Photo partagée par Gigi Ginette - Rassemblement de nos membres sur la Calle 62 le 31 octobre 2019 Quand on pense à Cuba, on imagine immédiatement les vieilles voitures américaines, les cigares, le rhum, un kaléidoscope de couleurs, le baseball, les mojitos, les plages ensoleillées, les orishas, la rumba, la salsa, les parties de dominos, le rôti de porc, le congrí, la Révolution et surtout, un peuple chaleureux et résilient, avançant toujours malgré les épreuves. Mais Cuba, c'est avant tout une véritable fusion de cultures africaine, européenne, asiatique et américaine, une mosaïque culturelle qui continue d'évoluer au fil du temps, influencée par la mondialisation. Notre fameux "ajiaco" culturel (une soupe métaphorique) ne cesse de se transformer, s'enrichissant constamment d'ingrédients nouveaux qui, au fil des générations, s'intègrent à notre identité nationale. L'Halloween, une fête d'origine anglo-saxonne dérivée du Samhain celtique (qui célébrait la fin des récoltes et l'arrivée de l'automne) et de la Toussaint catholique, n'a pas de racines profondes à Cuba. Le climat tropical de l'île, où alternent saison sèche et saison des pluies, contraste avec le concept saisonnier d'Halloween. Les costumes sont également difficilement abordables, surtout dans le contexte économique actuel, et la citrouille, bien que cultivée, sert davantage à la consommation alimentaire qu’à la fabrication de lanternes. De plus, les bonbons, essentiels au "trick or treat", sont rares. L'Halloween est apparu à Cuba il y a plus d'un demi-siècle, grâce aux relations étroites que certaines familles cubaines entretenaient avec l'Amérique du Nord. Dans les milieux aisés de l'époque républicaine, on organisait des fêtes costumées inspirées des traditions américaines. Cependant, après la Révolution de 1959, cette célébration a été perçue comme bourgeoise et consumériste, et elle a rapidement disparu de la scène publique. Dans les années 1980, certains jeunes Cubains ont commencé à renouer avec les traditions d'Halloween, bien que ce ne soit qu'au début du XXIe siècle que cette fête ait véritablement pris racine parmi les jeunes. En 2009, une grande fête d'Halloween a été organisée dans un club universitaire à La Havane, où les participants se sont déguisés en vampires, sorcières et autres créatures fantastiques. Le succès de cet événement a entraîné la récurrence de ces fêtes, marquant le début d'une nouvelle tradition parmi une certaine partie de la population cubaine, principalement dans les grandes villes. Aujourd'hui, malgré quelques obstacles, on voit de plus en plus d'enfants fabriquer leurs propres costumes et participer à des fêtes privées ou à des soirées costumées, inspirées par les films de zombies et de vampires. Cependant, c'est surtout dans les zones touristiques que l'on observe un effort pour recréer une version d'Halloween destinée aux visiteurs étrangers, dont la culture est plus attachée à ces traditions. Dans la culture cubaine, il n'existe pas de fête équivalente à Halloween. Certaines traditions importées se sont estompées au fil du temps, et se sont fondues dans la tradition catholique d'assister à la messe des défunts pour honorer les morts. l'Halloween au Canada : https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/halloween

Les liquides, les aliments non solides et les effets personnels Vous pouvez rendre votre expérience de contrôle plus rapide et plus simple en rangeant correctement vos liquides, vos aliments non solides, vos effets personnels et vos articles de toilette. À l’aéroport, on appelle ces articles « liquides, aérosols et gels ». Vous trouverez ci-dessous des renseignements au sujet de divers articles qui relèvent de ces catégories, une liste d’articles qui sont exemptés de ces restrictions et des conseils sur la façon de ranger ces articles. Sur cette page Exemples de liquides, aliments non solides et effets personnels qui constituent des liquides, aérosols et gels : Comment ranger vos liquides, vos aliments non solides et vos effets personnels Liquides et aliments non solides Alcool Effets personnels Exceptions Exemples de liquides, aliments non solides et effets personnels qui constituent des liquides, aérosols et gels : LiquidesAérosolsGels café boisson gazeuse jus eau en bouteille sirop d’érable alcool shampoing après-shampoing rince-bouche dentifrice parfum eau de Cologne savon liquide insectifuge désinfectant pour les mains en liquide ou en gel crèmes ou lotions fixatif pour cheveux cosmétiques sous forme liquide (p. ex., mascara, fond de teint liquide, traceur pour les yeux liquide) fixatif pour cheveux vaporisateur pour le corps antistatique crème solaire en vaporisateur crème à raser déodorant en aérosol fromage en aérosol brillant à lèvres gel coiffant confiture gelée pouding yogourt gélatine purée de pommes de terre beurre d’arachides tartinade au chocolat tartinade au fromage beurre d’érable gel à raser déodorant en gel cosmétiques sous forme de gel (p. ex., fard à joues en gel, produits pour les lèvres en gel) Veuillez noter que si un article illégal au Canada (p. ex. le gaz poivré) est découvert au point de contrôle, l’ACSTA est tenue d’en informer la police. Comment ranger vos liquides, vos aliments non solides et vos effets personnels Les liquides, les aliments non solides ou les effets personnels transportés dans vos bagages de cabine doivent se trouver dans des contenants de 100 ml/100 g (3,4 oz) ou moins .Tous les contenants doivent se ranger aisément dans un sac de plastique transparent et refermable d'une capacité maximale de 1 L. Le sac doit être transparent afin que les agents de contrôle puissent voir facilement ce qu’il contient. Chaque passager n’a droit qu’à un sac de 1 L contenant des liquides, des aliments et des effets personnels. Les dimensions approximatives d’un sac de 1 L sont de 15,24 cm par 22,86 cm (6 po par 9 po) ou de 20 cm par 17,5 cm (8 po par 7 po). Au point de contrôle, retirez votre sac de plastique de vos bagages de cabine et déposez-le dans l’un des bacs fournis. Tout contenant de plus de 100 ml ou 100 g (3,4 oz) peut être rangé dans vos bagages enregistrés à condition qu’il ne s’agisse pas d’un article interdit. Évitez d'apporter des cadeaux et des souvenirs contenant des liquides, aérosols et gels dans vos bagages de cabine. Cela comprend : l'alcool, le vin, la bière, les boules à neige, les boîtes de soupe condensée, le sirop d'érable, le parfum et les lotions. Mettez-les dans vos bagages enregistrés ou expédiez-les séparément. Liquides et aliments non solides Boissons : Consommez ou jetez toute boisson dans un contenant de plus de 100 ml avant d’arriver au point de contrôle de sûreté. Ceci comprend l’eau dans votre bouteille d’eau personnelle. Vous pourrez remplir votre bouteille une fois que vous aurez franchi le point de contrôle de sûreté. Alcool acheté dans les boutiques hors taxes : Assurez-vous de connaître les règles concernant le transport de l'alcool acheté dans les boutiques hors taxes dans vos bagages de cabine. Les aliments ne sont pas exemptés des restrictions sur les liquides : Les aliments non solides contenus dans vos bagages de cabine (p. ex., le yogourt, le pouding, le beurre d’arachides ou la confiture) doivent être dans des contenants de 100 ml ou moins. Tous les contenants doivent se ranger aisément dans le même sac de plastique transparent fermé et refermable de 1 L, avec tous les autres contenants de liquides, d'aliments ou d'effets personnels que vous transportez. Les aliments de plus de 100 ml qui sont normalement sous forme de liquide ou de gel, mais qui ont été entièrement congelés, ne seront pas permis dans vos bagages de cabine. Afin qu’un aliment soit considéré comme étant solide, il doit être à l’état solide à la température ambiante. Aliments solides contenant moins de 100 ml de liquide : Les aliments en conserve ou en pot contenant clairement moins de 100 ml de liquide (une boîte de thon, par exemple) sont permis. Ces articles doivent pouvoir être rangés dans le même sac de plastique transparent, fermé et refermable de 1 L, avec tous les autres contenants de liquides, d'aliments ou d'effets personnels que vous transportez. Aliments rangés dans les bagages enregistrés : Les aliments solides et nonsolides (de plus de 100 ml) sont permis dans les bagages enregistrés, toutefois, certaines restrictions pourraient s’appliquer. Le saviez-vous? Vous pouvez apporter des aliments solides dans vos bagages de cabine et vos bagages enregistrés. Consultez la page « Voyager avec des aliments » pour obtenir plus d’information.Alcool Vous pouvez transporter les boissons alcoolisées (y compris du vin ou de la bière maison et des produits commerciaux) dans vos bagages enregistrés si : le pourcentage d'alcool par volume est égal ou inférieur à 70 % (140 preuve); la quantité ne dépasse pas cinq litres par personne pour les boissons alcoolisées dont le pourcentage d'alcool par volume est de 24 à 70 %. Les boissons alcoolisées dont le pourcentage d'alcool par volume est égal ou inférieur à 24 % ne sont pas assujetties aux restrictions relatives aux quantités. Boissons alcoolisées hors taxes : Veuillez consulter Achats hors taxes . Consultez le site Web de l’Agence des services frontaliers du Canada pour connaître les quantités de boissons alcoolisées permises à titre d'exemption personnelle. Effets personnels Les effets personnels sont permis dans les bagages de cabine s’ils respectent les restrictions relatives aux liquides. Certaines restrictions s’appliquent aussi aux effets personnels rangés dans les bagages enregistrés. Vous pouvez transporter les produits suivants, en quantité limitée, dans vos bagages enregistrés: Insectifuge (limite d’un contenant aérosol par personne) Articles de toilette en aérosol (p. ex., fixatif pour cheveux, parfum, eau de Cologne, déodorant) Les aérosols ne doivent pas avoir une capacité supérieure à 500 ml/500 g par contenant , la quantité totale nette ne devant pas dépasser 2 L/2 kg. Les valves des bombes aérosol doivent être protégées par un capuchon ou un autre dispositif convenable pour empêcher le rejet accidentel du contenu. Exceptions Certains articles ne sont pas soumis à la limite de 100 ml ou 100 g (3,4 oz) et il n’est pas nécessaire de les ranger dans un sac de plastique. Toutefois, vous devez déclarer ces articles à l’agent de contrôle aux fins d’inspection. Les exceptions sont les suivantes : Aliments et boissons pour bébés : Si vous voyagez avec un enfant de moins de deux ans (0 à 24 mois), il est permis d’apporter des aliments pour bébés, du lait, de la préparation pour nourrissons, de l’eau et du jus. Lait maternel : Les passagers voyageant avec ou sans enfants peuvent transporter des quantités de lait maternel dépassant 100 ml. Médicaments sur ordonnance : sont autorisés. Médicaments essentiels sans ordonnance , comme les produits homéopathiques, les analgésiques, le sirop contre la toux, les vaporisateurs décongestionnants, les suppléments nutritionnels en gel, les solutions salines ou les produits de soins pour les yeux, sont autorisés. Les trousses de test COVID-19 sont permises sans restriction dans les bagages de cabine et les bagages enregistrés.. Pochettes de gel et pochettes réfrigérantes : sont permises lorsqu’elles sont nécessaires pour soigner une blessure, pour réfrigérer les aliments pour bébés, le lait, le lait maternel, la préparation pour nourrissons, l’eau et le jus d’enfants âgés de moins de deux ans (0 à 24 mois), ou pour conserver les articles nécessaires pour raisons médicales ou les médicaments. Liquides et gels pour le diabète : Les jus ou les gels sont permis si vous en avez besoin pour contrôler votre diabète ou d’autres troubles médicaux. Eau distillée pour les appareils de ventilation spontanée en pression positive continue : L’eau distillée nécessaire au fonctionnement des appareils de ventilation spontanée en pression positive continue est exemptée des restrictions relatives aux liquides. Vous n’êtes pas tenu de présenter un document étayant votre trouble médical ou vos besoins médicaux. Toutefois, si vous croyez que cela pourrait faciliter le processus de contrôle, vous pouvez le remettre à l’agent de contrôle, ainsi que les articles dont vous avez besoin pour des raisons médicales.

Toutes les algues ne sont pas des sargasses Les océans sont l'habitat naturel des algues. Il est donc normal d'en retrouver à l'occasion sur la plage, surtout si la mer a été agitée. Mais pourquoi parle-t-on tellement des sargasses depuis quelques années et qu'est-ce qu'elles ont de particulier ? Si on parle tant des sargasses, c'est qu'elles sont venues s'échouer sur certaines plages de façon extrêmement envahissante. En plus d'encombrer les plages, elles dégagent une odeur nauséabonde et des gaz qui peuvent incommoder certaines personnes. Ce qui distingue les sargasses et explique en partie pourquoi elle se retrouve sur les plages, c'est que plusieurs variétés de sargasses ne sont pas "attachées" au fond de la mer et sont donc plus facilement transportées par les courants marins. " Les frondes de certaines espèces tropicales peuvent atteindre plusieurs mètres de long (jusqu'à 12 mètres). Elles peuvent être fixées au fond par un thalle dit « coriace », mais certaines Sargasses vivent parfois de manière exclusivement flottante ; principalement dans la mer du même nom , dans l' océan Atlantique . " Source : Wikipédia Les marées brunes "En 2011 , une première vague d’échouage, sans précédent, touche la zone Caraïbe. Les dépôts littoraux y dépassent parfois 1 mètre d'épaisseur ; ils piègent les tortues de mer et emplissent l'air d'une puanteur évoquant l’œuf pourri sur une partie significative des Antilles. Depuis le phénomène tend à empirer, et il pourrait en 2018 (d'après les tendances déduites des images satellitales) encore battre des records. Les Antilles françaises subissent des échouages massifs de Sargassum fluitans et Sargassum natans (entre 20 000 et 40 000 tonnes de sargasses sur le seul littoral guadeloupéen. Ce phénomène sans précédent ajoute ses effets à celui de marées vertes localement constatées depuis la fin des années 1980 , dues à des algues du genre Enteromorpha qui pullulent saisonnièrement en raison de la pollution azotée provenant principalement, au début des années 1990 , selon Ifremer, des rejets domestiques directs dans certains bassin-versants ." Source : Wikipédia Pour en savoir plus sur cette algue, l'article de Wikipédia est bien documenté : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sargassum D'où viennent les algues sargasses qui envahissent les plages ? Vous aurez probablement envie de répondre : "De la Mer des Sargasses !" Oui et non. Les sargasses qui envahissent les plages des îles des Caraïbes, du Mexique et de la Floride proviennent, selon les dernières études, des côtes du Brésil. On comprend avec ces cartes, que Cuba est "protégée", pour le moment du moins, des marées brunes. Lorsqu'il y a des algues sargasses à Cuba, elles proviennent habituellement de la Mer des Sargasses et ne sont pas trop envahissantes. Pour les personnes qui veulent en apprendre plus Voici quelques sites intéressants : Les sargasses pour les nuls (en anglais) : http://sargassummonitoring.com/2019/05/31/sargassum-for-dummies/ Qu'est-ce que les sargasses (en anglais) : https://oceanexplorer.noaa.gov/facts/sargassum.html Article scientifique assez complexe (en anglais) : https://oaktrust.library.tamu.edu/bitstream/handle/1969.1/153840/FRAZIER-THESIS-2014.pdf?sequence=1&isAllowed=y

Maison à Santa Marta, ville voisine de Varadero Ce n'est pas impossible, mais ce n'est pas facile ! Contrairement à d'autres pays d'Amérique centrale et des Caraïbes, Cuba n'offre aucun incitatif aux personnes qui souhaiteraient acheter une maison que ce soit comme investissement ou pour y vivre leur retraite. Voici ce que l'on peut lire sur le site Point2Cuba (traduction automatique du site - date de publication 2017 ou après - à vérifier) : Il existe 4 façons pour les investisseurs étrangers d'acheter un bien immobilier à Cuba: Épouser un cubain Ce qui permet au citoyen étranger de devenir résident permanent et qui lui permet donc d’acheter une maison à un propriétaire cubain local. Acheter une propriété au nom de conjoints cubains, de membres de la famille ou d'amis Selon la loi, le marché n'est ouvert qu'aux Cubains de l'île ou à ceux qui vivent temporairement à l'étranger. Mais les étrangers, y compris les Cubains vivant aux États-Unis ou dans d'autres pays, achètent des propriétés au nom de conjoints, de membres de la famille ou d'amis cubains. Acheter directement auprès d'un étranger actuel qui possède une maison ou un appartement à Cuba Pendant un certain nombre d'années, au début des années 1990, la loi cubaine a permis la construction de certains immeubles de type condominium où les étrangers pouvaient acheter un appartement. Ceux qui les ont achetés peuvent désormais les vendre à d'autres étrangers qui ne résident pas à Cuba. Il est donc possible pour les investisseurs étrangers d'acheter un bien immobilier à Cuba en achetant directement à l'un des étrangers actuels qui possède une maison ou un appartement à Cuba. La catégorie de visa «Residente de Inmobiliaria» est désormais officiellement répertoriée avec d'autres types de visas que les étrangers entrants peuvent demander. Cuba a ouvert les portes des immeubles de placement avec l'approbation d'une nouvelle loi sur l'immigration accordant la résidence aux propriétaires et locataires étrangers de biens dans le pays. C'est un moyen selon la législation actuelle, où un non-résident cubain peut acheter une maison ou investir sur le marché immobilier cubain. Développement immobilier associé au terrain de golf: Type d'investissement Entreprise commune, montant d'investissement estimé 380,00 millions USD. Source : http://www.point2cuba.com/foreigners-buy-house-cuba/ Compléments d'informations Dans le cas d'un mariage avec un ou une Cubaine, la maison t'appartient à 50 % à moins d'avoir un papier notarié qui spécifie que le ou la conjointe refuse sa moitié donc donation de son 50% (Liette Côté). Si la personne obtient le statut de résident permanent il peut aussi il me semble non? Oui exactement il a droit à 2 maisons à son nom, une en campagne et une en ville (Liette Côté). Les terrains appartiennent à l'État oui, mais pas les maisons achetées légalement (Liette Côté). Cet article date de 2015 mais il donne une idée des prix des maisons cubaines : http://www.sympatico.ca/actualites/finances/maison-cuba-1.1484966 Voir aussi (prix en euros) : http://www.point2cuba.com/listings/foreigners/

Clinique au coin de la Primera Avenida et de la Calle 60 - Devant l'hôtel Cuatro Palmas Médicaments La première chose à retenir c’est que certains médicaments sont difficiles voire impossible à trouver à Varadero. Ils peuvent aussi être plus chers que ce que nous payons habituellement dans nos lieux de résidence. Il est donc important d’apporter ce dont vous avez ou pourriez avoir besoin. Je pense entre autres à une de nos membres qui a fait des pieds et des mains pour trouver une crème anti-inflammatoire de base afin de soulager un torticolis. Pour les médicaments prescrits par un médecin, il est recommandé d’apporter le contenant original avec vous et même un original de la prescription. Les pharmaciens peuvent alors trouver un produit équivalent s’ils ont le nom de la molécule. Il est aussi recommandé d’en apporter en quantité supérieure à ce dont vous aurez en principe besoin d’utiliser. Pourquoi ? Après l’accident de l’avion d’Air Cubana qui s’est écrasé en mai 2018, de nombreuses personnes n’ont pu reprendre un vol vers la maison avant trois, quatre ou même cinq jours de plus que la date de départ prévue. Soins médicaux On ne se le souhaite pas, mais il peut arriver que nous ayons besoin de soins médicaux pendant un voyage. Heureusement, le système de santé cubain est excellent ! Je peux en témoigner puisque j’ai dû me rendre à la Clinica International lors d’un voyage il y a plusieurs années. Avec un mélange d’anglais et d’espagnol, j’ai réussi à expliquer mon problème de dos et j’ai pu repartir avec les médicaments nécessaires. Heureusement puisque que mon problème s’est déclaré pendant que nous attendions pour prendre possession de nos chambres la toute première journée. J’étais certaine que mes vacances étaient foutues… Or, les comprimés ont été encore plus efficaces que ceux que j’avais pris au Québec ! Plusieurs des hôtels offrent des services médicaux sur place (médecin et/ou infirmier) pour les premiers soins, mais il semble qu’il y en a moins qu’avant. Il faudra vérifier. Liste des cliniques et des pharmacies En cas de malchance, voici la liste des cliniques et des pharmacies de Varadero : Clinica Internacional Servimed Varadero - Principale clinique de Vardero (alias Clinicas del Sol) Avenida 1, entre les Calles 60 et 61 (En face du Cuatro Palmas) Téléphone: (53 45) 66 7710/7711/7712 Heures d’ouveture: 24 hrs C’est la plus importante et la mieux équipée des cliniques de Varadero. Services: urgence, consultation médicale et dentaire (10 à 30 CUC), sur appel à votre hôtel (50 à 75 CUC), ambulance, imagerie médicale (rayons X, ultrasons), laboratoire, physiothérapie, centre dentaire, bonne pharmacie sur place. J'ai posé la question (décembre 2019) à la réceptionniste à cette clinique à savoir quand nous devions nous y présenter et quand nous devions aller à celle de la Calle 27. Elle m'a dit que la clinique de la Calle 27 était maintenant dédié aux soins dentaires et d'hémodialyse. Plaza America SPA Club Avenida Las Americas. Téléphone: (53 45) 66 8181 ext.233 Consultation, médecines douces, soins du corps, électrothérapie, acupuncture, massages, cosmétologie. Centro Estomatologico (Centre dentaire) Avenida 1 intersection Calle 49, Varadero Opticas Miramar Varadero (Optométrie) Avenida 1 intersection Calle 42, Varadero Téléphone: (53 45) 66 7525 Heures d’ouveture: Lundi à Vendredi: 9 h à 17 h. / Samedi: 9 h à 13 h Farmacia Internacional Aeropuerto Juan Gualberto Gomez (Aéroport Varadero) Carretera Areglatito, Carbonera, Matanzas Téléphone: (53 45) 25 3489 Farmacia Clinica Internacional Calle 60 intersection Avenida 1, Varadero Téléphone: (53 45) 66 7710/11 Heures d’ouveture: 24h Novafarma – Farmacia Internacional Servimed Plaza America Avenida Las Americas Téléphone: (53 45) 66 8042 Heures d’ouverture: 8 h à 21 h Novafarma – Farmacia Internacional Servimed Kawama Carretera Kawama intersection Calle 4. Téléphone: (53 45) 61 4470 Farmacia Hotel Breezes Bella Costa Avenida las Americas Km 3.5 Téléphone: (53 45) 66 7210 Farmacia Iberostar Varadero Carretera Las Morlas (Autopista Sur) Téléphone: (53 45) 66 9999 Faracia Hotel Royal Hicacos Carretera Las Morlas (Autopista Sur) Km 15 Téléphone: (53 45) 66 8844 Il faut en ajouter deux référencées par Julie Morin : Novanovafarma aussi à la calle 27 en bas de la clinique dentaire et aussi au centre comercial Hicacos ! Comme on le dit, mieux vaut prévenir que guérir !

Ron Caney Carta Blanca, c'est un rhum qui ne mûrit que pendant environ 3 ans en fûts de chêne avant de quitter les caves de Santiago de Cuba, pour aller directement sur le marché. C'est un rhum légèrement jaune, avec une saveur et un parfum très naturels, un peu épicé avec des notes de vanille et de miel. Ce rhum convient à toutes les préparations et cocktails connus à base de rhum blanc cubain.

Ron Legendario Añejo Dorado Plongez dans l'essence dorée du plaisir avec le rhum Legendario Dorado. Avec une couleur éclatante qui évoque les riches teintes du crépuscule tropical, et un bouquet parfumé où se mêlent subtilement le bois et la douceur de la canne à sucre, cette liqueur enivre les sens dès le premier contact. Au palais, une explosion de saveurs révèle toute la puissance de ce breuvage exquis, tandis que sa douceur bienfaisante enveloppe chaque sensation. L'union entre le profond et le délicat est parfaitement incarnée dans chaque gorgée, où la complexité des arômes laisse une empreinte indélébile sur les papilles. Conçu pour élever chaque expérience, le rhum Legendario Dorado est aussi polyvalent qu'il est captivant. Que ce soit dégusté pur, sur glace ou en tant qu'ingrédient principal d'un cocktail sophistiqué, il apporte une touche de raffinement à chaque occasion. Emblème de l'authenticité cubaine, chaque bouteille incarne l'héritage de cette terre ensoleillée. Sa graduation alcoolique de 38º en fait un compagnon idéal pour les moments de détente entre amis ou pour célébrer les joies de la vie. Dans son écrin cubain, ce rhum devient bien plus qu'une simple boisson ; il devient le symbole d'une union parfaite entre le plaisir et l'élégance.

Merci à Sylvie Galipeau pour l'information et le partage des photos. Même s'il a été présenté à la presse au début 2021, il n'y a encore que peu de voyageurs qui y ont séjourné. ′′Le Mystique Casa Perla Hotel dispose de dix chambres, et l’hôtel a offert un design élégant, un style et une vue imprenable sur l’océan. Toutes les chambres se trouvent dans un seul bâtiment, comprend trois chambres standard, trois suites juniors et quatre suites juniors avec jacuzzi. Il rejoint une tendance croissante à Cuba des hôtels de luxe qui offrent aux visiteurs une expérience unique, spéciale et élégante. Installations hôtelières : Réception 24h/24 Blanchisserie Salons/Bar Parking Restaurant Blue Diamond sera la première de sa marque Mystique à Cuba avec l’hôtel MYSTIQUE CASA PERLA, dans le mode Bed and Breakfast. Il s’agit d’un hôtel de charme de 10 chambres inspiré de l’architecture des années 50, situé sur le terrain du Starfish Cuatro Palmas. Dédié au segment adultes seulement, avec réception et parking indépendants, piscine privée et service de restaurant et de majordome pour toutes les chambres." Vidéo (1:21) tournée lors de la présentation de l'hôtel à des agents de voyages européen. https://www.youtube.com/watch?v=Hbx9f_ZnjHY

Prendre un bon petit déjeuner à Varadero Que vous séjourniez dans une casa particular  ou que vous souhaitiez simplement varier les plaisirs en dehors du buffet de votre hôtel, Varadero offre plusieurs restaurants où vous pourrez savourer un délicieux petit déjeuner. Voici quelques suggestions de nos membres : Vernissage – La 36  : Plusieurs membres ont apprécié ce restaurant pour son ambiance et ses plats savoureux, et le recommandent vivement. Terracita’s Café  : Un endroit prisé pour son atmosphère accueillante et ses choix variés de déjeuners. El Caney  : Un restaurant apprécié pour ses portions généreuses et ses saveurs authentiques. El Rancho  : Idéal pour un petit déjeuner copieux et traditionnel. Casa del Miel  : Un endroit charmant où vous pourrez déguster des produits locaux, notamment du miel, dans un cadre agréable. N’hésitez pas à explorer ces options pour bien commencer votre journée à Varadero !

Comment les Cubains célèbrent-ils la fin de l'année ? Dans les années 1960, comme nous l'avons déjà expliqué, Noël a été définitivement écarté de la culture cubaine. Les petits sapins, la crèche de Noël, les nougats, le massepain et les cadeaux sont devenus des symboles associés à la bourgeoisie. Cependant, aujourd'hui, il est possible de voir des décorations typiques de cette période, et même des palmiers illuminés à la manière des sapins de Noël. Certaines familles traditionnelles se réunissent encore pour le dîner du 24 décembre, mais c'est le 31 décembre et le 1er janvier qui marquent les véritables temps forts des festivités. Rien n'égale le fait d'attendre minuit en famille, puis de sortir pour brûler l'effigie représentant l'année écoulée, jeter de l'eau dans la rue, et féliciter voisins et amis en les embrassant. Une des traditions les plus marquantes est la combustion d'une grande poupée symbolisant l'Ancienne Année. Elle est souvent inspirée d'une figure marquante de l'année écoulée, que ce soit une personnalité d'un feuilleton télévisé ou un événement marquant. On pourrait imaginer des effigies représentant des billets en CUP ou des politiciens comme Trump ! Une autre tradition très répandue est de jeter des seaux d'eau dans la rue à minuit, symbolisant la purification des maisons et l'élimination des mauvaises expériences de l'année passée. Depuis l'ouverture des voyages, une coutume consiste à se promener dans les rues avec une valise à minuit, espérant attirer la chance de voyager bientôt. Le 31 décembre, la tradition rurale est de se lever tôt pour abattre un cochon, souvent élevé pendant des mois, jusqu'à ce que l'on s'y attache et lui donne un nom. Certaines familles préfèrent acheter la viande au boucher local, mais rien ne vaut le cochon rôti à la broche, préparé avec une main qui fait tourner la broche et un verre de rhum dans l'autre, tandis que des cousins jouent au domino. Le déjeuner typique comprend du manioc cuit avec du mojo (une sauce à base d'orange amère, d'huile et d'ail) et de la gandinga  (foie de porc mariné aux épices), sans ajouter d'eau ou de citron pour ne pas rendre le foie trop dur. Après le déjeuner, une sieste s’impose pour récupérer avant les festivités de minuit. Le soir, la table est dressée avec du porc rôti, du riz congrí, du manioc au mojo, de la salade de laitue et de tomates, et souvent un dessert de goyave ou des beignets sucrés. Depuis la Révolution, la soirée télévisée du Nouvel An, ponctuée de comédies musicales et de sketches humoristiques, est devenue une tradition. Juste avant minuit, les familles attendent le décompte officiel diffusé à la télévision, moment où elles échangent vœux de bonheur et prospérité. À minuit pile, un cidre est débouché pour danser jusqu'à l'aube. Cette année, avec les défis sanitaires et économiques, l’organisation des fêtes reste incertaine. Pourtant, malgré les difficultés, l'ambiance festive s'installe. Les files d'attente s'allongent pour acheter du porc, et les bières sont difficiles à trouver. Le rhum, cet ingrédient incontournable des célébrations cubaines, viendra cependant compenser l'absence de bière, et même le poulet pourrait remplacer le cochon sur certaines tables. Quoi qu’il arrive, les familles seront réunies, et avec un peu de rhum, de riz et de haricots, elles diront adieu à l'année écoulée. Ensemble, elles brûleront l'effigie de la Vieille Année ou jetteront un seau d'eau dans la rue, en espérant que la nouvelle année apporte bien-être et prospérité à tous les Cubains. Bonne année à tous !

Située à un peu plus de deux heures de route de La Havane ou de Varadero, la péninsule de Zapata abrite les plus vastes marécages de Cuba, où se trouve l'élevage de crocodiles le plus important du pays. De plus, ses côtes offrent de nombreux sites de plongée, notamment dans la célèbre baie des Cochons. Le parc naturel Montemar protège plusieurs espèces menacées, telles que les tortues, les cervidés et diverses espèces d'oiseaux, dont le perroquet et l'aigle pêcheur. On y trouve également de nombreux reptiles, parmi lesquels le crocodile cubain, véritable emblème de la région. Cette zone humide, classée site Ramsar, joue un rôle crucial dans la préservation de la faune cubaine. À la baie des Cochons, les visiteurs peuvent passer une journée de détente au bord de la mer des Caraïbes, ou découvrir un véritable paradis sous-marin en pratiquant la plongée avec tuba. À seulement quelques mètres du rivage, les fonds marins dévoilent une richesse époustouflante, accessible sans devoir s'aventurer loin du littoral. Les habitants locaux proposent des repas typiques et savoureux, simples mais authentiques, souvent bien plus appréciés que ceux des hôtels. Enfin, Playa Girón est un lieu chargé d’histoire. C’est ici que les traces du débarquement des mercenaires, repoussés héroïquement par le peuple cubain et Fidel Castro en 1961, sont encore visibles. Nous mettons également à votre disposition des guides certifiés Passion Varadero pour vous accompagner dans cette activité. N'hésitez pas à les contacter pour plus d'informations. LA PAGE DES GUIDES Passion Varadero | Explorez Cuba, ses plages et hôtels à Varadero

Ron Isla del Tesoro est un mélange de bases de rhum très vieillies dans le temps, produit dans le berceau du rhum cubain, Santiago de Cuba, et évoquant dans sa conception l'eau-de-vie grossière et rugueuse, convoitée par les corsaires et les pirates qui ont ravagé les côtes cubaines, la soi-disant île au trésor, entre le XVIe et le XVIIIe siècle. Ce rhum n'est au marché que depuis peu de temps. Auparavant sa production limitée était réservée aux activités protocolaires du gouvernement. Il était usuel d'en faire un cadeau exclusif d'une bouteille de ce rhum unique aux dignitaires étrangers visitant Cuba. Seul le pape Jean-Paul II en reçut deux bouteilles, la première pour lui-même et la deuxième pour le bon Dieu... Nous pouvons le trouver aujourd'hui au magasin de rhum cubain Bocoy à la calzada del Cerro, La Havane, Cuba. Prix: $ 747.55 USD (août 2021)

Selon le dernier recensement de la population de 2012, dans tout le pays près de 1 200 cubains vivaient dans la rue, avec une prévalence de personnes âgées et handicapées. À Cuba, selon les données du Ministère de la Santé Publique, près de 2,3 millions de personnes ont plus de 60 ans, ce qui représente environ 21 % de la population totale, et parmi elles, plus de 340 000 vivent seules. Les personnes âgées à Cuba pourraient être divisées en plusieurs groupes fondamentaux : celles qui sont soignées et aimées par leurs proches ; celles qui vivent seules et rester à la maison n'est pas une option ; celles qui continuent à travailler parce que la pension qu'elles reçoivent ne garantit pas les besoins de base, et celles qui ont été laissées à elles-mêmes dans la rue pour différentes raisons. Il existe un protocole établi depuis 2015 pour l'accueil, le diagnostic, la prise en charge et la réinsertion sociale des personnes sans domicile. Ces Centres de Protection Sociale pourraient être une solution pour de nombreux itinérants, cependant la grande majorité préfère fuir, de peur d'être transférés dans des centres psychiatriques, ou renvoyés à leurs proches, le cas échéant. Beaucoup choisissent alors de rester dans la rue, drogués par l'alcool de la pire qualité imaginable, leur propre refuge contre la réalité qu'ils vivent. Le Centre de protection de La Havane a une capacité de 500 personnes et est le plus grand du pays. Six autres provinces ont des institutions similaires, mais aucune n'offre une solution permanente, ces institutions ne sont pas de refuges, elles doivent donc donner une solution rapide à chaque cas qui leur est présenté et sinon, ces personnes retournent dans la rue, car elles résistent généralement à l'institutionnalisation, à établir une vie classique ou d'accepter des normes sociales. En revanche, les personnes de plus de 60 ans en situation d'impuissance totale devraient ou pourraient être placées dans des foyers ; mais la capacité d'admission de ceux-ci ne s'ajuste pas au rythme auquel Cuba vieillit. La présence de mendiants partout demandant de l'argent pour manger ou fouillant les poubelles, au prix de maladies, est courante dans les rues de La Havane et d'autres villes de Cuba aujourd'hui. Les mendiants errent plus fréquemment dans les zones proches des installations de service public telles que les cafétérias, les gares ferroviaires, les gares d'autobus et les petits commerces alimentaires, et en particulier dans les endroits avec un afflux de touristes, attendant l'aide des gens. La stratégie des autorités pour mettre fin à ce problème social n'a pas fonctionné comme espéré, malgré la recherche de plus en plus de solutions d'accession à la propriété pour les personnes qui n'ont pas l'option d'un toit, et qui, en temps de pandémie, ne peuvent rester chez-soi. Il y a encore beaucoup de travail à faire à ce sujet. À La Havane, le gouvernement rassemble souvent des mendiants qui viennent d'autres provinces, pour les reconduire dans leurs territoires respectifs, avec leurs familles ou leurs établissements de santé. Cependant, ces personnes sans domicile fixe retournent bientôt, par leurs propres moyens, sur leurs territoires habituels dans la capitale, où cette problématique se reflète particulièrement. Les itinérants et sans-abri font déjà partie intégrante du paysage urbain des villes cubaines. Ces personnages exclus de la société ornent les parcs et les rues, comme un triste rappel de la pauvreté inhumaine dans laquelle vivent de nombreux citoyens, un rappel des nombreux mondes qui existent et que nous ne croyons possibles qu'un jour où nous découvrons soudain cette réalité.

Les Cubains sont des combattants par excellence. Il n'est pas un bon Cubain qui n'ait eu à inventer les métiers les plus dissemblables pour survivre, ne serait-ce que temporairement. J'ai déjà vu un très vieil homme avec une pancarte qui disait : "Je rends la monnaie". C'était à un arrêt de bus ; le vieil homme avait un sac plein de pièces de monnaie et un autre avec des coupures de pesos en papier. Son travail consistait à échanger de l'argent aux personnes qui prendraient le bus et qui n'avaient pas le montant exact pour effectuer le paiement. Il prélevait une commission minimale qui lui permettait de gagner son pain, et les voyageurs ne perdaient pas d'argent en payant leur voyage, comme le chauffeur n'est pas censé rendre de monnaie. Une fois j'ai croisé un "barbier ambulant", en pleine rue avec un banc à la main et un sac à dos sur l'épaule avec tous les ustensiles nécessaires pour proposer une coupe pas chère et même un miroir pour le plus grand plaisir des passants satisfaits. Il y a longtemps, j'avais un voisin à Matanzas qui se consacrait au nettoyage des casseroles, à la fois à la maison et service à domicile aussi. Ce vieil homme était très aimé des ménagères du quartier. Les pots en aluminium, vieux et noirs de suie, étaient chauffés puis grattés avec un petit couteau et avec une telle habileté qu'une fois terminés, ils étaient si brillants qu'ils semblaient neufs. Quand le nettoyeur de casseroles est mort, il n'y a pas eu un moment où ma mère ne s'en souvenait pas quand elle voyait ses vieux ustensiles de cuisine noircir progressivement et alors sans solution. Peut-être que beaucoup ne comprennent pas alors qu'un briquet se réparerait. Alors que dans d'autres pays, les briquets sont jetés en raison du moindre dégât, à Cuba, tout est pleinement exploité et rien n'est jeté à la poubelle. Les briquets peuvent être remplis de gaz, la pierre, ou autre système d'allumage, changés; certaines pièces comme la rondelle et le pare-flammes remplacés, et même le corps du briquet reformé. Il y a aussi une innovation, qui est un brevet authentique cubain : l'utilisation d'une épingle pour perforer le briquet et introduire le gaz dans le réservoir, quand la valve de remplissage de gaz n'existe pas. Un briquet jetable ne l'est plus à Cuba. Les fosforeros, les mécaniciens ou les remplisseurs de briquets, sont devenus une figure commerciale indispensable dans la société cubaine, qui regorge de fumeurs habituels. Il n'y a pas un quartier à Cuba qui n'ait au moins un fosforero, qui répare les briquets, et qui vendrait accessoirement des briquets, parfois des allumettes ou même des cigarettes et des cigares. Leur activité principale est aussi réglementée dans les nouvelles formes de travail non étatique. A vrai dire, au pays du meilleur tabac du monde, où autrefois fumer des cigarettes était extrêmement bon marché et donc abordable, même fumer, ou acheter un briquet, est devenu aujourd'hui un problème. Il n'y en a tout simplement pas de briquets, et quand nous en trouvons c'est si cher qu'il sera toujours mieux et moins coûteux de réparer les briquets que l'on a déjà à la maison pour qu'il ne manque pas de feu dans la cuisine et qu'on puisse toujours allumer un bon cigare cubain.

Apparemment, les origines d'un passe-temps de type domino se trouvent près de l'ancienne Babylone, il y a plus de 4 000 ans. Cependant, le domino actuel aurait vraisemblablement ses origines davantage en Chine. Le domino est arrivé en Europe au XVIIIe siècle et a ensuite été amené en Amérique par les conquérants. Cuba est peut-être le pays où l'on se réjouit le plus à jouer aux dominos, un jeu où tout ce qui compte dans la vie se limite alors à une table et à toute la fanfare qui s'ensuit. Le jeu de dominos cubains est comme un monde parallèle improvisé à l'ombre d'un arbre, dans un parc, sous un éclairage public, sur les trottoirs ou au coin d'une rue quelconque, sur la plage ou dans la rivière, toute occasion peut être l'excuse parfaite pour tendre la main à n'importe quelle table, même sans pattes, qui s'appuie alors sur les genoux des joueurs, une feuille de papier et un crayon pour noter les données et puis c'est parti pour des heures de pur bonheur. La vérité est qu'il n'y a pas de dimanche sans soleil à Cuba, ni de fête cubaine sans dominos. Près de n'importe quelle table de dominos, des connaissances ou des étrangers passent, s'arrêtent peut-être, disent bonjour et restent pour jouer une partie de dominos. S'immerger dans ce domaine est une expérience sublime et très authentique où les calamités du monde et nos problèmes quotidiens sont oubliés. Participer à une réunion d'amis pour jouer aux dominos, c'est incontournable pour approcher de la vie des cubains. On dit souvent que les dominos ont été inventés par un homme muet; mais sans parler et sans la compagnie d'un bon rhum cubain, on ne peut pas jouer, ce n'est pas pareil, le jeu n'a pas le même goût. Les spectateurs peuvent penser que ceux qui jouent sont ivres du comportement bruyant. C'est que les dominos à Cuba impliquent des émotions dans chaque mouvement, chaque geste, chaque grimace, les défis verbaux, les rires éclatants ou moqueurs et les coups sur la table. Les sujets de conversation qui se posent autour d'une table de dominos sont très divers, et s'entremêlent dans la dynamique de ce qui s'est passé dans le jeu, des potins de quartier, de la politique, du sport, de l'actualité, du pain immangeable de la bodega, de la chaleur estivale et tout ce qui englobe cette question authentiquement cubaine, indéfinie et élastique qu'est « Cómo está la cosa » ou comment ça va ? Puis on boit un rhum comme pour rincer la réponse. De l'autre côté, les joueurs, au milieu de la bataille, s'engagent dans une conversation singulière, tout concentrés au jeu et ses multiples possibilités mathématiques, qui est considéré même comme l'une des variétés d'espagnol parlé à Cuba. Le vocabulaire qui compose cette variante familière des dominos à Cuba présente des particularités qui le rendent difficile à comprendre pour quiconque n'est pas purement cubain. Il n'est pas possible de faire une liste exacte des mots utilisés, car les mots et les phrases utilisés pour désigner des chiffres, des pièces ou des mouvements du jeux, ne constituent pas un glossaire fermé et étroit, mais plutôt que chacun peut utiliser les phrases qu'il juge appropriées, et qui ont seulement survécu dans la culture populaire au fil du temps grâce à leur transmission orale. Il convient de noter que dans la région occidentale de Cuba, le domino se joue avec une combinaison de neuf points sur les pièces et chaque joueur en prend dix. Pendant ce temps, dans la partie orientale, le jeu se compose de 28 unités jusqu'à double six et sept pièces sont choisies. Aux dominos, celui qui reste sans pièces est le gagnant. Même si le jeu "se tranca", est bloqué, celui qui a le moins de points l'emporte alors et à partir de là, "dale agua" aux dominos, c'est-à-dire retournez et mélangez les pièces, et nous sommes prêts à recommencer. Pour finir, je vous laisse avec une liste de quelques expressions des valeurs en points des dominos que nous, Cubains, disons habituellement à chaque fois que nous mettons en jeu le chiffre correspondant, en même temps que nous touchons la table avec la pièce, plus ou moins fort, comme signe de l'enthousiasme gagnant... ou seulement deux fois, pour dire discrètement que nous n'avions pas la bonne pièce et que "nos pasamos" ou plutôt que nous avons passé le tour de jouer à l'adversaire. Il vaudra toujours mieux perdre honnêtement que de "meter forro" ou tricher, ou lâchement "agacharse", prétendre que vous n'avez pas la prochaine pièce pour la conserver pour un meilleur jeu, et ainsi tacher un jeu de dominos entre amis ou inconnus. On dit de celui qui a gagné en étant à court de pièces qu'il « se pegó » en fin de partie. Les dominos, pour les Cubains, transcendent le ludique, cela fait partie de qui nous sommes, c'est tradition d'un peuple. Plus que de simplement jouer aux dominos, nous pouvons dire sans risque qu'à Cuba nous vivons les dominos. Vocabulaire fréquent des dominos cubains : (0) Blanca: Blanquisal de Jaruco, el blanco, la blanca. (1) Uno: La pulla, lunar de Lola, la que hinca, la puntilla, la que saca al buey del fango, la uña, el caballo, la puntica. (2) Dos: El dulce pa´los muchachos, Duquelia la peluquera, Dulcinea, duquesne, duque, pato, mariposa, doblete. (3) Tres: Tripita, Trío Matamoros, Tríquiti, Tribilín Candela, Teresa, Tripleta. (4) Cuatro: Cuatrero, el cuarto de Tula cogió candela, el cuartel, gato, el cuarteto. (5) Cinco: Sin comer no se puede vivir, cinco mil y más murieron, la sin curva, sin curva no hay carreteras, la monja. (6) Seis: Seibabo, Sixto, Sixto Batista, septiembre el mes de las calabazas, se hizo el loco, Cirilo Villaverde. (7) Siete: La que no le gusta a nadie, la mierda, la peste, siete mil y más murieron, el sucio. ( Ocho: Ochoa, Oshún, el muerto. (9) Nueve: La gorda, novena de pelota, Nuevitas puerto de mar, la puerca, super Nova.

Cuba est une destination touristique prisée pour ses plages magnifiques, ses paysages pittoresques et son ambiance unique. Cependant, si vous envisagez de louer un scooter ou une voiture pour explorer l'île à votre rythme, il est essentiel de connaître les risques et les particularités de la conduite à Cuba. Bien que cela puisse sembler une aventure excitante, plusieurs dangers sont à prendre en compte pour assurer votre sécurité et celle de vos compagnons de voyage. 1. L’état des routes L'une des premières choses que vous remarquerez à Cuba est la qualité variable des routes. Certaines routes principales, comme l'autoroute nationale, sont en bon état, mais de nombreuses routes secondaires sont en mauvais état, avec des nids-de-poule, des fissures et même des sections inachevées. Cela rend la conduite, surtout en scooter, beaucoup plus risquée. Les routes peuvent aussi être mal éclairées, rendant les trajets de nuit particulièrement dangereux. Il est recommandé d’éviter de conduire une fois le soleil couché. 2. Le manque de signalisation et d’éclairage La signalisation routière à Cuba est souvent insuffisante, surtout dans les zones rurales. Vous pourriez vous retrouver à manquer une sortie importante ou à emprunter une mauvaise route sans indications claires. De plus, l'éclairage public fait souvent défaut en dehors des grandes villes, rendant la visibilité difficile la nuit. Cela est particulièrement dangereux pour les conducteurs de scooters, qui sont plus vulnérables dans des conditions de faible éclairage. 3. La présence d’animaux et de piétons Cuba étant un pays agricole, il n'est pas rare de croiser des animaux errants sur la route, comme des chevaux, des vaches ou des chiens. Cela peut entraîner des accidents, surtout si vous conduisez à grande vitesse. Les piétons traversent également fréquemment sans avertissement, notamment dans les petites villes et les villages. Il est important de toujours rester vigilant et de ralentir en présence de zones habitées. 4. Les règles de conduite non respectées Les règles de la route ne sont pas toujours strictement respectées à Cuba. Il n’est pas rare de voir des conducteurs doubler sans visibilité ou franchir des feux rouges. La conduite agressive et imprudente de certains automobilistes locaux peut surprendre les visiteurs qui ne sont pas habitués à ce type de comportement. Si vous n'êtes pas un conducteur expérimenté ou si vous avez l'habitude de conduire dans des conditions strictement réglementées, la conduite à Cuba peut être stressante et dangereuse. 5. Le manque de ressources en cas de panne Les infrastructures pour l’assistance routière à Cuba sont limitées. Si vous tombez en panne en voiture ou en scooter, il peut être difficile de trouver une station-service, un mécanicien ou même de l’aide. Les stations-service sont peu nombreuses en dehors des zones touristiques, et les pièces de rechange pour les véhicules peuvent être rares. Il est donc essentiel de vérifier l’état de votre véhicule avant de partir et de prévoir des réserves, notamment en carburant. 6. Conditions climatiques imprévisibles Le climat cubain peut également représenter un danger, surtout en période de pluie ou lors des tempêtes tropicales. Les routes deviennent rapidement glissantes, et les scooters, en particulier, sont vulnérables à la perte de contrôle sous la pluie. Les inondations peuvent également survenir dans certaines zones, rendant la conduite encore plus risquée. 7. Assurances et responsabilités En cas d’accident, les démarches administratives peuvent être complexes à Cuba, et les assurances locales ne couvrent pas toujours tous les dommages. Il est important de vous assurer que votre contrat de location comprend une assurance adéquate et de vérifier exactement ce qui est couvert. Un accident, même mineur, pourrait entraîner des complications importantes. Conclusion : Conduire à Cuba, est-ce une bonne idée ? Bien que conduire un scooter ou une voiture à Cuba puisse sembler être une aventure amusante, il est crucial de bien évaluer les risques avant de se lancer sur les routes cubaines. Pour beaucoup de visiteurs, il est plus sûr et plus pratique de recourir aux taxis ou aux services de navettes proposés par les hôtels pour explorer l'île. Si vous décidez tout de même de conduire, soyez toujours vigilant, respectez les limitations de vitesse, et conduisez prudemment. Cuba est une destination magnifique à explorer, mais la sécurité sur les routes doit être votre priorité. Bonne route, et profitez de votre séjour en toute tranquillité !

Ce Qui Est Permis par Sunwing Lorsque vous voyagez avec Sunwing , vous pouvez emporter votre équipement de golf sans frais supplémentaires. Voici un aperçu des articles autorisés : Un sac de golf  : Vous êtes autorisé à enregistrer un sac de golf sans frais additionnels. Poids maximum  : Le poids total de votre sac de golf ne doit pas dépasser 29 kilos . Nombre de bâtons  : Vous pouvez inclure jusqu'à 14 bâtons de golf  dans votre sac. Ballons de golf  : Un maximum de 12 balles de golf  est également permis. Souliers de golf  : N'oubliez pas d'emporter une paire de souliers  de golf, qui peut être ajoutée à votre bagage. Un grand merci à Lise Tremblay  pour avoir pris le temps de contacter Sunwing  afin d'obtenir ces précisions !

J'espère que ces suggestions vous permettront de faire des achats stratégiques pour optimiser ce que vous apporterez à Varadero tout en minimisant vos dépenses ! Pour les personnes qui souhaiteraient solliciter des dons auprès d'une pharmacie (ils acceptent parfois de donner des médicaments qui sont près de la date de présomption), ce document pourrait vous être utile. https://www.passionvaradero.com/post/document-pour-solliciter-des-dons-pour-nos-amis-de-cuba Si vous être vraiment vraiment décidé.e.s à en apporter le plus possible, cette technique pourrait vous intéresser : https://www.passionvaradero.com/post/optimiser-de-la-place-dans-ses-valises-le-top-du-top-merci-%C3%A0-isabelle-pelletier Pour de l'aide dans la distribution de vos dons Passionvaradero.com/aide

https://www.partir.com/Cuba/historique-meteo.html?idgeo=3534632 J'aimerais réserver pour (dates de votre voyage) - Est-ce que vous pensez qu'il fera beau à Varadero ? Remplacez Varadero par votre ville de résidence et demandez-vous ce que vous répondriez à cette question. ;-) N'importe qui peut vous dire qu'il pense qu'il fera beau et n'importe qui peut vous dire qu'il pense qu'il ne fera pas beau. La météorologie n'est malheureusement pas une science exacte... Il y a eu des avancées très intéressantes dans les dernières années, entre autres grâce à la technologie. Et en même temps, les changements climatiques viennent brouiller les cartes... Rien n'est évident ! Ce site qui présente des statistiques très intéressantes sur les températures, l'ensoleillement, la pluviométrie et bien plus. Et si vous descendez vers le milieu de la plage, vous aurez accès à un outil (voir image en haut de l'article) qui vous permet de voir quel temps il a fait au cours des cinq dernières années, mais en même temps il manque des informations comme le nombre de millimètres de pluie tombée. Deux millimètres en une heure, c'est juste une petite pluie. Quarante millimètres en une heure, c'est tout autre chose ! Voici un exemple de l'information que vous obtiendrez en consultant ce site : Quand partir à Cuba ? Climat, Températures et Météo Bon voyage !

Nous tenons à remercier chaleureusement tous ceux qui continuent de croire en notre cause *TousPourCuba* et dans le parrainage d’enfants à Cuba. Pour vous aussi faire le parrainage d'un enfant Parrainage ( passionvaradero.com ) Grâce à votre générosité, un premier enfant a déjà reçu l’aide tant attendue, et nous sommes plus motivés que jamais à poursuivre cette belle mission. Nous invitons tous les membres à visionner les vidéos disponibles pour mieux comprendre l'impact de notre action à Cuba et la différence que nous faisons ensemble. Merci encore à notre communauté dévouée, votre soutien est essentiel pour faire avancer cette cause !

Casa del Café Cubita à Varadero La Casa del Café Cubita  est une destination incontournable pour les amateurs de café lors de votre visite à Varadero. Ce café offre une expérience unique, mettant en avant le café cubain de qualité supérieure. Ce qui rend cet établissement particulièrement agréable, c'est sa climatisation, un atout précieux pour échapper à la chaleur intense de l'été cubain. Pourquoi Visiter Casa del Café Cubita ? Ambiance Confortable  : Avec son air climatisé, vous pourrez déguster votre café dans un cadre frais et agréable, même pendant les journées les plus chaudes. Café de Qualité  : La Casa del Café Cubita se spécialise dans le café cubain, réputé pour son goût riche et ses arômes envoûtants, ce qui en fait un lieu idéal pour les passionnés de café. Expérience Locale  : En plus de savourer de délicieux cafés, vous aurez l'occasion de vous immerger dans la culture locale et d'apprécier l'hospitalité cubaine. Si vous souhaitez en savoir plus sur Casa del Café Cubita et ses offres, vous pouvez consulter des sites spécialisés ou des avis de voyageurs pour découvrir ce que d'autres visiteurs en pensent. Cette expérience promet d'être l'un des moments forts de votre séjour à Varadero. Ce petit café est ouvert 24 heures sur 24, 7 jours par semaine. Il semble que le café est excellent et on peut aussi y trouver des muffins. Ce qui est bien, c'est qu'il dispose de l'air climatisé ce qui est très apprécié lors des grosses chaleurs de l'été !

Les belles américaines de Cuba en 2024 Se déplacer à Cuba, du point A au point B, reste un défi quotidien. Les Cubains n'ont jamais eu un excès de voitures à disposition. Attendre un bus ou d'autres moyens de transport en commun peut facilement représenter une partie considérable de la journée, souvent perdue, bien qu’on s’y habitue avec le temps. Posséder une voiture privée en 2024 est encore un privilège rare et précieux à Cuba. Dans les années 1950, Cuba, et plus particulièrement La Havane, comptait la plus grande proportion de voitures importées des États-Unis par rapport à sa population. Aujourd'hui, près de 200 000 voitures anciennes continuent de rouler à travers le pays, transformant l'île en un véritable musée roulant, unique au monde. Le temps s’est arrêté pour ces voitures, mais elles continuent de circuler. Les vieilles américaines sont des témoins silencieux de l’histoire récente de Cuba. Après l’interruption des relations diplomatiques avec les États-Unis et l’impossibilité d’importer des pièces de rechange ou des véhicules modernes, à l'exception des modèles soviétiques, les Cubains ont dû faire preuve d’une incroyable ingéniosité pour maintenir ces voitures en état de marche. Comme disait Napoléon : « Impossible n’est pas français. » À Cuba, impossible n’est pas cubain non plus ! Les nombreux garages locaux en sont la preuve vivante. Ces véhicules, aux carrosseries aussi solides que des chars de combat, peuvent renaître après quelques mois de travail acharné, devenant de véritables chefs-d'œuvre mécaniques. Les pièces chromées, les vitres, tout est fait maison. Il n’est pas rare de trouver des moteurs Toyota ou Mercedes-Benz sous le capot, des transmissions Nissan, des suspensions Suzuki, des systèmes de climatisation Peugeot et même des lève-vitres automatiques. Toutes ces pièces, parfois récupérées de manière informelle, transforment une Chevrolet ou une Ford des années 1950 en un joyau vendu à prix d'or, combinant beauté rétro et performances modernes, avec juste ce qu’il faut d’électronique. Les mécaniciens cubains sont à la fois talentueux et débrouillards. Ils parviennent souvent à fabriquer eux-mêmes les pièces nécessaires, trouvant même un certain plaisir dans la difficulté. Certains, particulièrement habiles avec un chalumeau, gagnent de petites fortunes en transformant des voitures ordinaires en cabriolets uniques, destinés aux touristes désireux de revivre le rêve américain à La Havane. Ces modifications sont souvent si bien faites qu’elles passent inaperçues. D’autres Cubains choisissent de prolonger la carrosserie de leur vieille voiture, élargissant le coffre pour maximiser l’espace et ainsi fournir un service de taxi collectif, une solution ingénieuse face à la rareté des transports en commun. Les transports publics, qu'il s'agisse des trains, des bus ou d’autres moyens d’État, ne répondent pas toujours aux besoins des Cubains. L’auto-stop reste donc une pratique courante. Un sourire, une courte conversation ou un peu de charisme peuvent aider, tout comme la présence des « contrôleurs » du système de covoiturage obligatoire, qui jouent un rôle essentiel en facilitant près de 60 % des déplacements quotidiens. Le peuple cubain, courageux et solidaire, continue à survivre grâce à l'entraide. Ces contrôleurs, reconnaissables à leurs gilets bleus en ville et jaunes dans les zones rurales, font partie du paysage cubain. Les vieilles américaines sont bien plus que des véhicules à Cuba. Elles sont le symbole de la résilience du peuple cubain, un patrimoine culturel vivant. Nous ne pourrions imaginer Cuba sans ces "almendrones" restaurés qui roulent encore malgré tout. Ces voitures font partie intégrante de notre identité, tout comme la Tour Eiffel fait partie de celle des Français. Cuba vit au rythme de ces anciennes voitures. Elles demandent beaucoup de travail et d'entretien, mais nous en sommes fiers. Leur présence dans nos rues est inscrite dans la mémoire collective, un héritage préservé. Une loi du patrimoine interdit désormais leur exportation : ces voitures américaines font partie de nous, de notre histoire. Et nous espérons que les générations futures pourront elles aussi monter à bord d'une belle américaine, un jour. Peut-être que ce sera bientôt votre tour de faire un voyage à Cuba et d’embarquer dans l’une de ces icônes du passé. En attendant, continuez de rêver... Cuba vous attend !

Quelle fierté de voir les membres de notre prochain Fiesta Cuba #8 - 3-10 nov 2024 | Passion Varadero  s'investir autant dans notre cause de la fête des enfants. Mon objectif était de collecter 600 peluches, et nous avons largement dépassé ce seuil. Je suis entouré de membres en or, de personnes qui tiennent vraiment à cœur cette journée si spéciale pour les enfants Merci encore à tous ceux qui s'impliquent dans cette belle cause qui me tient profondément à cœur. Comme l'année dernière, des peluches seront également distribuées à l'hôpital pour enfants de Cardenas. Fiesta cuba 8 et notre fête d'enfants

Un autre endroit pour faire la fête ! La Comparsita (discothèque à ciel ouvert) Cette discothèque à ciel ouvert est située tout près de la Calle 62. L'ouverture est à 23 h et le party se prolonge assez tard dans la nuit. Cette discothèque est très fréquentée par les Cubains mais on retrouve aussi des touristes. La musique est variée et il y a aussi de l'animation sur le stage. Des groupes s'y produisent également. Page Facebook : https://www.facebook.com/pages/La-Comparsita/400446687073124

L'invasion de la baie des Cochons, également connue sous le nom de bataille de Girón, était une opération militaire au cours de laquelle des troupes cubaines exilées, soutenues par le gouvernement des États-Unis, ont envahi Cuba en avril 1961, pour tenter de créer une tête de pont, former un gouvernement provisoire pour remplacer celui de Fidel Castro et rechercher le soutien de l'Organisation des États américains et la reconnaissance de la communauté internationale. L'invasion contre la Révolution naissante, orchestrée par les États-Unis, s'est soldée par un échec en moins de 65 heures. Le débarquement mercenaire, tenu du 17 au 19 avril 1961, fut complètement écrasé par les milices populaires et les forces armées révolutionnaires de Cuba. Plus d'une centaine de soldats envahisseurs sont morts, autant de milices défendant la patrie, et l'armée cubaine a capturé 1 200 mercenaires, ainsi que du matériel de guerre important. Le long de la route qui traverse les marais de Zapata en direction de la Baie des Cochons, nous pouvons aujourd'hui découvrir les nombreux monolithes érigés en l'honneur des quelques 150 cubains morts au combat. À Playa Girón nous pouvons également admirer le musée où de tels événements historiques sont présentés. Le 16 avril 1961, Fidel avait proclamé le caractère socialiste de la Révolution cubaine lors de l'enterrement des victimes, au lendemain de l'attaque rusée de nos aéroports, prélude flagrant à l'invasion mercenaire de Playa Girón. Des salves d'artillerie commémorent solennellement, cet après-midi à la forteresse de La Cabaña, 60 ans de l'adhésion aux principes socialistes de la Révolution cubaine, et la victoire à la Baie des Cochons.

Photo partagée par Pedro Cabrera Martinez Les adultes Je me suis posé la question alors je l'ai posée aussi sur notre groupe. ;-) Voici donc ce que nous savons. Les dominos sont probablement le jeu préféré des Cubains. Ils sont aussi assez friands des échecs et les Cubains se classent très bien au niveau international. Bien sûr, ce sont de très grands amateurs de baseball et apprécient beaucoup pouvoir aller voir un match au stade le plus près de chez eux. Les enfants Un enfant, peu importe le pays où il habite, demeure un enfant. ;-) Il trouvera toujours quelque chose pour s'amuser ou au besoin, s'inventera son propre jeu avec ses propres règles. Il semble que tout ce qui permet de bricoler ou de dessiner est très apprécié, y compris les grosses craies que nos enfants utilisent ici pour faire des dessins sur le trottoir. À défaut de trottoir, ils trouveront un mur ou un morceau de bois. Les classique petites billes de verre ont aussi la côte ! Et oui, à Cuba aussi les petites filles jouent à la poupée, quand elles ont la chance d'en avoir une, et les garçons peuvent passer des heures à s'amuser avec un ballon ou une petite voiture. Avant de prendre la relève des papas pour rafistoler les vieilles voitures américaines, ils construisent aussi leurs propres "tacots", tout comme nos enfants. Il y a bien des jouets qui sont produits à Cuba, mais ils sont assez rares et très chers. Cette firme est justement en Europe actuellement (8 octobre 2021) pour présenter ses produits afin de les commercialiser là-bas. Source : https://oncubanews.com/en/cuba/toys-made-by-cuban-entrepreneurs-will-head-to-europe/ Avouons-le, qu'y a-t-il de plus beau que des enfants qui rient aux éclats en s'amusant ?

PAN CON LECHÓN ET PAN CON MINUTAS Cuba n'est pas vraiment le pays des hamburgers, et ce, pour plusieurs raisons. L'histoire et l'antagonisme politique avec nos voisins du Nord, ainsi que la qualité souvent médiocre du bœuf local, en sont des facteurs déterminants. Vous risqueriez d'être déçus, sauf pour quelques rares exceptions. Ainsi, les véritables « McDonald's » de Cuba, en dehors de celui situé sur la base navale de Guantanamo, se retrouvent dans des spécialités comme le pan con lechón . Ce délice se compose d'un généreux morceau de pain garni de viande de porc grillé, avec des morceaux de peau croustillante. Il est souvent agrémenté d'une feuille de laitue, de rondelles de tomate et d'oignon blanc, lorsque ces ingrédients sont disponibles, le tout accompagné de sauce piquante à discrétion. Dans certaines villes portuaires, on peut également déguster le pan con minutas , qui offre une variante tout aussi savoureuse. Il s'agit de bon pain garni de filets de petits poissons frits enrobés de panure, également accompagnés de légumes et de sauce piquante. Dans presque tous les villages cubains, il est courant de croiser, le matin, des vendeurs de ces savoureux « McDonald's » cubains, qui constituent un excellent petit-déjeuner pour les travailleurs et les écoliers. Si vous vous aventurez à l'intérieur des terres et que vous rencontrez des commerçants proposant du pan con lechón  ou des minutas , n'hésitez pas à vous arrêter et à déguster ces mets. Vous serez surpris par leur goût délicieux !

Pour protéger sa valise Wrapper Pour protéger sa valise Pour les personnes qui se demandent ce que veut dire "faire wrapper une valise", c'est de la faire emballer dans une pellicule plastique qui rend son ouverture beaucoup plus difficile pour les personnes qui voudraient fouiller dedans et qui protège aussi l'extérieur de certains bris comme les rayures et les fissures. Ce service est offert dans la plupart des aéroports. Vous pouvez le faire vous même avec du wrap acheté sur Amazon, Canac et autre endroit Voici plus d'infos : "En moins de 30 secondes, Safe Bag emballe votre bagage, sac à dos, poussette ou vélo en utilisant un film spécial 100% Recyclable, qui le protègera contre rayures, fissures, humidité et vol. De plus, Safe Bag offre son Forfait Premium exclusif qui comprend l’emballage et aussi: Remboursement en cas de dommage jusqu’à 1000$ Remboursement en cas de retard: 100$ par jour après 24h, jusqu’à un maximum de 1000$ Remboursement en cas de perte définitive jusqu’à 4000CND$ Remboursement en cas de vol jusqu’à 100$ Assistance du service à la clientèle 24/7 Un autre produit exclusif de Safe Bag est le Forfait Smart Track (repérage de bagage), une carte qui est attachée à votre bagage avant votre vol, et sous activation, vous offre protection et remboursement en cas de retard ou perte. Chez Safe Bag vous pouvez également trouver tous les meilleurs accessoires de voyage. Nos produits d'emballage: Forfait de base : 12$ Forfait Smart track (repérage par carte): 12$ Forfait premium (repérage + remboursement en cas de perte et dommage): 16$" Source : Safe Bag - Zone Publique (admtl.com) Il y à une "wrappeuse" dans la zone départ à l'aéroport de Varadero

Le rhum Santiago de Cuba Añejo 8 años a été récemment lancé, sans aucun doute un nouveau joyau de la scène cubaine du rhum vieilli. Cette création exquise célèbre l'expérience de la huitième génération de maîtres du rhum de la ville de Santiago de Cuba, le berceau de notre rhum léger. Vieilli pendant au moins huit ans, son liquide est onctueux et délicat, avec une douceur naturelle dans son bouquet, une caresse au palais et un arôme qui nous laisse à la fois étrangement satisfait et agité, impatient de revenir pour une autre gorgée. Peut-être le meilleur rhum cubain que j'ai eu la chance d'essayer ces dernières années... mais pas le seul bien entendu. Prix au marché cubain : 21 $ (USD)

D'abord, un petit peu de vocabulaire. Un bureau de change s'appelle à Cuba un cadeca . Tout comme au Québec et un peu partout à travers le monde, on en retrouve dans les aéroports et en ville. Source : https://voyage.gc.ca/avion/voyages-argent/echanger-argent Les hôtels de Varadero nous offre un service d'échange de monnaies, un peu comme les cadecas le font. Il s'agit d'offrir un service supplémentaire aux voyageurs. Tout comme les bureaux de change, une commission est ajoutée. Il faut comprendre que pour nous offrir ce service, il y a du personnel qui doit se rendre dans une banque (non, vous ne verrez pas de camions de type "Brinks" circuler dans Varadero) pour aller faire les dépôts de la monnaie que vous leur aurez remis et reprendre des Pesos qu'ils pourront ensuite vous remettre. Donc, je suis mieux d'aller à la banque ou de retirer dans un guichet automatique ? S'il y a une banque près de votre hôtel, vous aurez probablement le meilleur taux bien que des fois la différence peut être minime. Mais si vous devez payer un taxi aller et retour vers une banque, faire la file, etc., votre économie pourrait ne pas être très significative. N'oubliez pas non plus que vous devez présenter votre passeport si vous vous présentez dans une banque ou un cadeca. En ce qui concerne les guichets automatiques à Varadero, il semble qu'ils fonctionnent de mieux en mieux (moins de pannes). Il est maintenant possible de faire des retraits avec des cartes de crédit ou des cartes débit, si elles sont émises par des institutions bancaires autres qu'américaines. Capitale One ne fonctionne pas à Cuba, sachez-le ! N'oubliez pas qu'il est toujours préférable d'aviser votre institution bancaire que vous serez à Cuba afin qu'elle ne bloque pas vos transactions en pensant que ce sont des tentatives de fraudes ! N'oubliez pas non plus que des frais sont ajoutés à toutes les transactions faites par carte de crédit et carte débit. Votre retrait au guichet à Cuba sera converti en dollars US puis en dollars CDN. Vous pourriez être surpris du montant de la transaction au bout de la ligne selon ce que nous ont partagé certains membres. N'oubliez que peu importe où vous faites votre transaction, il doit y avoir un tableau officiel vous précisant les taux de change en vigueur. Et, oui, il est préférable de recompter.

Le site est en espagnol et n'offre pas de choix de langue malheureusement. Le truc est d'ouvrir le site dans le navigateur Chrome et de faire "clic droit" sur votre souris ou pad pour avoir accès à un menu qui offre une option de traduction. https://www.tiempo3.com/north-america/cuba/matanzas/varadero

ATTENTION  : Cet article porte sur l'achat de forfaits tout-inclus dans le Sud et non sur les billets d'avion individuels (appelés « vols secs »). Les informations ici sont principalement pertinentes pour les résidents du Québec. Bien que je ne sois pas une spécialiste du domaine du voyage, je suis ouverte à vos retours pour apporter des précisions ou des corrections si nécessaire. L'évolution de l'industrie du voyage Le secteur du voyage a connu des changements significatifs au fil des années, mais certains mythes persistent. Comme de nombreux passionnés de Varadero et des destinations ensoleillées, je me suis souvent interrogé sur les meilleurs moments pour acheter des forfaits afin d'obtenir les meilleurs prix. Après plusieurs années de recherche et de compilation de statistiques, j'ai rassemblé des informations que des conseillers en voyages ont en partie validées. Voici ce que j'aimerais partager avec vous. Pourquoi les « deals de dernière minute » se font rares Il est essentiel de comprendre que de plus en plus de personnes voyagent, ce qui entraîne une augmentation rapide du taux de remplissage des avions. Les systèmes informatiques des voyagistes ont également beaucoup évolué. Par le passé, il y avait souvent un délai considérable entre la collecte, la compilation et l'analyse des données avant de prendre des décisions. S'il restait des places, elles étaient souvent soldées. Aujourd'hui, des algorithmes sophistiqués permettent aux voyagistes de faire des projections à long terme et de les ajuster presque en temps réel. Ces analyses, soutenues par des outils d'intelligence artificielle, prennent en compte divers facteurs tels que les habitudes des voyageurs, la météo, et même des événements exceptionnels comme les algues sargasses ou l'insécurité politique. Une des conséquences de l'accès à des données précises est le développement d'offres telles que la « garantie de baisse de prix », incitant les voyageurs à réserver plus tôt. Moins il y a de forfaits à vendre, moins les voyagistes ont besoin de réduire les prix pour assurer leur rentabilité. Peut-on encore dénicher de vrais « deals » ? Oui, mais c'est de moins en moins fréquent. Il faut faire preuve de flexibilité concernant les destinations, les dates et les types d'hôtels. Les « deals » concernent rarement les hôtels 4 ou 5 étoiles, notamment à Varadero, car les voyagistes souhaitent maintenir une certaine échelle de prix et une réputation. Il faut être prêt à partir à la dernière minute et à choisir parmi les « restes », comme lorsque l'on se rend à la boulangerie en fin de journée. Si vous attendez délibérément la dernière minute, vous constaterez que les prix fluctuent. Les meilleures offres et les meilleurs hôtels sont souvent les premiers à partir. Les périodes où les « deals » sont rares Des périodes comme Noël, la relâche scolaire en mars, ou les deux semaines de la construction offrent rarement de « vrais deals ». La demande est très forte durant ces périodes, car les parents peuvent voyager avec leurs enfants sans que ceux-ci manquent des jours d'école. Tempêtes tropicales et ouragans Les tempêtes tropicales et les ouragans peuvent créer des opportunités pour des « deals ». Si une destination subit des dommages, la demande diminue, entraînant potentiellement des baisses de prix pour éviter les pertes. En revanche, les prix pour d'autres destinations peuvent augmenter. Pourquoi ne trouve-t-on pas de « deals » pour des séjours de 9, 10 ou 12 jours à Varadero ? Les « deals » sont principalement proposés pour des séjours de 7 jours ou de 14 jours. Les voyagistes optimisent leurs opérations pour éviter les sièges vides sur des durées non standards. Quand acheter un forfait si les « deals de dernière minute » sont rares ? Si vous avez des dates précises en tête et que vous visez un ou deux hôtels spécifiques, les offres avec « garantie de baisse de prix » peuvent être une excellente option. Les prix sont ajustés presque en temps réel selon la demande. Le « Black Friday » et le « Cyber Monday » J'ai remarqué que certains voyagistes augmentent leurs prix avant ces événements, pour ensuite proposer des « aubaines » qui ne sont pas toujours avantageuses. Cependant, certains spécialistes estiment qu'il est possible de trouver de véritables « deals » parmi ces offres. Étude de 2017 sur les meilleurs moments pour réserver Une étude publiée en 2017 par Global News a révélé des données intéressantes, bien que je ne sois pas certaine qu'elles concernent uniquement les forfaits : Varadero, Cuba  : Meilleur moment pour réserver : 4 mois avant le voyage ou la première semaine de décembre. Meilleure période pour voler : 1ère semaine de mars (sauf pendant la semaine de relâche au Québec). Meilleur moment pour acheter en haute saison : 3ème semaine d'octobre pour un voyage avant Noël. Meilleur moment pour les offres de dernière minute : 1ère quinzaine de mars pour un voyage la 3ème semaine de mars. Périodes de faible demande pour les voyageurs canadiens Certaines périodes sont plus difficiles à vendre pour les compagnies aériennes et les voyagistes, comme : Juin et septembre : Difficultés liées à la saison des ouragans et à la rentrée scolaire. Premières semaines de décembre et de janvier : Faible demande avant Noël et après la relâche. Avril (sauf Pâques) : La demande dépend des conditions météorologiques et de la date de Pâques. Acheter directement sur Internet vs. passer par une agence Pour les Québécois, acheter sur des sites sans permis d’agence au Québec n’offre pas de protection par le Fonds d’indemnisation des clients des agents de voyages. Assurez-vous que des sites comme RedTag disposent d’un permis valide pour le Québec. Les tours opérateurs comme Vacances Transat, Sunwing, et Air Canada ont tous un permis d'agent pour la vente de forfaits, offrant ainsi une certaine protection par l'OPC. Avantages de passer par un conseiller en voyages Personnellement, je préfère effectuer mes recherches puis demander l’avis d’un conseiller en voyages. Ce dernier peut transmettre mes demandes spécifiques et intervenir en cas de problème, ce qui a été précieux lors d'événements tels que l'ouragan Irma en 2017. Conclusion Il n’existe pas de recette miracle pour acheter des forfaits vers le Sud. En comprenant mieux la dynamique du secteur du voyage, vous pourrez prendre des décisions éclairées pour vos futurs séjours.

Le miel de Cuba - un délicieux souvenir à rapporter Un membre nous a partagé son secret C’est Donaldo Sol qui nous a parlé en premier de ce fameux miel, mais plusieurs membres ont confirmé qu’il était délicieux. Il serait cependant un peu plus cher à l’aéroport. J’avoue que sans Donaldo, je n’aurais sûrement pas pensé à rapporter du miel comme souvenir de Cuba ! Cuba, un sanctuaire pour les abeilles La raison en est simple : Cuba a tout simplement renoncé aux pesticides dans les années 1990. En réalité, le succès du miel à Cuba est le fruit du hasard. Dans ses années, l’alliée de Cuba, l’URSS, n’arrive plus à exporter ses pesticides vers l’île de Fidel Castro qui est bien obligé de s’en passer. Le résultat? Les abeilles ne sont pas menacées à Cuba, elles sont en pleine forme et la récolte de miel est si abondante que le miel bio est le 4e produit le plus exporté à Cuba ! Pour en savoir plus, consultez cet article : https://www.comment-economiser.fr/a-cuba-sans-pesticides-abeilles-sont-pleine-forme.html

Une base militaire américaine à Cuba ? Oui ! Nous entendons régulièrement parler de Guantanamo dans les actualités donc des personnes se demandaient s'il était possible de visiter cette base américaine. Comme elle est en activité, ce n'est pas possible. Et c'est très loin de Varadero ! Une anecdote singulière conclut cette histoire : le seul restaurant McDonald's que l'on trouve à Cuba est établi sur cette base militaire. Un fait curieux réside dans l'histoire de cette enclave. Avant la Révolution de 1959, de nombreux habitants du village voisin de Caimanera y travaillaient pour les Américains. Leurs contrats furent respectés après cette année charnière, et ils furent les seuls Cubains à franchir quotidiennement la frontière pour travailler, jusqu'à ce que le dernier prenne sa retraite. Depuis lors, aucun Cubain n'a passé cette frontière. Selon l'amendement signé par les deux parties en 1902, la seule façon de mettre fin à la présence américaine sur ce territoire cubain serait par un consentement mutuel. Cependant, la partie américaine ne semble pas prête à quitter l'enclave pour des raisons stratégiques. La baie de Guantanamo est considérée comme une plaque tournante des Caraïbes, convoitée et occupée par les Anglais au XVIIe siècle, avant d'être vigoureusement chassée par les Espagnols. Depuis le triomphe de Fidel Castro, l'argent versé pour le droit d'occupation du territoire n'aurait plus jamais été touché, laissant cette affaire dans une impasse apparente. Visiter la base militaire américaine de Guantanamo Pour en savoir plus : Visiter la base militaire américaine de Guantanamo - Non, ce n'est pas possible La page de Wikipédia offre beaucoup d'informations et de photos https://en.wikipedia.org/wiki/Guantanamo_Bay_Naval_Base Documentaire " L'autre Guantanamo" https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/770779/guantanamo-ville-base-militaire?fbclid=IwAR0YT7EAM_kNrZEiYxCMKBjPhpATkl4uAm8cjaKVuq9_MPgqYU3ac4eVPU8 Documentaire de Michael Moore "Sicko" https://fr.wikipedia.org/wiki/Sicko_(documentaire)?fbclid=IwAR1y_eCStPqt-MnYl9LoCoWRJp5B3MgzBxOr-aMeTIYsGpNafwJaq8zIIVo

Conseils de santé à Cuba : Profitez pleinement de votre séjour à Varadero Informations générales Conseils de santé pour bien profiter de ses vacances Cuba est un pays relativement sûr pour les voyageurs Cependant, comme pour tout voyage, quelques précautions simples sont nécessaires pour garantir votre santé. Aucune vaccination spécifique n’est requise pour se rendre à Cuba, à l'exception des vaccins de routine à jour. Consultez votre médecin ou une clinique de santé-voyage pour des vaccins supplémentaires, tels que le Twinrix (hépatites A & B). Il est également indispensable de souscrire une assurance-maladie de voyage, exigée par le gouvernement cubain. Bien que nos membres signalent rarement qu'une preuve soit demandée à l'arrivée, il est prudent de ne pas prendre de risques à Cuba. Pour connaître les risques actuels ou problèmes de santé, consultez le site du gouvernement canadien : https://travel.gc.ca/destinations/cuba L'accès aux équipements et médicaments peut être limité. Il est donc recommandé d’apporter vos propres médicaments et fournitures médicales pour toute la durée de votre séjour. La plupart des grands resorts disposent d'un médecin sur place, souvent bilingue en anglais et espagnol, avec parfois des notions de français. Si ce n’est pas le cas, des cliniques médicales sont disponibles en ville. Problèmes de santé fréquents dans les pays chauds En raison du climat tropical, les virus, bactéries et moisissures peuvent proliférer dans les aliments et l’eau à Cuba, ce qui peut entraîner des maladies si vous consommez des produits contaminés. De plus, l'humidité favorise la présence d'insectes comme les moustiques, parfois vecteurs de maladies. Le virus Zika, bien que rare, peut représenter un risque pour les femmes enceintes. Pour éviter des désagréments tels que la diarrhée du voyageur, l'intoxication alimentaire ou la grippe intestinale, suivez ces conseils : Alimentation Ne consommez que des aliments bien cuits et servis chauds, en particulier les viandes et poissons. Évitez les viandes, poissons ou fruits de mer insuffisamment cuits. Assurez-vous que les aliments cuits ne soient pas manipulés avec les mêmes ustensiles que les aliments crus, notamment pour le poulet. Privilégiez les légumes, salades et fruits que vous avez pelés ou lavés à l'eau potable. Hygiène Lavez-vous régulièrement les mains et utilisez un désinfectant contenant au moins 60 % d'alcool. Buvez uniquement de l'eau en bouteille ou traitée, et utilisez de la glace faite à partir d'eau potable. Précautions en cas de troubles digestifs En cas de diarrhée du voyageur, l'hydratation est essentielle. Buvez des liquides clairs et, en cas de déshydratation, utilisez des solutions de réhydratation comme le Pedialyte ou le Gastrolyte. Vous pouvez également apporter du Gatorade en poudre à mélanger avec de l'eau en bouteille. À défaut, ajoutez du sucre et du sel à de l'eau, ou consommez des jus dilués ou des boissons gazeuses en bouteille. Pour les maux d'estomac liés à une alimentation différente ou épicée, des médicaments comme le Pepto-Bismol peuvent être utiles. Cependant, en cas d'infection gastro-intestinale sévère avec vomissements et diarrhée, des antibiotiques comme la ciprofloxacine pourraient être nécessaires. Si les symptômes persistent, buvez uniquement des liquides clairs et envisagez des traitements comme le Gravol ou l'Imodium pour soulager les symptômes (en prenant soin de ne pas abuser pour éviter la constipation). Insectes Le principal risque est le virus Zika pour les femmes enceintes. Utilisez des répulsifs à base de DEET (20 %) ou d'icaridine. En cas de piqûres d’insectes, un antihistaminique comme Benadryl et une crème anti-démangeaison peuvent être efficaces. Médicaments sur ordonnance Apportez une quantité suffisante de médicaments sur ordonnance, dans leurs contenants d’origine, pour éviter de manquer en cas de retard. Si possible, demandez à votre médecin des antibiotiques pour les infections digestives comme la ciprofloxacine. Médicaments et fournitures recommandés Imodium et Gravol (pour atténuer les symptômes afin de voyager ou de dormir) Pepto-Bismol pour les indigestions légères Antihistaminiques Ibuprofène / acétaminophène Crème anti-démangeaison Désinfectant pour les mains (au moins 70 % d’alcool) Répulsif à insectes (DEET 20 % ou picaridine) Crème solaire Trousse de premiers soins (bandages, antiseptiques, bandages élastiques) Préservatifs (ceux disponibles à Cuba sont de faible qualité) Produits d’hygiène féminine (difficiles à trouver et coûteux à Cuba) Cliniques médicales Clinique Internationale de Varadero (Clinica del Sol) Adresse : Avenida 1 entre Calles 60 et 61, Varadero Téléphone : (+53 45) 66 7710/7711/7712 Ouverture : 24h/24 Services : urgences, consultations médicales et dentaires, imagerie médicale, laboratoire, physiothérapie, clinique dentaire, pharmacie. Pharmacies Clinica International Servimed – Ave 1 / Calle 60 (Pharmacie médicale/dentaire) Servimed Farmacia Int – Plaza America (9h – 19h, bien approvisionnée) Consulat et Ambassade du Canada Ambassade :  Calle 30, No. 518 esquina a 7ma, Miramar, La Havane. Tél : (+53-7) 204-2516

Convertisseur ou Adaptateur ? Ce Qu'il Faut Savoir Pour Brancher Vos Appareils à Varadero Lorsque vous voyagez à Varadero, il est essentiel de savoir quel équipement vous aurez besoin pour brancher vos appareils électroniques. En effet, la compatibilité des prises et la tension peuvent varier d'un pays à l'autre. Voici ce que vous devez savoir pour éviter les désagréments pendant vos vacances. 1. Les Prises à Varadero À Varadero, les prises de courant sont généralement de type A et B, tout comme au Canada et aux États-Unis. Cela signifie que si vos appareils utilisent des fiches de type A ou B, vous n'aurez besoin que d'un simple adaptateur. 2. La Tension Électrique La tension standard à Cuba est de 110 volts, avec une fréquence de 60 Hz. Si vos appareils sont conçus pour fonctionner sur 110 volts, vous n’aurez pas de problème. Cependant, si vous venez d'un pays où la tension est de 220 volts, comme la France ou l'Allemagne, un convertisseur sera nécessaire pour éviter d'endommager vos appareils. 3. Adaptateurs vs Convertisseurs Adaptateur  : Un adaptateur permet de brancher vos appareils à une prise de type différent. C'est idéal pour les appareils électroniques qui sont déjà compatibles avec la tension de 110 volts. Convertisseur  : Un convertisseur modifie la tension d'un appareil pour qu'il puisse fonctionner dans un autre pays. Si vous prévoyez d'utiliser des appareils qui ne sont pas compatibles avec 110 volts, assurez-vous d'emporter un convertisseur. 4. Les Appareils à Considérer Vérifiez la compatibilité des appareils suivants : Téléphones et tablettes Ordinateurs portables Chargeurs de caméra Appareils médicaux, si applicable 5. Conseils Pratiques Vérifiez les Étiquettes  : Avant de partir, vérifiez les étiquettes de vos appareils pour connaître leur tension et type de prise. Achetez un Kit d’Adaptateurs  : Pour plus de commodité, envisagez d'acheter un kit d'adaptateurs universels qui inclut différents types de fiches. Consultez les Avis  : Lisez des avis sur les adaptateurs et convertisseurs avant de faire votre choix, afin de garantir leur fiabilité. En suivant ces conseils, vous serez bien préparé pour brancher vos appareils à Varadero sans soucis. Profitez de votre voyage en toute tranquillité !

Chers amis et bienfaiteurs, Nous avons l'opportunité d'apporter un soutien précieux à nos amis de Cuba, qui font face à des défis quotidiens en matière de ressources et de biens essentiels. Pour cela, nous sollicitons votre aide en faisant des dons. Les articles tels que les vêtements, les fournitures scolaires, les produits d'hygiène et les médicaments sont particulièrement bienvenus. Chaque geste compte et peut faire une différence significative dans la vie de ceux qui en ont besoin. Ensemble, unissons nos forces pour apporter un peu de réconfort et d'espoir à nos amis cubains. Merci à toutes les personnes qui le partageront !

Nord-ouest du golfe du Mexique : Une vaste zone de basse pression près de la côte supérieure du Texas produit des averses et des orages désorganisés le long et juste au large des côtes du Texas et de la Louisiane. Ce système devrait persister près de la côte pendant une grande partie de la semaine prochaine, et un développement lent est possible s'il serpente au large. Indépendamment du développement, de fortes pluies pourraient provoquer des crues soudaines dans certaines parties de la côte de la Louisiane et de la haute côte du Texas au cours des prochains jours. Chance de formation dans les 48 heures... faible... 10 pour cent. Chance de formation sur 7 jours...faible...20 pour cent. Près des Petites Antilles et de la mer des Caraïbes : L'activité des averses associée à une onde tropicale située à plusieurs centaines de kilomètres à l'est des Petites Antilles est devenue un peu mieux organisée. depuis hier. Un développement lent est possible à mesure que la perturbation se déplace vers l'ouest et atteint les Petites Antilles lundi. Plus tard la semaine prochaine, la perturbation devrait se déplacer vers le centre et l'ouest de la mer des Caraïbes, où les conditions pourraient devenir plus propices au développement, et une dépression tropicale pourrait se former pendant cette période. Chance de formation dans les 48 heures... faible... 10 pour cent. Chance de formation sur 7 jours...moyenne...40 pour cent.

Le dernier recensement de la population et du logement à Cuba, réalisé en 2012, révélait que 18 % des habitants avaient déjà atteint la soixantaine. Ce chiffre a aujourd'hui grimpé à plus de 21 % de la population, ce qui représente environ 2,3 millions de personnes âgées sur une population d'un peu plus de 11 millions d'habitants. Ces statistiques placent Cuba parmi les pays à la population vieillissante la plus marquée d'Amérique latine et des Caraïbes. Selon une étude de la Banque Interaméricaine de Développement, le pourcentage de personnes de plus de 60 ans dans la région est de 11 %. En outre, les projections indiquent que d'ici 2050, la société cubaine pourrait figurer parmi celles avec la plus grande longévité au monde. À l'approche d'un nouveau recensement national, prévu pour septembre 2023, les perspectives pour le pays demeurent préoccupantes, surtout en ce qui concerne la natalité. La grave situation économique incite de nombreuses nouvelles familles à retarder la décision d'avoir des enfants. Depuis des décennies, Cuba fait face à une baisse continue du taux de natalité, à une espérance de vie prolongée, ainsi qu'à une émigration chronique de sa population jeune. La réactivation de l'économie, tant attendue et nécessaire, pourrait s'avérer très complexe. Elle a déjà été profondément affectée par le blocus économique et par les erreurs administratives récurrentes du gouvernement cubain. Pour faire face à ce défi démographique, il est impératif de mettre en œuvre des plans urgents pour encourager les jeunes générations à fonder des familles et à assurer la continuité de la population cubaine. À ce stade, la situation est devenue aussi emblématique que les vieilles voitures américaines qui circulent encore dans le pays.

Ce n'est pas spécifique à Cuba Le 4 septembre 2020, nous avons observé l’atterrissage d’un vol d’Air Canada à Cayo Coco, marquant le premier vol depuis la fermeture des frontières cubaines due à la pandémie. Certaines personnes ont cru à une opération de "décontamination" de l’avion, mais ce n'est pas le cas du tout. Le Ministère du Tourisme de Cuba a clarifié : "C'est de l'eau, et cela se fait lorsque nous accueillons un vol important. C'est une manière de célébrer, une pratique répandue dans le monde entier que l'on appelle le baptême d'avion !" On peut également voir un avion être arrosé lors de son décollage. Ce geste, connu sous le nom de "water salute", est une tradition aéronautique qui célèbre des événements particuliers, comme le départ à la retraite d'un pilote de la compagnie. L’avion passe alors sous une arche d’eau symbolique. Pour en savoir plus, consultez : Wikipedia - Water Salute . Voici deux extraits de l'article de Wikipédia : Si vous consultez l'article, vous quelques "water salutes" marquants. ;-)

Les combats de coqs à Cuba : Une tradition enracinée dans l’histoire Depuis l'époque de la colonisation espagnole, les combats de coqs font partie intégrante de la culture cubaine. Des arènes, qu'elles soient légales ou clandestines, sont présentes à travers tout le pays, témoignant de cette passion vivace. Chaque week-end, de décembre à juillet, des centaines de personnes se rassemblent dans ces arènes pour faire combattre leurs coqs. Malgré les risques encourus, notamment la mort de nombreux animaux, les éleveurs (appelés galleros ) continuent de participer à ces événements. Un coq peut coûter plus de 300 USD, ce qui incite les éleveurs à les traiter avec soin. Ils fabriquent même des caisses spéciales pour les transporter en toute sécurité, veillant à leur nutrition et à leur entraînement. La tradition des combats de coqs est si ancrée qu'il existe des familles cubaines où le grand-père, le père et le fils sont tous galleros. Pour préparer leurs coqs, les galleros leur offrent un régime riche en protéines (œufs, poisson ou viande), contrôlent leur poids par des exercices, et les entraînent avec des coqs de sparring, dont les éperons sont coupés et le bec attaché pour éviter les blessures. Malgré l'interdiction des combats de coqs par le gouvernement de Fidel Castro en 1968, la tradition a su perdurer. Bien que des arènes aient été démolies et que les combats aient été poussés dans la clandestinité, les paysans cubains ont trouvé des moyens de maintenir cette pratique vivante. Cette interdiction a entraîné une transformation de l'événement populaire en un spectacle secret, alimenté par la passion des fans. Depuis les années 1980, le gouvernement a décriminalisé les combats de coqs, mais impose une réglementation stricte, autorisant uniquement les arènes contrôlées par l’entreprise cubaine de Flora y Fauna pour les événements touristiques. Toutefois, des centaines d'arènes clandestines continuent de prospérer, où les Cubains parient des milliers de pesos. La lutte pour les coqs, souvent perçue comme une tradition culturelle, soulève également des préoccupations concernant la cruauté envers les animaux. Pour certains, ces combats sont une expression d'ingéniosité, tandis que pour d'autres, ils sont synonymes de maltraitance. Les coqs cubains, bien que petits, sont réputés pour leur agilité et leur agressivité, attirant ainsi des éleveurs d'autres pays. Les combats se déroulent entre coqs de même catégorie, pesés avant chaque rencontre pour garantir l’équité. Les règles interdisent l’utilisation d’éperons dépassant 23 mm, et un vétérinaire vérifie chaque coq avant le combat pour s'assurer de leur condition. La majorité des galleros respectent les règles, et les combats de coqs sont souvent désignés comme le "jeu des gentlemen". Cependant, ces affrontements se terminent souvent tragiquement, avec des blessures graves ou des pertes de vie. Malgré la controverse entourant les combats de coqs, la passion pour cette tradition reste forte à Cuba, même parmi certains membres du gouvernement. Les arènes continuent d'opérer, et avec la demande dépassant l’offre, de nombreux galleros sont contraints de se tourner vers la clandestinité. Il est essentiel que ces arènes soient légalisées et réglementées, car la tradition des combats de coqs fait partie intégrante de l'identité cubaine. Les Cubains et leurs coqs de combat sont indissociables, témoignant de leur culture vibrante et résiliente.

Voici ce qu'on retrouve sur le site de l'Institut vétérinaire de Cuba : "Les services vétérinaires nationaux et les services phytosanitaires nationaux du ministère de l'agriculture ont le plaisir de vous informer de la réglementation en matière de santé animale et végétale régissant l'introduction sur notre territoire d'animaux, de plantes ou de sous-produits d'origine animale et / ou d'origine, ainsi que de produits biologiques. et tout autre produit capable de transmettre des maladies animales et / ou végétales. Ces réglementations visent à éviter l’introduction d’organismes nuisibles et de maladies dangereuses pour notre économie, la flore et la faune. Interdiction complète: • Animaux vivants, à l'exception des chats et des chats vaccinés contre la rage et soumis à un certificat vétérinaire officiel délivré dans le pays d'origine • Viandes fraîches, congelées, déshydratées (séchées) ou salées • Saucisses et autres produits à base de viande • Lait frais et dérivés du lait NON PERSONNALISÉS en général • Peaux (cuirs) et produits non transformés industriellement. • Sols ou matières organiques sous l'une de ses formes • Plantes ou parties de plantes, fruits et légumes frais, semences • Produits agricoles et sylvicoles • Organismes ou micro-organismes ou micro-organismes nuisibles aux animaux et / ou aux plantes • Produits biologiques en général Que pouvez-vous apporter? . Viandes en conserve ou stérilisées de porc ou de volaille; dans le cas de la viande de bœuf en conserve, seuls ceux provenant de pays non touchés par l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), ainsi que les bouillons concentrés dûment identifiés et de marques commerciales reconnues seront admis • Lait frais UHT, laits condensés et évaporés, lait en poudre, fromages salés, marques dûment identifiées et entièrement emballées • Marques ornementales d'origine animale traitées • Légumes en conserve de marques reconnues Voyageurs qui, à leur arrivée à Cuba, transportent des produits d'origine animale / ou l’origine végétale sont priés d’approcher les services vétérinaires frontaliers et / ou les autorités phytosanitaires. Les fonctionnaires vous informeront avec plaisir des règlements applicables pour chaque cas particulier. " Source : http://www.sld.cu/sitios/med-veterinaria/temas.php?idv=20627

Représentants d'Air Canada et de Sunwing à Varadero Air Canada : Sabrina Brassard partage une information précieuse : les représentants de Vacances Air Canada ne sont pas toujours présents au même hôtel, car ils changent chaque semaine. Pour toute assistance à Varadero, vous pouvez les contacter au bureau au numéro suivant : 011 534 566 8817 . Pour plus d'informations, visitez leur site Internet : Vacances Air Canada . Sunwing : D'après Steeve Dupuis, le représentant de Sunwing au Laguna Azul est Janel Ruiz Ugalde , qui est également actif sur Facebook. N’hésitez pas à le contacter pour toute question ou assistance concernant votre séjour.

Fêtes Nationales et Dates Importantes à Cuba Source de la photo : radiorebelde.cu (1er mai 2018 – Matanzas près de Varadero) Lorsque nous planifions nos vacances, il est courant de prendre en compte nos jours de congé. Cependant, il est tout aussi essentiel de vérifier les jours fériés dans notre destination, car cela peut influencer notre expérience de manière agréable ou désagréable. Dans les hôtels et complexes de Varadero, il est rare que ces jours fériés entraînent une baisse de la qualité du service, même en cas d'absences importantes de personnel. En revanche, lors de deuils nationaux, comme après la mort de Fidel Castro ou l'accident d'avion d'Air Cubana en mai 2018, les effets peuvent être plus marqués, notamment dans les villes et villages : absence de musique, d'animations festives, et restrictions sur la vente d'alcool. La Fête du Travail, célébrée le 1er mai, est marquée par d'importantes marches et festivités. Cependant, cela peut rendre les déplacements un peu plus complexes. Concernant Noël et le Jour de l'An, les hôtels de Varadero proposent des activités pour répondre aux attentes de leurs clients. Je traiterai ces événements plus en détail dans un prochain article. Liste des Fêtes Nationales et Importantes à Cuba Fêtes Nationales Jour de la Libération  : 1er janvier Victoire des Forces Armées  : 2 janvier Fête du Travail  : 1er mai Jour de l’Indépendance  : 20 mai Jours de Rébellion  : 25 au 27 juillet Jour de la Révolution  : 26 juillet Anniversaire du début de la Guerre d’Indépendance de 1868  : 10 octobre Fête de Noël  : 25 décembre Autres Fêtes Importantes Anniversaire de la naissance de José Martí  : 28 janvier Anniversaire du début de la Guerre d’Indépendance de 1895  : 24 février Journée Internationale de la Femme  : 8 mars Victoire de la Baie des Cochons  : 19 avril Jour des Martyrs de la Révolution  : 30 juillet Anniversaire de la mort de Che Guevara  : 8 octobre Anniversaire de la mort de Camilo Cienfuegos  : 28 octobre Anniversaire de la mort d’Antonio Maceo  : 7 décembre S'intéresser aux fêtes importantes des habitants d'un pays ou d'une ville que nous visitons est une excellente manière de montrer notre intérêt et de créer un lien personnel. Les habitants de Varadero nous accueillent toujours avec générosité et bienveillance. Prendre le temps de leur poser des questions sur leurs traditions culturelles peut enrichir notre expérience et renforcer notre connexion avec eux. Fêtes Nationales et Dates Importantes à Cuba Source de l’information sur les dates  : Varadero Guide

Puis-je Apporter des Cigarettes Électroniques à Cuba ? Il est important de noter que Cuba interdit l'importation de cigarettes électroniques et de vaporisateurs personnels, que ce soit dans les bagages de cabine ou les bagages enregistrés. Cette réglementation stricte vise à protéger la santé publique et à prévenir l'utilisation de ces dispositifs. À votre arrivée, si vous avez des cigarettes électroniques ou des vaporisateurs en votre possession, ces articles seront confisqués aux douanes. Cela peut entraîner des désagréments inutiles et un début de voyage stressant. Pour les voyageurs souhaitant fumer ou vapoter, il est conseillé de se renseigner sur les alternatives disponibles sur place. Certaines régions de Cuba offrent des produits du tabac traditionnels, tels que des cigares et des cigarettes, qui peuvent être achetés légalement. En résumé, pour éviter des complications lors de votre voyage à Cuba, il est fortement recommandé de ne pas emporter de cigarettes électroniques ou de vaporisateurs. Assurez-vous de respecter les réglementations locales afin de profiter pleinement de votre séjour dans ce magnifique pays. Cette réglementation s'applique également en République dominicaine, donc assurez-vous de vérifier les règles avant de voyager. Pour éviter des désagréments lors de votre passage à la douane, il est recommandé de ne pas emporter ces appareils avec vous.

Arrivée Anticipée et Départ Tardif : Maximisez Votre Séjour à l'Hôtel Arrivée Avant 16 h Dans la plupart des hôtels, l'enregistrement des chambres se fait officiellement à 16 h. Cependant, si l'établissement n'est pas complet et dispose de chambres libres, il se peut que vous puissiez y accéder dès votre arrivée, même si ce n'est pas toujours garanti. Pour profiter pleinement de votre première journée, il est judicieux de placer dans votre bagage à main tout le nécessaire pour profiter de la piscine ou de la plage : maillot de bain, short, t-shirt, chapeau ou casquette, gougounes (sandales de plage), serviette de plage légère (les serviettes de type yoga sont idéales car elles prennent peu d’espace et peuvent être réutilisées), crème solaire, lunettes de soleil et verre thermique. À votre arrivée, vous effectuerez l'enregistrement et recevrez le bracelet "tout-inclus", vous permettant de profiter des installations même si votre chambre n'est pas encore prête. Changez-vous, déposez vos valises dans l'espace prévu à cet effet dans le lobby (sécurisé et surveillé), et commencez à profiter de vos vacances ! Départ Tardif L'heure de départ de votre chambre est généralement fixée à midi. Toutefois, si votre vol est prévu à 14 h, l’autobus qui viendra vous chercher passera vers 10 h. Il est essentiel de ne pas confondre l'heure maximale de départ de votre chambre avec l'heure à laquelle vous devez être prêt(e) pour le départ. Cette dernière est indiquée dans le livret fourni par votre voyagiste, que vous trouverez dans le lobby de l'hôtel. Prolongation de Séjour : Gardez Votre Chambre Après Midi Si vous souhaitez conserver votre chambre après midi, il est généralement nécessaire de payer un supplément. Cependant, cela n'est pas toujours garanti, car cela dépend des arrivées et des départs du jour. Si vous êtes un client régulier de l'hôtel, n'hésitez pas à demander ce privilège en tant que voyageur répétitif. Il est préférable de poser la question peu après votre arrivée plutôt qu'au dernier moment avant votre départ. Si vous devez quitter votre chambre à midi et que votre vol est prévu plus tard dans la journée, vous pourrez déposer vos valises dans un local sécurisé, généralement situé dans le lobby. Prenez soin de garder avec vous uniquement ce qui est nécessaire pour profiter de la plage ou de la piscine pendant la journée. La plupart des hôtels proposent également une "chambre de courtoisie" pour vous doucher et vous changer avant votre départ. Dans certains cas, il peut être nécessaire de réserver une heure précise pour cette chambre, tandis que d'autres établissements n'ont pas cette exigence. Si vous voyagez en groupe, envisagez de payer les frais pour un départ tardif pour une chambre et de partager cette option avec d'autres membres de votre groupe. N'oubliez pas d'emporter un sac plastique pour ranger vos affaires humides que vous souhaiterez mettre dans votre valise ou votre bagage à main.

Excursion en Catamaran à Cayo Blanco : Précautions à Prendre L'excursion en catamaran à Cayo Blanco, au départ de Varadero, est très prisée des voyageurs, et pour de bonnes raisons ! Cependant, comme dans tout environnement naturel, il est essentiel de faire preuve de prudence vis-à-vis de la faune sauvage. Partagé par Linda Arsenault le 31 janvier 2019 : "Si vous partez à Cayo Blanco en catamaran, vous rencontrerez des rongeurs imposants, de la taille d'un chat, errant sur l'île. Ils sont si apprivoisés que les gens se prennent en photo avec eux, les caressent et les nourrissent. Un incident a eu lieu où un rongeur a sauté sur le pied d’un touriste, le blessant gravement. Loin des hôpitaux, un traitement contre la rage pourrait être difficile à obtenir. Soyez prudents !" Des membres cubains nous ont confirmé que cet animal est un jutia, un rongeur herbivore : Gabriella B-m : "À Cuba, on appelle cela JUTÍA, prononcé HUTIYA. Presque en voie d'extinction. Son nom latin est CAPROMYS PILORIDES." Soyons respectueux envers la faune locale et évitons de les déranger. Admirez-les de loin, mais il est préférable de ne pas les approcher.

Varadero, avec ses plages de sable blanc et ses eaux turquoise, offre un spectacle époustouflant vu du ciel. Les photos aériennes révèlent la splendeur naturelle de cette destination emblématique de Cuba. En survolant cette station balnéaire, on peut admirer les palmiers ondulants et les complexes hôteliers harmonieusement intégrés dans le paysage. Les nuances de bleu de la mer des Caraïbes se mélangent aux verts éclatants de la végétation, créant un tableau vivant. La vue aérienne de Varadero promet une expérience visuelle inoubliable qui met en valeur la beauté unique de cette région. Laissez-vous séduire par ces images captivantes et plongez dans la magie de Varadero vue du ciel ! Photo : B the Travel Brand Juste pour le plaisir de nos yeux ! Varadero vue du ciel en photo Voici des photos partagées par nos membres au cours de mois. J'ai choisi celles où on voit bien la péninsule, la mer et... les plages ! Photo : Chantal Thériault Photo : Michel Lafontaine Photo : Michel Lafontaine Photo : Butch Bouchard Photo : Chantal Verret Photo : Sonya Bouchard Photo : Sarah Bouchard Thériault Photo : Ernesto Perez Perez (Twitter) Photos partagées par Michel Lafontaine mais dont nous ne sommes pas certains de qui en sont les auteurs. Super belle vidéo d'un peu plus de 11 minutes, mais à voir absolument ! https://youtu.be/Ob2ZxBMEM7s?t=6

La réponse est... oui ! Du moins, il le semble. Et ce n'est pas impossible puisqu'il neige parfois en Floride qui n'est vraiment pas loin de Varadero. Mais il a fallu fouiller beaucoup pour trouver de l'information ce qui confirme bien que c'est un phénomène très rare. Un grand merci à Line Houle qui a mis la main sur les images ! Réponse d'un membre cubain de notre groupe : San Cabrera "Oui. Selon le vieux. A Cuba Dans les années 50. le Montagnes de Pinar de Rio. Ils ont de la neige."

"L'HÔTELLERIE par JESSICA DOMINGUEZ DELGADO | 6 novembre 2019 | Société | quinze Le nombre exact d'hôtels à Cuba n'est pas connu. Selon l'institution demandée, le nombre varie: 393 selon  Manuel Marrero , ministre du Tourisme, à l'Assemblée nationale et 405 selon les responsables du ministère lui-même. Il n'y a pas d'informations précises, les hôtels changent de nom, fusionnent en complexes, de nouvelles installations sont ouvertes, elles sont fermées pour réparations ou elles changent d'opérateurs. Mais, jusqu'au mois d'octobre 2019 au moins, l'équipe d'El Toque a créé une base de données qui comptait 381 installations d'hébergement parmi des aparthotels, des motels, des villas et des hôtels pour cette enquête; avec un certain nombre de chambres qui quadruplent presque celles de Cuba il y a 30 ans, lorsque Cuba pariait sur le tourisme comme bouée de sauvetage pour l'économie nationale. Cette décision, non sans conséquences, a transformé un service accessible aux Cubains en un produit exclusif accessible principalement aux étrangers. Avant 1990, une chambre à l'hôtel Habana Libre coûtait 21 pesos par nuit; aujourd'hui, il varie de 65 $ à 165 $. Même jusqu'en 2012, il n'était pas possible pour les Cubains de réserver un logement dans ces installations. Les hôtels, construits avant 1959 et dont beaucoup étaient des maisons ou étaient en ruine, sont devenus une entreprise importante pour l'État cubain, qui a commencé à explorer un secteur auparavant ignoré et a ainsi commencé une course ambitieuse pour augmenter les revenus et, avec lui, la nombre de propriétés. Aujourd'hui, le tourisme à Cuba fournit environ 2,5% du PIB en tant que contribution directe au revenu national et environ trois fois ce montant si l'on tient compte des effets indirects et induits, selon le  rapport  d'Oxford Economics pour le World Travel and Tourism Council. . Ce n'est qu'en 2018 que le tourisme est  entré à 1 840 millions 331 milliers de dollars , ce qui le place dans la deuxième activité économique importante du pays. L'aspiration des autorités cubaines est d'augmenter le nombre de visiteurs chaque année. Et cela a réussi en une décennie. D'un chiffre de 2,3 millions en 2008, Cuba est passé à 4,7 millions en 2018. À l'heure actuelle, il y a plus de 72 000 chambres dans les locaux de l'État et 26 000 224 dans des logements privés, ces derniers dans des maisons ou des foyers. Par rapport à d'autres régions de la région comme la République dominicaine, dont le nombre de chambres d'hôtel à la fin de 2018 était de 78 mille, et Porto Rico avec 15 mille chambres à la fin de 2017, les chiffres cubains ne sont pas négligeables. Avec la capacité de logement actuelle (y compris les chambres des propriétaires privés), si tous les touristes arrivaient consécutivement et restaient une nuit, en deux mois les cinq millions de visiteurs auxquels aspire le pays arriveraient; mais pour les aspirations de croissance du pays, il est encore insuffisant. Pour 2019, le ministère du Tourisme (Mintur) avait prévu une croissance de 4000 nouvelles chambres - certaines déjà opérationnelles. Cependant, jusqu'en mai, il y avait 7 000 chambres dans le pays «hors service», selon José Daniel Alonso, directeur général du développement, des affaires et des investissements de Mintur. En d'autres termes, près de deux fois plus que ceux à construire n'ont pas été commercialisés. Un pays avec plus d'hôtels peut être un pays avec plus de valeur, plus de développement, plus de potentiel. Pour cette raison, le gouvernement parie sur le tourisme comme son atout. QUI CONTRÔLE LE MARCHÉ? Les exploitants des hôtels sont dirigés par quatre sociétés commerciales cubaines dont les actionnaires peuvent être des personnes morales ou physiques, mais en aucun cas publiques: Grupo Gaviota SA, Grupo Cubanacán SA, Grupo Gran Caribe SA et Islazul SA En outre, il existe deux hôtels en charge de Grupo Palco y Servicios Médicos SA et il existe d'autres établissements d'hébergement de catégorie inférieure appartenant aux sociétés de Campismo Popular et Palmares SA, subordonnés au ministère du Tourisme. Mais tous ne sont pas sur un pied d'égalité. C'est le groupe Gaviota qui appartient aux forces armées et qui est en dehors de la juridiction administrative et économique de Mintur celui qui a la plus forte croissance, atteignant 31000 chambres en 2018, avec des aspirations à tripler ce chiffre dans la prochaine décennie. Cependant, la propriété des hôtels n'est pas (à quelques exceptions près) détenue par ces sociétés, mais par deux autres sociétés immobilières Inmotur SA et Almest SA, appartenant respectivement au ministère du Tourisme et au groupe des forces armées. Cette séparation libère le bien des responsabilités économiques que la société exploitante peut encourir, préservant ainsi sa propriété. La puissance de Gaviota est évidente si l'on considère que ses hôtels sont de la plus haute qualité, représentant 44% de la capacité totale du pays. Cubanacán, la deuxième chaîne avec plus d'hôtels, gère moins de la moitié des chambres que Gaviota. Alors qu'Islazul est le plus petit et avec les hôtels de catégorie la plus basse, présent sur tout le territoire national. De plus, à l'exception de La Havane, Varadero, Cayo Coco et Cayo Guillermo, qui sont des pôles touristiques de plus grande exploitation et antiquité, les chaînes cubaines ont divisé le pays et il y a une prédominance géographique de chacune d'entre elles. La Grande Caraïbe domine la partie sud de Cuba, en particulier l'Isla de la Juventud et Cienfuegos; et Cubanacán est à Pinar del Río, Trinidad, Villa Clara, Camagüey, Granma, Santiago de Cuba et Holguín. Dans le cas de Gaviota, il contrôle les Topes de Collantes, Baracoa et les cayes du nord de Cuba. À La Havane, il est responsable de plus de 20 hôtels dans le centre historique qui appartenaient au défunt Habaguanex SA, du bureau de l'historien de la ville. Lieux géographiquement stratégiques, montagnes et nouveaux pôles touristiques. Ceci est directement lié au montant des revenus, car Gaviota a des tarifs plus élevés pour ses hôtels. Sur les 33 214 chambres 5 étoiles du pays, Gaviota en gère 27 115. "Gaviota déclare que ce n'est que de ses activités hôtelières qu'il réalise un chiffre d'affaires annuel de plus de 700 millions de CUC, bien qu'il n'offre pas de détails", déclare  le rapport  2016 Tourism in Cuba, sur la vague de prospérité durable des auteurs Richard E. Feinberg et Richard S. Newfarmer. De loin, quand on parle d'hôtels à Cuba, il faut nommer Gaviota; sa capacité d'expansion et son niveau de revenus lui confèrent une plus grande indépendance et autonomie en la matière. Dans ce métier, ils décident et recherchent les meilleures alliances. PARTENAIRES ÉTRANGERS Trente ans dans le tourisme international n'ont pas atteint les opérateurs cubains pour se positionner sur le marché mondial en tant qu'acteurs de poids, ce qui va au-delà des avantages du paysage: un nom établi dépend aussi des consommateurs et surtout des qualité de l'offre et du service fourni dans les installations; ce dernier, le talon d'Achille pour le produit cubain. Le Dr José Luis Perelló, spécialiste du sujet et conseiller du Mintur, explique que "la commercialisation touristique est entre les mains de monstres (les grands voyagistes) qui opèrent à l'étranger, et disons que Cubanacán ou la Grande Caraïbe, par exemple, sont sans stature d'aller discuter à ce niveau. " Le 10 mai 1990, ils ont signé le premier contrat de gestion hôtelière - et une coentreprise - pour l'hôtel Sol Palmeras à Varadero. Lors de l'ouverture de l'établissement, Fidel Castro a déclaré: «J'espère qu'un jour nous ne dirons pas à la chaîne espagnole qu'elle gère: Hé, voulez-vous gérer également notre hôtel? J'espère que nous n'arriverons pas […]; mais cela peut être une perspective si nous n'apprenons pas à la gérer avec l'efficacité nécessaire ». Depuis lors, le nombre d'hôtels gérés par des gestionnaires étrangers n'a cessé d'augmenter. En avril 2019, 97 contrats d'administration et de commercialisation avaient été signés, 87 d'entre eux étaient déjà en cours. Au total, 119 hôtels sont exploités par 21 chaînes étrangères de 12 pays; d'entre eux seulement 9 avec une catégorie trois étoiles, le reste entre quatre et cinq étoiles, y compris les six avec une catégorie plus cinq étoiles qui existent dans le pays. 46% de ces propriétés gérées par des étrangers appartiennent à Gaviota. Et l'intention est de continuer à augmenter. Le portefeuille d'opportunités 2019 offert aux investisseurs étrangers comprend 54 hôtels disponibles pour de futurs contrats. L'Espagne est le pays avec la plus grande présence dans l'industrie hôtelière cubaine. Il gère un total de 92 hôtels gérés par 9 chaînes: Iberostar, Meliá Internacional, BLAU Hotel, Be Live, NH Hotel, Roc Hotels, Barceló, Valentin Hotel & Resorts et H10 Hotels. Plus récemment, des sociétés asiatiques telles que Banyan Tree Hotels & Resorts, MGM Muthu Hotels et Archipelago International se sont jointes, la dernière arrivée à Cuba. Pour travailler dans le pays, une entreprise étrangère a deux façons: d'une part, elle constitue une entreprise mixte avec la partie cubaine ou, d'autre part, elle signe un contrat d'administration et de commercialisation hôtelière (CACH), qui peut ou non inclure un financement pour le remodelage de la propriété . Le premier d'entre eux répond aux besoins des groupes Mintur (Grande Caraïbe, Cubanacán et Islazul) qui ne disposent pas de fonds d'investissement pour rénover leurs installations. Le second est celui utilisé par le groupe Gaviota, qui dispose de son propre budget et qui ne propose ses hôtels (déjà finis et en parfait état) qu'à des sociétés hôtelières de renom pour leur administration; à l'exception de l'hôtel Saratoga, seule coentreprise du groupe, entreprise héritée de l'habaguanex inexistant. Comme l'explique le directeur du développement de la Mintur, José Daniel Alonso, lors d'une conférence de presse en juin 2019: "Dans les coentreprises, vous avez une participation, investissez du capital pour la même proportion et recevez des dividendes pour la même proportion." Il existe actuellement 27 coentreprises constituées, mais seulement 14 (liées à cinq chaînes) ont réalisé des investissements: BLAU Hotels & Resorts, Blue Diamond Resort, Iberostar, Meliá Hotel International et Roc Hotels. En outre, explique José Daniel Alonso, «dans le contrat d'administration, vous avez une échelle d'incitations, plus vous produisez, plus vous gagnez. C'est un pourcentage des bénéfices, mais plus ils obtiennent, plus nous gagnons. Le CACH est pour une nouvelle installation où vous les mettez en administration, par exemple, l'International est nouveau et Meliá commence à l'exploiter. Quand c'est avec du financement ce sont des hôtels avec détérioration et nous leur donnons l'administration et ils contribuent, par exemple, pour la Riviera Iberostar ça donne 25 millions d'euros; le financement des investissements fait partie de l'entreprise. » Aucun contrat n'est le même qu'un autre - mais tous sont signés par le ministre du Tourisme - et chacun d'eux est négocié séparément en fonction des caractéristiques du bien (nombre d'étoiles, emplacement, propriétaire, occupation estimée, etc.) et de la chaîne qui demande son fonctionnement. Ceux qui sont négociés dans le Mintur sont convenus pour 10 ans et sont renouvelables, mais dans le cas de Gaviota, ils ne sont que de 5 ans. Selon le  rapport financier  annuel du Groupe Meliá, ses revenus hôteliers à Cuba en 2018 s'élèvent à 14,4 millions d'euros et, bien que le revenu total des opérateurs étrangers ne puisse être calculé avec précision, les données publiées par Richard E. Feinberg et Richard S Newfarmer estime que 30% des bénéfices restent entre des mains étrangères. Cela représente une somme d'argent équivalente à toutes les dépenses d'importation des intrants dont dispose le secteur. L'économiste Ricardo Torres, chercheur au Centre pour l'étude de l'économie cubaine, considère que la participation d'entreprises étrangères est la meilleure formule pour gagner plus car elles amènent des clients et, de plus, si elles investissent, elles partagent le risque; même si vous devez partager les bénéfices. Parce que si la commercialisation de ces installations n'était pas entre les mains d'opérateurs reconnus, nous gagnerions beaucoup moins. Parmi les maux, évidemment le moins. Cependant, pour  Gustavo D´Meza Pérez, Martha Zaldívar PuigI et Ramón Martín Fernández : «Les contrats d'administration hôtelière (…) représentent un coût important et compromettent le développement et la souveraineté technologique du pays, car ils ne transfèrent que les connaissances opérationnelles essentielles pour garantir les standards de service de la chaîne étrangère, tandis que les connaissances stratégiques restent protégées. , sans transfert. En ce sens, les groupes hôteliers nationaux doivent envisager la mission d'accroître leur participation à leur propre gestion dans les catégories 4 et 5 étoiles, en augmentant la qualité du service et en créant des synergies et des avantages compétitifs au niveau du groupe hôtelier, qui sont les principaux Des avantages immobiliers qui permettent l'expansion des chaînes hôtelières internationales ». Bien qu'il s'agisse d'une méthode économique plus viable à court terme, 30 ans plus tard, la gestion hôtelière n'est pas parvenue à devenir indépendante et ne semble pas y penser. Le tourisme, en tant que secteur, fournit la liquidité monétaire nécessaire et immédiate pour soutenir les paiements du pays et, selon des sources officielles, génère 111 698 emplois. Au nom de cette évolution, dans certains quartiers comme la Vieille Havane, elle a entraîné la suppression des espaces sociaux et sportifs. Les investissements ont pris pour eux-mêmes des sites qui étaient auparavant le siège du ministère des Finances et des Prix, la  salle polyvalente Kid Chocolate  (quand il était encore en activité), et ont même suscité des  scandales  lors de la tentative de convertir le cinéma Payret historique en hôtel. De plus, il surcharge l'infrastructure pour les services de base du lieu. Pour construire des hôtels, des espaces qui occupent aujourd'hui des parcs et autres bâtiments à usage public seront pris. Les avantages économiques de l'hôtellerie sont importants, surtout en monnaie directe; par conséquent, peu importe qui les exploite, mais leur rentabilité. En temps de crise, tout le reste semble secondaire." Source : https://eltoque.com/el-negocio-hotelero-en-cuba/