuba on appelle le riz aux haricots noirs, qui semble aussi être le plat d'un cuisinier créole d'origine africaine. Même aujourd'hui, le mot congrí, bien qu'il apparaisse dans l'encyclopédie, nous ne le trouvons toujours pas dans le dictionnaire. Dans la décennie 1868-1878, certains criollos, au lieu de parler d'une assiette de congrí, ont dit plutôt : une assiette de Bomberos y Voluntarios (volontaires et pompiers), en allusion au fait que les soldats volontaires de L'Espagne étaient blancs et que les pompiers étaient tous des noirs (esclaves ou pas) et portaient des cols et des manches rouges. Bomberos y voluntarios fait référence aussi à un plat plus complet et bien typique parmi les cubains d'autrefois. Les mots bomberos et voluntarios veulent justement transmettre le contraste des couleurs dans le plat. À la base, il y aura toujours du riz blanc et frijoles dormidos, soit du potage des haricots rouges ou noirs très épais, ou à la place le congri; avec alors du picadillo, c'est-à-dire de la viande hachée style habanera, des bananes plantains mûres frites, ou bien juste une banane mûre, plus une tranche d'avocat avec de l'oignon blanc et un oeuf frit. Une vraie completa cubaine. Nos aïeux témoignent qu'il était typique de voir, encore dans les années 1950, les familles cubaines de classe moyenne se rassembler dimanche pour partager une telle délicatesse toujours servie en copieuses quantités. C'est sans doutes un repas très riche qui méritait bien la sieste, et bien dommage qu'une telle tradition soit de nos jours pratiquement disparue.

La Jutía est un petit mammifère rongeur également connu sous le nom de hutía, caractéristique de la faune indigène de Cuba, et comme de nombreuses autres espèces, il est également en danger d'extinction. La Jutía est de couleur brune ou blanche et une queue épaisse recouverte de poils qui permet à ces animaux de s'accrocher dans les arbres. Ce sont des animaux qui se nourrissent de légumes, de fruits sauvages, d'écorce d'arbre, de racines et de feuilles, de tubercules et de pousses tendres d'arbustes et d'arbres. Ils ne consomment pratiquement pas d'eau. Comme tous les rongeurs, ils possèdent deux dents appelées incisives dans la mâchoire supérieure et deux dans la mâchoire inférieure, qui poussent continuellement et sont régulées par l'usure. Leurs extrémités ont quatre doigts bien développés. Certaines espèces sont connues pour avoir une période de gestation d'environ quatre mois et peuvent donner naissance à jusqu'à quatre petits. Les femelles ont en effet quatre mamelles pour les nourrir. Ils passent une grande partie de leur temps perchés dans les arbres, bien que d'autres préfèrent la terre. Ils ont des habitudes nocturnes et se déplacent généralement par paires. Ils aiment beaucoup s'asseoir sur leurs membres postérieurs, car cela leur permet d'utiliser librement leurs pattes avant comme mains. Ce sont des animaux indigènes de Cuba mais ils peuvent être trouvés également en Jamaïque, aux Bahamas et dans d'autres régions des Petites Antilles. La Jutía Conga, grande et robuste, est la plus connue et la plus commune à l'ouest et à l'est, également dans la municipalité de Trinidad, province de Sancti Spíritus, ainsi que dans les îlots de Cuba et dans la municipalité spéciale d'Isla de la Juventud. Ce grand rongeur vit généralement dans des grottes, entre les racines des plantes, dans des crevasses ou entre des rochers. La Jutía Carabalí est la plus connue après la Conga, plus élégante et moins robuste et avec une très longue queue. Ce plus petit rongeur n'est pas facile de garder en captivité à cause de son agressivité, puis il refuse également de manger. Il abonde dans l'ouest et le centre de Cuba. Il vit dans des lieux de végétation abondante, et c'est toujours sur les arbres, c'est une espèce arboricole. Cependant, il existe d'autres Jutías moins connues, comme la Jutía Andaraz, très hargneuse et exclusive à l'Est cubain; la Jutía Enana, qui ressemble plus à un gros rat avec une très longue queue et une fourrure aux tons crème et jaune, et qui est pratiquement éteinte car confinée au marécages de Zapata dans la province de Matanzas, sur des îlots dans les marais; ainsi que la Jutía Rata et la Jutía de Tierra dont la répartition géographique est limitée à quelques îlots. Certains braconniers sans scrupules sont encore le principal prédateur des Jutías cubaines, car la qualité de leur viande est très appréciée, malgré les lois qui punissent sévèrement leur chasse et leur commerce. Certains paysans capturent les très petites Jutías pour tenter de les apprivoiser, et ainsi les transformer en un animal de compagnie unique, certainement très affectueux et bien espiègle.

Pollo por pescao En dépit d'être une île, le poisson est plutôt rare à Cuba aujourd'hui. Mais ça n'a pas toujours été comme ça. Au XIXe et au début du XXe siècle, la pêche était abondante et provenait principalement de la côte cubaine elle-même, mais il y avait aussi des bateaux qui pêchaient au Yucatan ou en Floride. Les espèces les plus populaires étaient le vivaneau et le mérou, la dorade et la bonite, la morue et le marlin. Il y avait aussi des crustacés, parmi lesquels les langoustes et les crevettes se distinguaient. Même pour des dîners spéciaux comme la veille de Noël, le 24 décembre, on dit que de nombreuses familles riches préféraient faire cuire le vivaneau au four. La pénurie de poisson à Cuba est devenue visible à partir des années 1990, lorsque le Ministère de la Pêche, aujourd'hui disparu, a annulé ses contrats de pêche dans les eaux étrangères, et vendu une grande partie de sa flotte de peur de la perdre, rouillée sur les quais. Cependant, diverses sources situent l'origine de la crise actuelle aussi dans la surexploitation que l'État cubain a faite de la plate-forme insulaire cubaine entre les années 1960 et 1980. L'impact a été immédiat. La pêche de plate-forme a réduit ses captures de 70 pour cent le long de ces dernières décennies. Cuba place également comme causes de la crise la surchauffe et la salinisation des eaux, en plus de la pêche illégale, qui ne se fait pas toujours avec les moyens appropriés. En effet, les pêcheurs connaissant la mer et les côtes locales considèrent que la dégradation environnementale de la plateforme insulaire a fait qu'il n'y a plus de grands bancs de poissons dans les mers cubaines. La durabilité de ces rares bancs d'espèces dans nos eaux ne garantirait pas actuellement les volumes ou la permanence nécessaires pour fournir du poisson à plus de 11 millions de Cubains. Ainsi, la consommation annuelle moyenne de poisson par habitant à Cuba est à peine autour de 4 kg. Cependant, cette valeur peut ne pas vraiment refléter le manque de poisson. Si le concept de «poulet pour poisson» était pris en compte dans ce par habitant, le chiffre réel pourrait être beaucoup plus faible, peut-être d'une valeur proche de zéro. Le poulet pour poisson était une mesure prise par l'État cubain entre 1990 et 2017, qui a remplacé les 6 onces de poisson attribuées, une à deux fois par mois, à chaque cubain, par le biais du carnet de rationnement, par 6 onces de poulet. Le poulet pour poisson est rapidement devenu un élément culturel de notre propre identité, l'objet d'innombrables critiques sarcastiques au point de s'en moquer dans le style créole le plus authentique. Face à cette situation, le gouvernement a commencé à importer certaines quantités de poisson, notamment du Chili, pour les vendre à la population. Ensuite, le poisson est entré dans la catégorie des ventes libres mais contrôlées. Le règlement sur les produits établissait que, dans une famille d'une à trois personnes, un poisson était vendu, quatre à six personnes, deux poissons et avec sept personnes ou plus dans une famille, trois poissons étaient alors vendus. Cette vente avait été également notée dans le carnet de contrôle que chaque famille aurait toujours pour la livraison de nourriture subventionnée. De plus, le prix qui a été établi au départ était de 20 CUP la livre, mais ni le prix ni la qualité du chinchard, qui nous a été vendu, n'ont été bien accueillis par la population. C'est alors que la vente de chinchard frais a été lancée au marché libre au prix de 15 CUP la livre, pour disparaître à nouveau des commerces au début de l'année fatidique en cours. Le poisson, cependant, ne manque pas sur le marché noir, bien qu'il soit souvent inaccessible en raison des prix élevés exigés par les pêcheurs. Le commerce informel ne satisfait donc pas non plus la demande. La pêche commerciale pour les petits pêcheurs Cubains était illégale depuis des décennies, ce qui, ajouté à la disparition du poisson en mer, rendait l'approvisionnement rare et excessivement cher. D'autre part, l'approvisionnement des poissonneries de l'état, Mercomar, est limité, très occasionnellement, aux spécimens fluviaux tels que la tanche, le tilapia et le poisson chat, et de la mer, à un prix plus élevé et beaucoup plus sporadiquement, aux poissons tels que le lieu jaune et la bonite. On trouve plus souvent dans Mercomar des croquettes au goût dit de poisson. En effet une grande majorité des poissons capturés à la fois en haute mer et par l'aquaculture est transformée en croquettes pour le commerce local. Cependant, les nouvelles à Cuba parlent d'une conformité excessive dans la capture de vivaneaux, de cubera, de langouste ou de crevette, qui sont des espèces qui abondent naturellement dans les mers de l'île, mais cela ne doit être vendu qu'à l'étranger ou au tourisme. C'est une stratégie commerciale historique de l'état cubain d'exporter un maximum de produits de la mer. La distribution interne du poisson par l'Etat a toujours été discutable, car l'absence quasi absolue de ce produit dans les points de vente accessibles à la population suggère son transfert prioritaire et presque exclusif vers les hôtels et restaurants, où l'on peut trouver certainement du bon poisson cubain. Dans le but de remédier à cette pénurie et de multiplier les possibilités pour les pêcheurs, au début de cette année, une loi sur la pêche (129/2020) a été mise en vigueur, elle tente également de mettre un terme aux pratiques illégales. Les problèmes d'illégalité résident avant tout dans la pêche irresponsable, l'utilisation de palangres, de filets maillants, de casiers et de chaluts. En effet, les pêcheurs illégaux utilisent principalement des engins de pêche plus gros, ce qui permet des captures massives nuisibles au fond marin, en plus de ne pas faire de discrimination entre les poissons plus gros ou plus petits. Selon les chiffres officiels, il y a environ 2 500 pêcheurs illégaux à Cuba. Ils attribuent leurs prises principalement aux restaurants privés et beaucoup moins à ce secteur de la population qui peut accéder aux prix du marché noir. S'il est vrai que les Cubains pouvaient déjà pêcher avant l'entrée en vigueur de la loi 129 sans avoir besoin de licences, cette activité avait été réduite à l'utilisation de moyens simples tels que cannes, moulinets, lignes et hameçons dans de petits bateaux, et ils n'étaient pas autorisés à vendre les captures. L’autorisation des Cubains naturels à la pêche commerciale figure parmi les changements les plus importants de la nouvelle loi, qui est basée sur la nécessité de réglementer les activités de pêche pour promouvoir une récupération des ressources marines du pays. Sur 9 575 navires, 39 000 personnes sont consacrées à la pêche sur la plate-forme cubaine. Ils font face à des baisses significatives des captures, très marquées ces dernières années. La nouvelle loi sur la pêche à Cuba a pour objectif de garantir la durabilité de cette activité économique, vitale pour plus de 100 communautés côtières de Cuba, et, dans la mesure du possible, de rapprocher le poisson tant manqué de l'assiette cubaine. En attendant alors, nous continuons de manger el pollo por pescao.

Hôtels à Varadero avec des options sans gluten ? Après des recherches approfondies, il semble qu'aucun hôtel à Varadero ne propose actuellement de menus spécifiquement sans gluten. Cependant, il est possible de prendre des précautions en amont pour répondre à ces besoins alimentaires. Conseils pratiques pour les voyageurs cœliaques L'Association canadienne de la maladie cœliaque offre d'excellentes recommandations pour les voyageurs. Consultez leurs conseils ici : Voyager sans gluten – Association canadienne de la maladie cœliaque Des chaînes offrant des menus sans gluten, mais pas à Cuba Le Palladium Hotel Group a lancé un programme pour les personnes ayant des allergies alimentaires, mais il n'est pas encore proposé à Cuba. Découvrez leur initiative ici : Palladium et son nouveau programme alimentaire Consultez les destinations proposées par le Palladium Hotel Group : Palladium Hotel Group – Destinations

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Le mot «guajiro» est utilisé à Cuba pour appeler les paysans, c'est-à-dire los campesinos. L'étymologie du mot a été source de controverse, car une version très bien tissée est devenue populaire, cependant très éloignée aussi de la réalité. Cette histoire raconte que pendant la guerre d'indépendance de 1895 à Cuba, la paysannerie cubaine avait logiquement rejoint les troupes de libération commandées par le généralissime Máximo Gómez. Au cours des derniers mois de la guerre d'indépendance susmentionnée, le cuirassé Maine avait explosé à La Havane, accident ou sabotage, qui a précipité les États-Unis à intervenir dans la guerre à Cuba et chasser définitivement l'Espagne. Lorsque les troupes nord-américaines, armées jusqu'aux dents, débarquèrent à Cuba, elles appelèrent les guerriers paysans cubains, équipés uniquement de machettes, des héros de guerre, c'est-à-dire war heroes, qui aux oreilles des paysans et des autres Cubains commandant les troupes sonnèrent "guajiro". Et pour cette raison, ce sont les cubains les seuls paysans de toute notre Amérique Latine qui seraient appelés «guajiros». Jusqu'ici la fameuse version qui s'est largement répandue sans tenir compte du tout de la véritable histoire de cette intervention nord-américaine, où l'on a tenté de minimiser la participation des braves mambises. C'est trop beau pour croire vraiment qu'ils auraient été reconnus, encore moins les paysans, comme héros. De plus, cette version de l'origine du mot «guajiro» pour définir notre paysan semble totalement improbable, car le mot en question était déjà utilisé sur notre territoire bien avant. Le nom "guajiro" avait déjà été immortalisé dans l'œuvre du poète Juan Cristóbal Napoles Fajardo "El Cucalambé", vers 1856. La voix "guajiro" avait également apparue dans le Dictionnaire provincial (presque raisonné) d'Esteban Pichardo, qui a vu le jour pour la première fois en 1836, et dans lequel il était mentionné qu'au Yucatán "guajiro" signifie seigneur. C'est ainsi que, bien avant 1836, les paysans cubains étaient déjà appelés «guajiros». L'Académie Royale de la Langue affirme pour sa part que ce mot vient du Yucatecan guajiro, qui signifie en effet seigneur ou monsieur; ou qu'il se réfère au natif de La Guajira, appartenant à ce département de Colombie. La vérité est que depuis le début du XVIe siècle, il y avait déjà une présence yucatèque sur l'île, bien mélangée avec les indigènes et qui est restée sur notre territoire avec une relative continuité jusqu'au milieu du XIXe siècle, tout comme son expansion sur toute l'île. On pense donc que son origine est vraisemblablement dans le Yucatecan "guajiro", bien que la phonétique de la voix "guajiro" soit plus similaire à la langue Taíno, des autochtones de Cuba, qu'à toute autre. À Cuba, en plus du paysan lui-même, il est courant que le terme "guajiro" soit couramment appliqué au Cubain qui n'est pas de La Havane. Il m'arrive aussi bien souvent que j'appelle les amis "guajiro", pour dénoter un certain niveau d'affection, preuve sans doute des humbles origines paysannes. Les guajiros sont d'habitude des gens bien, très gentils et sans doutes des rebels dans l'histoire de Cuba.